Elizabeth Taylor est magnifique! Elle est stupéfiante dans ce rôle et c'est vraiment elle qui porte tout le film. Honnêtement je n'ai pas tout compris au film (mea culpa) mais je crois l'avoir cerné globalement.
Un pur chef d'oeuvre!Une joute verbale entre la Grande Elisabeth Taylor et Richard Burton.Dans le cadre d'un presque huit clos, un couple se déchire aprés une soirée entre amis, un peu trop arrosée!Le couple mythique Hollywoodien au sommet de son art.Treize nominations aux Oscars 1966 pour cinq statuettes remportées!L'Oscar du meilleur film allant cette année là, a la sirupeuse"mélodie du bonheur".Quelle injustice!
adaptation d'une piece de théatre, le film ne perds pas de l'aspec vivant de celui ci. les acteurs nous précipitent dans une danse rythmée par les répliques singlantes et touchantes des deux acteurs principaux. l'humour du film s'oppose avec une douce ironie à une tristesse profonde des deux protagonistes. le résultat est génial, et invoque au sectateur une foule de sentiments contradictoires mais d'ont l'association est authentique et profonde.
4/5 : duo d'acteur mythique entre Liz Taylor et Richard Burton, même si on a accusé la première de surjouée, le rendu final est de très (très) grande classe. La seul ombre au tableau serait la longueur du film, 2h10, trop pour éviter certaines longueurs, même si la richesse du dialogue entre les acteurs nous les fait oublier allègrement.
Ce film c'est les dialogues avant tout, si vous etes du genre a aimer voir un couple se déchirer verbalement et que vous etes un vrai cinéphile allez - s'y ! Si c'est pas le cas vous le trouverez moyen et vous vous direz que c'est pas pour vous
Un vieux couple, interprété par des acteurs légendaires, qui se lance dans un jeu pervers au dépend de ses invités; une ambiance dérangeante où l'on ne sait plus très bien à quel point la chamaillerie peut se transformer en réelle violence et où le drame menace toujours. Vraiment captivant.
Qui a peur de Virginia Woolf ? est devenu un film mythique. Pour ses qualités dramatiques propres et pour le jeu de ses acteurs flirtant avec la perfection. Mais également pour la personnalité des deux principaux interprètes. Avec un demi-sourire plus ou moins goguenard, comment ne pas imaginer en effet que Taylor et Burton transposaient à l'écran ce qu'ils vivaient ensemble en privé ? Comment ne pas croire surtout que ces deux icônes du septième art jouaient et surjouaient ce reflet exagéré, parfois monstrueux, d'eux-même ? Parfois touchant, souvent amusant, ce couple perdu en pleine névrose n'en est pas moins glaçant. Chacun se débat avec ses propres démons, ses déceptions, ses échecs ses lâchetés, et il n'y a que l'autre en face à qui les reprocher encore et encore. Chacun recherche chez l'autre la compréhension dont lui-même est incapable de faire preuve. Et de ces deux amertumes, de ces deux dysfonctionnements, naît, plus qu'un couple bancal, une troisième névrose en roue libre. Et d'un homme et d'une femme surgit soudain une véritable machine de guerre que rien ne semble pouvoir arrêter. "Total war", dit-elle. Et de ces moments-là, on ne se relève jamais indemne. A vouloir blesser l'autre à tout prix, c'est une part de nous-même qui jamais ne se remet tout-à-fait. Pas comme avant en tout cas. Même si au petit matin, Burton demande doucement: "Are you OK ?" www.roma-ostia.blogspot.fr
Sorti en 66 Le couple Burton - Taylor qui se livre à une entreprise de destruction d' eux mème et du jeune couple invité à passer une soirée avec eux . Partie de ping pong ou chaque couple se mutile à tour de role , ou l' on ne discerne pas ce qui est vrai de ci qui est faux dans le passé de ce couple de prof' de fac . C' est une vision négative du couple qui nous est donné , ce qui est assez rare pour l' époque . Le film fut récompensé par 5 oscars . Bien aimé même si je le trouve un poil trop verbeux .
Qui a peur de Virginia Woolf - ou la chanson des amours qui n'ont pas le droit d'exister. Brillant. Hystérique. Méchant. Des mots qui vous boxent plus intensément qu'un Sorkin sous speed. Et des gens qui ont tellement peur de ne plus savoir comment s'aimer qu'ils préfèrent la haine au rien. Parce que le rien c'est l'inexistence qui contamine tout. Aussi fascinant qu'éreintant.
Ravages de l'alcool sur fond de dispute conjugale... Quel supplice de voir ces personnages s'injurier et se déchirer pendant deux heures... Dommage, la photographie était très belle. "Était-ce vraiment nécessaire?" demande Elisabeth Taylor à la fin du film. La réponse est évidemment "non" : ce classique du cinéma est tout à fait dispensable.
“Je suis la Mère Terre et vous êtes tous des échecs” crie Elizabeth Taylor a son mari, son amant et la femme de son amant dans le dernièr acte de ce primé film de 1962.
Conçu comme une pièce de théatre, “Qui a peur de Virginia Woolf?” raconte una chaotique soir chez un couple d’âge moyen qui invite des nouveaux mariés a prendre un verre. Le mécontentement et la consommation excessive d’alcool conduisent à un jeu psychologique où les limites de la colère et la cruauté sont testées.
Scénario et performances imbattables sont les caractéristiques principales d’un film qui montre comme l’amour et la mémoire peuvent devenir des munitions dans la guerre quotidienne d’un mariage corrompu.