Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Patrice Leconte ressuscite le célèbre commissaire du Quai des Orfèvres. Polar, reconstitution somptueuse, « Maigret », par la grâce de Depardieu, devient aussi un grand film sur la perte d'un enfant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Pierre Eisenreich
Avec l’adaptation du roman de Georges Simenon, Maigret et la Jeune Morte (1954), le réalisateur retrouve les sommets de son cinéma, notamment celui de Monsieur Hire (1989).
20 Minutes
par Caroline Vié
Gérard Depardieu apporte une densité et une émotion unique au personnage créé par Georges Simenon.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Un Maigret nostalgique et bouleversant, littéralement habité par Depardieu.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par La Rédaction
C'est donc Depardieu qui incarne le fumeur de pipe, amateur de blanquette de veau, dans une mise en scène sobre et moderne. Pari osé, mais tenu, sans esbroufe.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Gérard Depardieu est plus qu’un Maigret de plus, il est un autre Maigret : il est unique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Dans cette enquête sur le meurtre d’une jeune fille, Patrice Leconte sert avec brio l’univers de Simenon : charme rétro, mélancolie... et un Depardieu tout en intériorité. Recommandé.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On n'avait pas vu Maigret sur les écrans depuis 1963, Leconte lui redonne toute sa place. A ceux qui s'interrogent sur la nécessité de le ressusciter, la réponse est dans la rencontre magistrale de deux géants, Depardieu et Simenon.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Ici, la mélancolie gouverne le suspense, et c’est d’autant plus émouvant que Depardieu ajoute, de tout son poids, à la fatigue des jours et au souvenir obsessionnel de belles endormies.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
En adaptant Maigret et la jeune morte, paru en 1954, Patrice Leconte signe un très grand film, expressionniste et crépusculaire, marqué par l’interprétation émouvante et grandiose de Gérard Depardieu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ultra-respectueux de Simenon, Patrice Leconte parvient à traduire la fascination qu’exerce sur lui le personnage. Son Maigret n’est pas une relecture, encore moins une modernisation. Juste un chapitre supplémentaire, portrait introspectif et particulièrement émouvant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce n’est ni le premier Maigret, ni sans doute, le dernier Maigret. Mais c’est un Maigret à part, unique. Un Maigret-Depardieu. Un personnage-acteur.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Surtout, Depardieu trouve là de loin son meilleur rôle, comme s’il n’avait attendu que ça, se glisser dans la défroque de ce fauve assoupi dans la grande jungle de la vie, ce roi Lear version pépère, hanté de matière humaine, bourrelé de perte et de remords.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Depardieu joue Maigret comme personne avant lui. (...) Jamais n’aurons-nous eu à ce point accès à l’abîme de perplexités du commissaire, à ce vide et cet abîme face à l’énigme du crime mais aussi de l’existence elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
En adaptant librement Maigret et la jeune morte, Patrice Leconte signe l’une des meilleures versions d’une enquête du fameux commissaire créé par Simenon, ainsi que l’un de ses films les plus brillants, servi par un Gérard Depardieu anthologique...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Gérard Depardieu en Maigret, une simple affaire marketing ? Heureusement, non. Avec une sobriété bienvenue, l’acteur, si souvent habitué ces dernières années à tourner dans des navets indignes de son talent, incarne son personnage sans jamais en rajouter ni même sembler jouer tant sa présence dans le cadre suffit à imposer Maigret et ses tourments.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
La rencontre devait forcément se faire, un jour ou l’autre. C’est donc chose faite. Et bien faite. Ainsi que l’on pouvait l’imaginer, c’est plus sur cette confrontation que l’on s’attarde, ce “choc des mondes” que l’on scrute.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Patrice Leconte adapte ce roman de Simenon comme s’il était de la famille. Inspiré, sensible, malicieux aussi, frère en compassion de ce Maigret que Depardieu impose sans un mot plus haut que l’autre.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On se surprend à suivre, avec un immense plaisir, cette enquête à l’ancienne, sans analyse d’ADN ni ordinateur.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Pour leur première collaboration, Patrice Leconte offre à l'acteur, en vieux flic désenchanté qui a perdu le goût de vivre, un somptueux requiem. Ce polar d'atmosphère réussit le pari d'être à la fois funèbre et sentimental.
