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Des images de toute beauté d’un village africain confronté au manque d’eau illustrent ce documentaire original autour des ravages du changement climatique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Pas de commentaire surplombant, juste la réalité (éducation, féminisme) filmée avec sensibilité, sous influence Depardon, dans des cadres splendides. Tatiste marche sur l’eau, et le monde, sur la tête.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
C’est avec tendresse qu’Aïssa Maïga capte de petites scènes qui en disent long, comme la douceur silencieuse avec laquelle le père d’Houlaye lave son tout petit garçon avec le peu d’eau dont il dispose.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Marcher sur l’eau est l’inverse d’un documentaire scolaire. Pas de voix-off redondante ou d’interviews explicatives face caméra mais la foi en un récit, en des personnages forts (la charismatique ado de 14 ans, au centre de l’histoire) et en son désir d’injecter à l’image de la beauté dans cette tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Première
À force de transformer les femmes ou les enfants en icônes de volonté ou d’espérance, la cinéaste manque le délitement du présent, et Marcher sur l’eau se détourne de sa dimension ethnologique comme de son inquiétude originelle. Même la question climatique, pourtant au cœur du film, est finalement plus présentée comme l’épiphénomène d’une histoire pluriséculaire que comme une menace véritable.
Le documentaire écolo de la semaine est signé de l'actrice Aïssa Maïga. Les habitants d'un village du Niger marchent des kilomètres pour puiser de l'eau en attendant la construction d'un forage. Les enfants sont livrés à eux-mêmes, tout comme les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
À l’écran, le récit elliptique du combat laisse penser que les villageois le mènent seuls. Si l’on comprend bien les terribles conséquences du stress hydrique sur leur existence, on ne saisit rien des tenants et des aboutissants de la bataille pour l’eau, et c’est bien dommage…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Un documentaire aux images magnifiques, poignant et essentiel.
Les Fiches du Cinéma
Entre documentaire et fiction, un rappel essentiel sur l’importance de l’eau.
Ouest France
Un film lumineux.
aVoir-aLire.com
Des images de toute beauté d’un village africain confronté au manque d’eau illustrent ce documentaire original autour des ravages du changement climatique.
L'Obs
Pas de commentaire surplombant, juste la réalité (éducation, féminisme) filmée avec sensibilité, sous influence Depardon, dans des cadres splendides. Tatiste marche sur l’eau, et le monde, sur la tête.
La Croix
C’est avec tendresse qu’Aïssa Maïga capte de petites scènes qui en disent long, comme la douceur silencieuse avec laquelle le père d’Houlaye lave son tout petit garçon avec le peu d’eau dont il dispose.
Le Journal du Dimanche
Aïssa Maïga signe un documentaire édifiant et poignant sur le combat d'un peuple pour ne pas mourir de soif à cause du changement climatique.
Paris Match
« Marcher sur l’eau » sait déjouer les réserves, ne pas être tendance et amener un récit pour le coup original et fort.
Positif
On pourrait penser que Marcher sur l’eau est une fiction. Tout l’intérêt de ce film est d’en utiliser les codes.
Première
Marcher sur l’eau est l’inverse d’un documentaire scolaire. Pas de voix-off redondante ou d’interviews explicatives face caméra mais la foi en un récit, en des personnages forts (la charismatique ado de 14 ans, au centre de l’histoire) et en son désir d’injecter à l’image de la beauté dans cette tragédie.
Cahiers du Cinéma
À force de transformer les femmes ou les enfants en icônes de volonté ou d’espérance, la cinéaste manque le délitement du présent, et Marcher sur l’eau se détourne de sa dimension ethnologique comme de son inquiétude originelle. Même la question climatique, pourtant au cœur du film, est finalement plus présentée comme l’épiphénomène d’une histoire pluriséculaire que comme une menace véritable.
Le Monde
Si le film n'est pas dénué de poésie, sa forte visée pédagogique prend le dessus sur toute autre ambition.
Le Figaro
Le documentaire écolo de la semaine est signé de l'actrice Aïssa Maïga. Les habitants d'un village du Niger marchent des kilomètres pour puiser de l'eau en attendant la construction d'un forage. Les enfants sont livrés à eux-mêmes, tout comme les spectateurs.
Télérama
À l’écran, le récit elliptique du combat laisse penser que les villageois le mènent seuls. Si l’on comprend bien les terribles conséquences du stress hydrique sur leur existence, on ne saisit rien des tenants et des aboutissants de la bataille pour l’eau, et c’est bien dommage…