Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un chef-d’œuvre de cinéma, qui restitue une magnifique variation sur le conflit entre la tradition et la modernité, à travers une héroïne fascinante, tout autant philosophe que musicienne. Proprement sublime.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un long-métrage hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
À travers la disparition programmée d’un village traditionnel, sacrifié sur l’autel de la modernité, c’est un peu notre mode de vie qui est ici questionné. Le portrait poétique et émouvant d’une femme est ici sublimé par de magnifiques décors naturels.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
La critique du règne capitaliste expulse la pure approche naturaliste et la standardisation des récits pour lui substituer une mise en image incandescente de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Bernard Génin
Un flot d’images superbes au lyrisme sauvage, avec des fulgurances qui rappellent la palette bariolée du Cinema Novo brésilien, tels ce violent orage nocturne, ou ce plan magnifique, quasi biblique, de la vieille femme entourée de moutons dans les ruines de sa maison.
Télérama
par Mathilde Blottière
Qu’on se laisse aller à la contemplation ou que l’on se plonge au cœur des tourments de Mantoa, voilà une expérience sensorielle comme seul le cinéma peut en offrir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
La force du film repose sur l’actrice, Mary Twala, 80 ans, qui a une présence insensée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Difficile pour autant d'ignorer que cette énième fable sur le conflit entre tradition et modernité en renouvelle trop peu les termes pour ne pas tomber dans les travers d'un cinéma du monde adapté aux conventions occidentales.
Première
par Thierry Chèze
L’Indomptable feu du printemps coche avec application toutes les cases du film de festival. Il atteint son objectif en croulant sous les récompenses (de Sundance à La Roche-sur-Yon) mais déroule, en dépit des apparences, son récit avec une application trop scolaire pour échapper à cette niche.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Un chef-d’œuvre de cinéma, qui restitue une magnifique variation sur le conflit entre la tradition et la modernité, à travers une héroïne fascinante, tout autant philosophe que musicienne. Proprement sublime.
Le Journal du Dimanche
Un long-métrage hypnotique.
Les Fiches du Cinéma
À travers la disparition programmée d’un village traditionnel, sacrifié sur l’autel de la modernité, c’est un peu notre mode de vie qui est ici questionné. Le portrait poétique et émouvant d’une femme est ici sublimé par de magnifiques décors naturels.
Les Inrockuptibles
La critique du règne capitaliste expulse la pure approche naturaliste et la standardisation des récits pour lui substituer une mise en image incandescente de poésie.
Positif
Un flot d’images superbes au lyrisme sauvage, avec des fulgurances qui rappellent la palette bariolée du Cinema Novo brésilien, tels ce violent orage nocturne, ou ce plan magnifique, quasi biblique, de la vieille femme entourée de moutons dans les ruines de sa maison.
Télérama
Qu’on se laisse aller à la contemplation ou que l’on se plonge au cœur des tourments de Mantoa, voilà une expérience sensorielle comme seul le cinéma peut en offrir.
L'Obs
La force du film repose sur l’actrice, Mary Twala, 80 ans, qui a une présence insensée.
Le Monde
Difficile pour autant d'ignorer que cette énième fable sur le conflit entre tradition et modernité en renouvelle trop peu les termes pour ne pas tomber dans les travers d'un cinéma du monde adapté aux conventions occidentales.
Première
L’Indomptable feu du printemps coche avec application toutes les cases du film de festival. Il atteint son objectif en croulant sous les récompenses (de Sundance à La Roche-sur-Yon) mais déroule, en dépit des apparences, son récit avec une application trop scolaire pour échapper à cette niche.