Télérama
par Frédéric Strauss
Massif et plein d’une force tellurique, Gérard Depardieu se fait aussi totalement aérien pour nous laisser deviner la face intime et moins familière d’un commissaire qui vit dans ses pensées, avec ceux qui le hantent. Impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Dans cette nouvelle adaptation, Gérard Depardieu s'est glissé dans le pardessus du célèbre commissaire, offrant au personnage son imposante fragilité.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans une mise en scène contemplative qui tente de saisir les non-dits entre les silences, le comédien, tout en intériorité et en sensibilité rentrée, sonde les individus plutôt que les indices le temps d’une intrigue d’un autre temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Patrice Leconte réussit une adaptation sobre du héros de Patrice Leconte.
Ouest France
par Thierry Chèze
Maigret est bien plus un film sur Depardieu qu'un film avec lui. (...) C'est la limite du film car, dès qu'il quitte l'écran, celui-ci semble se vider de son intensité. Mais il suffit qu'il réapparaisse pour que ce film crépusculaire retrouve son intensité (...).
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Plus qu’un récit policier, Maigret est l’histoire d’un homme, d’un mari, de surcroît policier, sublimé par l’interprétation magistrale de Depardieu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Patrice Leconte adapte ici moins un Maigret qu’il n’adapte le personnage à Depardieu : s’approchant de son corps, il écoute son souffle, respecte son immobilité endeuillée, comme à l’affût d’un secret.
Libération
par Didier Péron
L’auteur des Bronzés embarque Depardieu dans le rôle-titre et neutralise dans la naphtaline de l’adaptation surdécorée et accessoirisée la véhémence résiduelle de la star en roue libre et totalement désinvestie (ou bourrée…).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gael Golhen
Les intentions sont là, intéressantes, la démarche indiscutable. Mais on reste sur l'impression d’une tentative essoufflée qui rate le degré de démesure et d’ampleur requis pour se qualifier dans la catégorie des grands films hantés ou théoriques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Echos
Patrice Leconte ressuscite le célèbre commissaire du Quai des Orfèvres. Polar, reconstitution somptueuse, « Maigret », par la grâce de Depardieu, devient aussi un grand film sur la perte d'un enfant.
Positif
Avec l’adaptation du roman de Georges Simenon, Maigret et la Jeune Morte (1954), le réalisateur retrouve les sommets de son cinéma, notamment celui de Monsieur Hire (1989).
20 Minutes
Gérard Depardieu apporte une densité et une émotion unique au personnage créé par Georges Simenon.
Bande à part
Un Maigret nostalgique et bouleversant, littéralement habité par Depardieu.
Closer
C'est donc Depardieu qui incarne le fumeur de pipe, amateur de blanquette de veau, dans une mise en scène sobre et moderne. Pari osé, mais tenu, sans esbroufe.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Gérard Depardieu est plus qu’un Maigret de plus, il est un autre Maigret : il est unique.
Femme Actuelle
Dans cette enquête sur le meurtre d’une jeune fille, Patrice Leconte sert avec brio l’univers de Simenon : charme rétro, mélancolie... et un Depardieu tout en intériorité. Recommandé.
Franceinfo Culture
On n'avait pas vu Maigret sur les écrans depuis 1963, Leconte lui redonne toute sa place. A ceux qui s'interrogent sur la nécessité de le ressusciter, la réponse est dans la rencontre magistrale de deux géants, Depardieu et Simenon.
L'Obs
Ici, la mélancolie gouverne le suspense, et c’est d’autant plus émouvant que Depardieu ajoute, de tout son poids, à la fatigue des jours et au souvenir obsessionnel de belles endormies.
La Croix
En adaptant Maigret et la jeune morte, paru en 1954, Patrice Leconte signe un très grand film, expressionniste et crépusculaire, marqué par l’interprétation émouvante et grandiose de Gérard Depardieu.
La Voix du Nord
Ultra-respectueux de Simenon, Patrice Leconte parvient à traduire la fascination qu’exerce sur lui le personnage. Son Maigret n’est pas une relecture, encore moins une modernisation. Juste un chapitre supplémentaire, portrait introspectif et particulièrement émouvant.
