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Votre avis sur Maigret ?
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Bon film, juste, excellente enquête simple. Très beaux décors adaptés.. Depardieu très juste sans en faire de trop. Bon film bien réussi..
C’est une réalisation du polyvalent Patrice Leconte. Pour adapter l’œuvre Georges Simenon, il a écrit le scénario avec Jérôme Tonnerre (L'Ecole buissonnière).
Le Commissaire Maigret est un personnage de fiction créé par Georges Simenon, qui sera publié de 1931 à 1972 pour un total de 75 romans policiers et 28 nouvelles. Avant qu’il ne soit interprété par Gérard Depardieu en 2022, d’autres acteurs renommés ont enfilé le costume de commissaire comme Pierre Renoir et Jean Gabin. La dernière fois qu’on a pu le voir au cinéma, c'était en 1966 avec la production Franco-austro italo-allemande Maigret fait mouche.
L'histoire proposée par Maigret ne va pas être au goût de tous. En effet, celle-ci va être assez lente. Il faut dire qu’on est dans un polar à l’ancienne. Le spectateur prend le temps de s’installer dans l’intrigue, autant que l’enquêteur d’ailleurs. C’est peut-être ça le plus perturbant. À l'époque où la réalisation mise sur le vif et les révélations-chocs, là c’est tout le contraire. Si l’enquête n’arrive pas à passionner, c’est aussi parce qu’elle est trop prévisible. Rapidement, on comprend qui est derrière cette mort. Le dérouler ne va pas réussir à soulever d’intérêt.
Le charme de ce policier va venir de l’ambiance. On est replongé dans le Paris des années 50. Pour vous dire, à l’époque, la majorité était à 21 ans. On va donc déambuler dans cette capitale d’un autre temps. Les décors sont géniaux tout comme les costumes. On arrive à revivre cette période. Cela va se ressentir aussi par les dialogues. Le vocabulaire et les expressions sont adaptés. On sent dans la manière de s’exprimer un tact d’antan. Après, il faut reconnaître qu’ils vont être plutôt lents.
Le peu de salut va venir de notre Gérard Depardieu national. À 73 ans, le baroudeur ne cesse d’impressionner. Il était l’une des rares satisfactions de Maison de Retraite la semaine dernière. Le Français guide le bal et offre une belle dose de caractère. Il aura le leadership sans conteste, car à ses côtés, les jeunes demoiselles n’ont pas cette aura. Il faut tout de même noter la bonne performance de Jade Labeste.
Le Commissaire Maigret est un personnage de fiction créé par Georges Simenon, qui sera publié de 1931 à 1972 pour un total de 75 romans policiers et 28 nouvelles. Avant qu’il ne soit interprété par Gérard Depardieu en 2022, d’autres acteurs renommés ont enfilé le costume de commissaire comme Pierre Renoir et Jean Gabin. La dernière fois qu’on a pu le voir au cinéma, c'était en 1966 avec la production Franco-austro italo-allemande Maigret fait mouche.
L'histoire proposée par Maigret ne va pas être au goût de tous. En effet, celle-ci va être assez lente. Il faut dire qu’on est dans un polar à l’ancienne. Le spectateur prend le temps de s’installer dans l’intrigue, autant que l’enquêteur d’ailleurs. C’est peut-être ça le plus perturbant. À l'époque où la réalisation mise sur le vif et les révélations-chocs, là c’est tout le contraire. Si l’enquête n’arrive pas à passionner, c’est aussi parce qu’elle est trop prévisible. Rapidement, on comprend qui est derrière cette mort. Le dérouler ne va pas réussir à soulever d’intérêt.
Le charme de ce policier va venir de l’ambiance. On est replongé dans le Paris des années 50. Pour vous dire, à l’époque, la majorité était à 21 ans. On va donc déambuler dans cette capitale d’un autre temps. Les décors sont géniaux tout comme les costumes. On arrive à revivre cette période. Cela va se ressentir aussi par les dialogues. Le vocabulaire et les expressions sont adaptés. On sent dans la manière de s’exprimer un tact d’antan. Après, il faut reconnaître qu’ils vont être plutôt lents.
