Beau film, belle histoire. Les acteurs jouent tous à merveille. Je vous recommande ce film si vous voulez passer un bon moment. Bravo monsieur Cornillac
Le film bénéficie d’une scénario solide, malgré les grosses ficelles, d’une reconstitution soignée et d’une interprétation à la hauteur. Du bon cinéma classique qui ne marquera pas les esprits.
J'ai adoré ce film! Une histoire vraie romancée assez dingue. Bravo a Clovis Cornillac pour son jeu d'acteur et sa production. Super scénario, très beaux décors, du suspens, de l'émotion et une morale.
Pas particulièrement fan du cinéma français, à mes yeux souvent ampoulé et quelque peu surjoué... Avec Couleurs de l'incendie, c'est encore une fois le cas... On part pourtant d'un bon scénario, les décors et les costumes sont léchés, les acteurs globalement bons mais voilà, le côté théâtralisé du film lui fait perdre de l'intérêt. Pourquoi diable Clovis Cornillac n'a pas eu une approche plus réaliste, plus sombre, sordide, en un mot dramatique ?! Le film dont la trame de l'histoire s'y prête particulièrement, aurait gagné en profondeur, en intensité et en réalisme... Au lieu de cela, on regarde une pièce de théâtre filmée, une farce... La scène du moteur à réaction qui explose en étant le parfait exemple. Quoi qu'il en soit, on passe quand même un bon moment et dans l'échelle des valeurs, c'est un bon film français. C'est à dire, moyen...
La prestation de Léa Drucker est vraiment à souligner: comme on dit la vengeance est un plat qui se mange froid. Mais à travers les tourments de cette fille de banquière, on a la même problématique des escrocs ( Benoit Poelvoorde) prêts à tout, des profiteurs (Jeremy Lopez). La reconstitution de l'enterrement du banquier est une scène qui vaut son pesant de cacahouetes. Je me demande quels sont les endroits où Clovis Cornillac a pu tourner les films à Paris : pas un seul poteau métallique, pas une seule piste cyclable avec ses bordures en béton ! Par contre la place est laissé aux - très belles voitures. Par contre l'animation des passants laisse à désirer: dans les années 30, la ville était envahie par la foule de petits travailleurs ( rémouleurs, vitriers etc..) Ici les rues sont beaucoup trop propres. Les réconstitutions faites par les américains sont beaucoup plus réalistes. Les vues de l'Hôtel Pericourt donnent le tournis devant l'étalage de richesses.Mais ne boudons pas notre bonheur et allez voir ce film !
Bon si vous voulez voir un résumé du livre, vous le verrez. Si vous voulez voir un grand film, alors passez votre chemin. Rien de ce qui fait la complexité des personnages du roman n'est à l'écran. On a juste une succession de scènes d'action et une interprétation parfois très moyenne. Une réalisation classique. Vraiment décevant
"Couleurs de l'incendie" est un film réalisé par Clovis Cornillac et inspiré du roman de Pierre Lemaitre.
C'est un film situant le spectateur dans un contexte spacio-temporel des années 1920-1930 et qui met en scène une protagoniste engagée dans son combat et qui devra faire face à l'avarice de certains hommes.
Enfin un bon film. Bravo à M. Cornillac. Tout y est : décors, acteurs, musique. Le temps passe vite, on aimerait que le film ne finisse jamais. J'ai particulièrement apprécié Benoît Poelvoorde.
Superbe film merci Clovis Cornillac comme d'habitude vous n'avez pas démérité, somptueux décors, très beaux costumes, une magnifique histoire qui nous plonge dans une grande époque, on se laisse porté avec enthousiasme quand aux acteurs que dire ils sont au top, c'est LE film à voir.
Il ne faut pas comparer avec le film de Dupontel qui racontait une histoire incroyable. A partir d'une histoire plus banale, plus prévisible, Cornillac nous propose un film très académique, presque parfait. Les acteurs sont beaux et justes. On se laisse simplement emporter au fil de cette vengeance douce amère . C'est un beau film, une belle réussite.
« Adaptation de Couleurs de l'incendie de Pierre Lemaitre, suite de la saga initiée par Au revoir là-haut. » C’est ainsi que nous est présenté ce film et c’est, bien avant le nom du réalisateur, le principal élément d’accroche de la bande annonce de Couleurs de l’incendie. Une saga historique qui dans ce deuxième volume s’appuie sur des personnages autres que ceux de Au revoir là-haut. En 2017 dans Au revoir là-haut (Populaire et ambitieux), la mise en images des écrits de Pierre Lemaitre était signée Albert Dupontel. En 2022 dans Couleurs de l'incendie, Clovis Cornillac lui succède derrière mais aussi devant la caméra. La saga se poursuit donc sur grand écran à travers un casting renouvelé des deux côtés de la caméra. Finalement, seul Lemaitre demeure en tant que scénariste, adaptant au cinéma, ici et de nouveau, ses propres écrits. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/2022/11/26/couleurs-de-lincendie/
Pour qui connaît et apprécie les productions et interprétations de Clovis Cornillac, on le reconnaît bien là : c'est soigné, profondément humain, voire sentimental, exigeant. Quand on sait ce que "coûte" la réalisation d'un décors historique, ce film a aussi de ce point de vue une grande valeur. Suspens assuré, pour couronner le tout !
Adaptation du roman de Pierre Lemaitre, suite de "Au revoir, là haut" par Clovis Cornillac, un peu plus long, mais toujours aussi bien réalisé, au casting excellent. Que ce soit le comédien réalisateur lui-même, Benoit Poelvoorde, Alice Isaaz, Olivier Gourmet, ou Lea Drucker en Madeleine Péricourt, pour les principaux, le scénario, mécaniquement rigoureux tient magistralement la distance, avec un sans faute. La recherche du meilleur plan, et la qualité des photos, affirment la solide mise en lumière des personnages pittoresques, et notamment la formidable prestation de Léa Drucker. Elle est excellente, dans un rôle principal semblant construit et écrit pour elle. Un mot sur les décors Parisiens et Berlinois (Alsaciens en fait), magnifiques, qui confèrent une belle élégance, associée aux costumes et au fond musical aux envolées lyriques. Une fresque tellement moderne, prouvant s'il y avait besoin, de la Générosité Féminine...!!**
Un scénario ubuesque, tiré par les cheveux, au déroulé trop lent... trop de choses improbables, on a dû mal à y croire.. le tout dans une belle esthétique quand même.