Le Dauphiné Libéré
Ce n’est ni le premier Maigret, ni sans doute, le dernier Maigret. Mais c’est un Maigret à part, unique. Un Maigret-Depardieu. Un personnage-acteur.
Le Figaro
Surtout, Depardieu trouve là de loin son meilleur rôle, comme s’il n’avait attendu que ça, se glisser dans la défroque de ce fauve assoupi dans la grande jungle de la vie, ce roi Lear version pépère, hanté de matière humaine, bourrelé de perte et de remords.
Le Parisien
Depardieu joue Maigret comme personne avant lui. (...) Jamais n’aurons-nous eu à ce point accès à l’abîme de perplexités du commissaire, à ce vide et cet abîme face à l’énigme du crime mais aussi de l’existence elle-même.
Les Fiches du Cinéma
En adaptant librement Maigret et la jeune morte, Patrice Leconte signe l’une des meilleures versions d’une enquête du fameux commissaire créé par Simenon, ainsi que l’un de ses films les plus brillants, servi par un Gérard Depardieu anthologique...
Marianne
Gérard Depardieu en Maigret, une simple affaire marketing ? Heureusement, non. Avec une sobriété bienvenue, l’acteur, si souvent habitué ces dernières années à tourner dans des navets indignes de son talent, incarne son personnage sans jamais en rajouter ni même sembler jouer tant sa présence dans le cadre suffit à imposer Maigret et ses tourments.
Rolling Stone
La rencontre devait forcément se faire, un jour ou l’autre. C’est donc chose faite. Et bien faite. Ainsi que l’on pouvait l’imaginer, c’est plus sur cette confrontation que l’on s’attarde, ce “choc des mondes” que l’on scrute.
Sud Ouest
Patrice Leconte adapte ce roman de Simenon comme s’il était de la famille. Inspiré, sensible, malicieux aussi, frère en compassion de ce Maigret que Depardieu impose sans un mot plus haut que l’autre.
Télé 7 Jours
On se surprend à suivre, avec un immense plaisir, cette enquête à l’ancienne, sans analyse d’ADN ni ordinateur.
Télé Loisirs
Pour leur première collaboration, Patrice Leconte offre à l'acteur, en vieux flic désenchanté qui a perdu le goût de vivre, un somptueux requiem. Ce polar d'atmosphère réussit le pari d'être à la fois funèbre et sentimental.
Télérama
Massif et plein d’une force tellurique, Gérard Depardieu se fait aussi totalement aérien pour nous laisser deviner la face intime et moins familière d’un commissaire qui vit dans ses pensées, avec ceux qui le hantent. Impressionnant.
Voici
Dans cette nouvelle adaptation, Gérard Depardieu s'est glissé dans le pardessus du célèbre commissaire, offrant au personnage son imposante fragilité.
Le Journal du Dimanche
Dans une mise en scène contemplative qui tente de saisir les non-dits entre les silences, le comédien, tout en intériorité et en sensibilité rentrée, sonde les individus plutôt que les indices le temps d’une intrigue d’un autre temps.
Le Monde
Patrice Leconte réussit une adaptation sobre du héros de Patrice Leconte.
Ouest France
Maigret est bien plus un film sur Depardieu qu'un film avec lui. (...) C'est la limite du film car, dès qu'il quitte l'écran, celui-ci semble se vider de son intensité. Mais il suffit qu'il réapparaisse pour que ce film crépusculaire retrouve son intensité (...).
aVoir-aLire.com
Plus qu’un récit policier, Maigret est l’histoire d’un homme, d’un mari, de surcroît policier, sublimé par l’interprétation magistrale de Depardieu.
Cahiers du Cinéma
Patrice Leconte adapte ici moins un Maigret qu’il n’adapte le personnage à Depardieu : s’approchant de son corps, il écoute son souffle, respecte son immobilité endeuillée, comme à l’affût d’un secret.
Libération
L’auteur des Bronzés embarque Depardieu dans le rôle-titre et neutralise dans la naphtaline de l’adaptation surdécorée et accessoirisée la véhémence résiduelle de la star en roue libre et totalement désinvestie (ou bourrée…).
Première
Les intentions sont là, intéressantes, la démarche indiscutable. Mais on reste sur l'impression d’une tentative essoufflée qui rate le degré de démesure et d’ampleur requis pour se qualifier dans la catégorie des grands films hantés ou théoriques.