Le peu de salut va venir de notre Gérard Depardieu national. À 73 ans, le baroudeur ne cesse d’impressionner. Il était l’une des rares satisfactions de Maison de Retraite la semaine dernière. Le Français guide le bal et offre une belle dose de caractère. Il aura le leadership sans conteste, car à ses côtés, les jeunes demoiselles n’ont pas cette aura. Il faut tout de même noter la bonne performance de Jade Labeste.
Je m'attendais a autre chose, mais finalement non, je me suis retrouvé devant un épisode de la série... C'est peut etre ce qui m'a dérangé au final de pas retrouvé le film. De plus j'avais vu Patrice Leconte, Gérard Depardieu donc du lourd normalement, mais décevant.... Etant belge en plus j'avais mis une attention particulière..Dommage 2/5 pour ma part
Le commissaire Maigret mène l'enquête sur une mort suspecte. On croirait l'inspecteur Derrick, c'est lent et peu original. Si une bonne sieste vous tente...
Depardieu en MAIGRET autant que l'inverse mais heureusement l'expérience de Patrice Leconte rend ce petit film très réussit. Le ton d'ensemble sombre, lent et mélancolique donne une atmosphère pesante et captivante de bout en bout. L'intérêt majeur et la prouesse de ce film, c'est de m'avoir tenu en haleine avec l'absence total d'action, et même de suspens, tout est sous entendu, grâce au jeu (et jeu de mots) des acteurs surtout, accompagné d'une très bonne musique vraiment adaptée à l'ambiance. Comme un bon Polar qu'on lit, à nous d'imaginer les scènes manquantes au puzzle, comme le ferait MAIGRET. bon point donc pour l'ambiance, l'esthétisme et les dialogues très soignés de ce petit Polar sans prétention.
Bon alors on le sait tous Maigret ce n est pas un héros de type Marvel ou 007 mais plutôt un Derrick des années 50. Pour les décors pas de soucis, renforcé par un Depardieu on peu s attendre à un dépoussiérage au moins de qualité ... pas de chance, c est très lent avec une intrigue pas très passionnante, résultat très mitigé voire ennuyeux tant cela se traîne en longueur ... le transfert dans le passé, le décorum est satisfaisant... mais n est pas suffisant pour nous "transporter" dans une revisite du thème. Un rdv raté ...
Il s'agit d'une nouvelle adaptation sur grand écran des aventures du Commissaire Jules Maigret créé par Georges Simenon en 1931. Le film est réalisé par Patrice Leconte (Les Bronzés, Le Mari de la coiffeuse), avec Gérard Depardieu dans le rôle-titre.
Le projet paraissait ambitieux et même assez surprenant avec Leconte à la réalisation. Après visionnage, il est clair que ce fut un échec sur plusieurs points. Tout d'abord, le scénario qui tiendrait pour faire un seul épisode de 45min d'une série télévisée. On s'ennuie terriblement pendant 1h30, car l'histoire est malheureusement prévisible et sans rebondissements marquants. La réalisation est assez simpliste, prenant plus un aspect de documentaire sur Maigret que sur une réelle enquête policière. On sent que Patrice Leconte est assez limité dans l'expression de son talent de réalisateur au sein de ce genre de longs métrages. Les seconds rôles du métrage ne sont pas très convaincants et sortent par moment le spectateur. En dehors le corps de la police et le médecin légiste, les autres rôles sont globalement mal écrits ou trop fades. Gérard Depardieu est la seule vraie satisfaction du film, il arrive parfaitement à s'immiscer dans le rôle de ce vieux commissaire calme et mystérieux. Le long-métrage ne repose que sur sa prestation, comme cela était très prévisible. En soi, c'est un échec technique ainsi qu'en termes d'histoire, malgré un premier rôle de bonne facture et quelques bonnes idées à droite et à gauche. Maigret est un film sympathique pour faire une bonne sieste ou pour chercher du calme et accompagner le commissaire dans sa très longue et ennuyeuse enquête.
Le projet paraissait ambitieux et même assez surprenant avec Leconte à la réalisation. Après visionnage, il est clair que ce fut un échec sur plusieurs points. Tout d'abord, le scénario qui tiendrait pour faire un seul épisode de 45min d'une série télévisée. On s'ennuie terriblement pendant 1h30, car l'histoire est malheureusement prévisible et sans rebondissements marquants. La réalisation est assez simpliste, prenant plus un aspect de documentaire sur Maigret que sur une réelle enquête policière. On sent que Patrice Leconte est assez limité dans l'expression de son talent de réalisateur au sein de ce genre de longs métrages. Les seconds rôles du métrage ne sont pas très convaincants et sortent par moment le spectateur. En dehors le corps de la police et le médecin légiste, les autres rôles sont globalement mal écrits ou trop fades. Gérard Depardieu est la seule vraie satisfaction du film, il arrive parfaitement à s'immiscer dans le rôle de ce vieux commissaire calme et mystérieux. Le long-métrage ne repose que sur sa prestation, comme cela était très prévisible. En soi, c'est un échec technique ainsi qu'en termes d'histoire, malgré un premier rôle de bonne facture et quelques bonnes idées à droite et à gauche. Maigret est un film sympathique pour faire une bonne sieste ou pour chercher du calme et accompagner le commissaire dans sa très longue et ennuyeuse enquête.
On sait depuis longtemps que Gérard Depardieu peut tout jouer et il nous prouve encore dans ce Maigret qu'il ne fera pas pâle figure auprès des Harry Baur, Jean Gabin, Michel Simon, et autres grands acteurs. Ici, Jules Maigret est un homme usé, fatigué et plutôt désabusé qui trimballe sa (forte) carcasse dans les rues sombres et pas toujours sûres du Paris
d'après-guerre magnifié par la belle photographie d'Yves Angelo. Une noirçeur certaine domine donc le film à la mise en scéne précise et elégante. Les dialogues sont bien servis par des seconds rôles de choix. Tout cela dans une reconstitution d'époque impeccable. Maigret va s'attacher à Betty, la jeune provinciale (Jade Labeste), et c'est par petites touches,que Patrice Leconte nous fera comprendre le drame vécu par le couple Maigret. Jeune femme qui leur redonnera le sourire au cours d'un petit dejeuner pris en commun au détour d'une trés jolie scéne. L'intrigue policiére interressante au départ par le statut de la victime (inconnue totale) devient par la suite presque anecdotique , les suspects étant vite identifiés. Quelques traits d'humour parcourent de temps à autres ce film, qui de par sa facture classique et par ses qualités devient une sorte d'hommage au cinéma français d'un autre temps. Le "Maigret" de Patrice Leconte est bourré de classe!
d'après-guerre magnifié par la belle photographie d'Yves Angelo. Une noirçeur certaine domine donc le film à la mise en scéne précise et elégante. Les dialogues sont bien servis par des seconds rôles de choix. Tout cela dans une reconstitution d'époque impeccable. Maigret va s'attacher à Betty, la jeune provinciale (Jade Labeste), et c'est par petites touches,que Patrice Leconte nous fera comprendre le drame vécu par le couple Maigret. Jeune femme qui leur redonnera le sourire au cours d'un petit dejeuner pris en commun au détour d'une trés jolie scéne. L'intrigue policiére interressante au départ par le statut de la victime (inconnue totale) devient par la suite presque anecdotique , les suspects étant vite identifiés. Quelques traits d'humour parcourent de temps à autres ce film, qui de par sa facture classique et par ses qualités devient une sorte d'hommage au cinéma français d'un autre temps. Le "Maigret" de Patrice Leconte est bourré de classe!
Que Patrice Leconte sache tourner un Maigret n'est pas une surprise. Tout y est, la noirceur, la progression dans l'énigme le jeu excellent des actrices et acteurs, particulièrement la scène avec l'extraordinaire André Wilms décédé ce mois-ci. Tout, ou presque. Car, contrairement à ce qu'on peut espérer, ce n'est pas Depardieu qui va à Maigret, mais Maigret qui est emprisonné dans le corps de Depardieu. Depardieu / Leconte semblent avoir pris le parti de bâtir un Maigret particulièrement et uniquement empathique. Mais peut-il faire autrement ? On n'a pas mal pour ce Maigret vieillissant, au bout de ses forces, mais pour Gérard Depardieu. Contrairement au dynamique Jean Richard, au sarcastique Bruno Cremer, au gouailleur Gabin, Depardieu ne hausse jamais le ton, d'ailleurs, le pourrait-il ? Même la voix n'y est plus. Juste un peu d'humour sur le fait qu'une enquête
spoiler:
se commençant au blanc doit se terminer au blanc
. Mais les clins d'oeil du personnage à l'acteur n'ont pas lieu d'être. Un Depardieu épuisé ne peut jouer autre chose qu'un Maigret épuisé. Ca se regarde, mais le coeur n'y est pas.
. Mais les clins d'oeil du personnage à l'acteur n'ont pas lieu d'être. Un Depardieu épuisé ne peut jouer autre chose qu'un Maigret épuisé. Ca se regarde, mais le coeur n'y est pas.
Maigret, film gris et triste. On ne retrouve pas l’atmosphère des romans de Simenon, et Depardieu semble parfois complètement absent, le regard dans le vide, et l’élocution pâteuse.
Le commissaire, à la recherche du meurtrier d’une jeune femme inconnue, va s’attacher à elle, chercher à comprendre sa courte vie, et trouver sur ce chemin une autre jeune femme en danger. Protecteur et manipulateur pour résoudre l’énigme de la mort de l’inconnue.
Sans vraiment de surprise, une psychologie des personnages assez superficielle, trop lisse, on est loin des adaptations télévisuelles avec Bruno Cremer. C’est d’autant plus décevant qu’on attend beaucoup de Depardieu.
Le commissaire, à la recherche du meurtrier d’une jeune femme inconnue, va s’attacher à elle, chercher à comprendre sa courte vie, et trouver sur ce chemin une autre jeune femme en danger. Protecteur et manipulateur pour résoudre l’énigme de la mort de l’inconnue.
Sans vraiment de surprise, une psychologie des personnages assez superficielle, trop lisse, on est loin des adaptations télévisuelles avec Bruno Cremer. C’est d’autant plus décevant qu’on attend beaucoup de Depardieu.
un super film avec un Depardieu impérial qui est parfait dans ce rôle
des décors sombres et une atmosphère lourde et prenante un déroulement des faits au rythme d'un Maigret un peu fatigué et replongé malgré lui dans son douloureux passé
du grand Depardieu
des décors sombres et une atmosphère lourde et prenante un déroulement des faits au rythme d'un Maigret un peu fatigué et replongé malgré lui dans son douloureux passé
du grand Depardieu
Atmosphère, atmosphère !
A part une participation en 2019 à un film à sketches, Patrice Leconte – que j’adore, soit dit en passant -, ne nous avait plus rien proposé depuis 2016 et une comédie gentiment boulevardière, Une heure de tranquillité. Avec ces 88 minutes, il revient adapter un des romans les plus crépusculaires de Simenon, Maigret et la jeune morte. Précis, efficace, classique, il sait faire le bougre. Maigret enquête sur la mort d’une jeune fille. Rien ne permet de l’identifier, personne ne semble l’avoir connue, ni se souvenir d’elle. Il rencontre une délinquante, qui ressemble étrangement à la victime, et réveille en lui le souvenir d’une autre disparition, plus ancienne et plus intime… Depuis 1958 et Gabin, on avait plus revu le plus célèbre des commissaires de la littérature sur grand écran. C’est chose faite… et comment ! Merci !
Pour Patrice Leconte, c’est la deuxième rencontre avec Simenon pusiqu’il avait réalisé en 1989, Monsieur Hire. Pour se centrer sur la trajectoire de Maigret, (qui cherche à savoir qui était cette jeune morte dont personne ne semble se souvenir, il a supprimé beaucoup de personnages secondaires présents dans le livre. Il a voulu filmer un Paris fantomatique dans un style quasi expressionniste, l’action se déroulant dans les années 1950. Mais en évitant une reconstitution obsessionnelle. Tout est ici très stylisé dans la mise en scène, la lumière, les accessoires, les costumes, avec des partis-pris de cadre et d’éclairage assez forts. Densité, émotion, nostalgie… et beaucoup de talents réunis. Que dire de plus ?
Pierre Renoir, Jean Gabin, le Canadien Maurice Manson, Albert Préjean, Abel Tarride, Rowan Atkinson, Harry Baur, Charles Laughton, Michel Simon, Heinz Rühmann, Michael Gambon ou encore Gino Cervi... tous ont incarné au moins un fois Maigret au cinéma. Cette fois, c’est le tour de l’incontournable Gérard Depardieu. Que n’y a–t-on pas pensé plus tôt. Ça sonne comme une évidence. Et le grand Gégé, une fois de plus y est tout simplement admirable. Autour de lui les Jade Labeste, Mélanie Bernier, Aurore Clément, André Wilms – pour son dernier rôle -, sont tous impeccables. Bref un excellent Leconte, un grand Depardieu et Simenon par-dessus tout cela… A voir !
A part une participation en 2019 à un film à sketches, Patrice Leconte – que j’adore, soit dit en passant -, ne nous avait plus rien proposé depuis 2016 et une comédie gentiment boulevardière, Une heure de tranquillité. Avec ces 88 minutes, il revient adapter un des romans les plus crépusculaires de Simenon, Maigret et la jeune morte. Précis, efficace, classique, il sait faire le bougre. Maigret enquête sur la mort d’une jeune fille. Rien ne permet de l’identifier, personne ne semble l’avoir connue, ni se souvenir d’elle. Il rencontre une délinquante, qui ressemble étrangement à la victime, et réveille en lui le souvenir d’une autre disparition, plus ancienne et plus intime… Depuis 1958 et Gabin, on avait plus revu le plus célèbre des commissaires de la littérature sur grand écran. C’est chose faite… et comment ! Merci !
Pour Patrice Leconte, c’est la deuxième rencontre avec Simenon pusiqu’il avait réalisé en 1989, Monsieur Hire. Pour se centrer sur la trajectoire de Maigret, (qui cherche à savoir qui était cette jeune morte dont personne ne semble se souvenir, il a supprimé beaucoup de personnages secondaires présents dans le livre. Il a voulu filmer un Paris fantomatique dans un style quasi expressionniste, l’action se déroulant dans les années 1950. Mais en évitant une reconstitution obsessionnelle. Tout est ici très stylisé dans la mise en scène, la lumière, les accessoires, les costumes, avec des partis-pris de cadre et d’éclairage assez forts. Densité, émotion, nostalgie… et beaucoup de talents réunis. Que dire de plus ?
Pierre Renoir, Jean Gabin, le Canadien Maurice Manson, Albert Préjean, Abel Tarride, Rowan Atkinson, Harry Baur, Charles Laughton, Michel Simon, Heinz Rühmann, Michael Gambon ou encore Gino Cervi... tous ont incarné au moins un fois Maigret au cinéma. Cette fois, c’est le tour de l’incontournable Gérard Depardieu. Que n’y a–t-on pas pensé plus tôt. Ça sonne comme une évidence. Et le grand Gégé, une fois de plus y est tout simplement admirable. Autour de lui les Jade Labeste, Mélanie Bernier, Aurore Clément, André Wilms – pour son dernier rôle -, sont tous impeccables. Bref un excellent Leconte, un grand Depardieu et Simenon par-dessus tout cela… A voir !
Ça ressemble à un vieux téléfilm qui voudrait avoir l’air moderne en faisant tressaillir sa caméra, ou à une production fauchée qui ne peut pas se payer de champs contrechamps et tente désespérément de rendre vivant un scénario exsangue. Aux manettes il y aurait un réalisateur qui a jeté l’éponge depuis longtemps et qui tente de nous/se convaincre qu’il peut ranimer la flamme d’un vieil épisode de Maigret, et un monstre sacré aux abonnés absents qui balance ses répliques en attendant la pause catering. Seul Yves Angelo à la photo tente de relever le niveau. Mais rien n’y fait…..
D’un ennui abyssal.!
D’un ennui abyssal.!
Le film est tenu par un bon Depardieu et de jeunes actrices prometteuses. On passe un moment correct parce que le film est très court et heureusement. Le scénario, l'affaire, la réalisation sont tout de même très moyens.
Le film entretien les clichés sur les détectives privés. Beaucoup d'évidences et les suspects pas très convaincants. Gérard Depardieu joue quand même plutôt pas mal, bien que l'enquête ne soit pas fabuleuse.
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