Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Ouest France
par M.O
Du grand et beau spectacle.
CNews
par La rédaction
Mis en scène de manière très soignée, ce film de fiction historique captivant, dont l'intensité de l'action monte progressivement, est porté par un casting investi.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Figaro
par Olivier Delcroix
En cela, Clovis Cornillac (qui s’est offert un rôle clé dans cette intrigue vengeresse) signe une fresque riche et foisonnante, un film d’époque en costume, féministe avant la lettre, captivant de bout en bout. Bref, un vrai grand film populaire comme on les aime.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Un récit très ambitieux, long (2h15), mais mené comme une passionnante partie d’échecs et porté par un casting impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Portrait d’une femme qui s’émancipe, « Couleurs de l’incendie » est autant une saga familiale qu’une chronique politique d’un extrémisme en train de gangrener la France.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Public
par La Rédaction
Un craque pour le casting cinq étoiles. Clovis Cornillac est magistral, Léa Drucker juste et émouvante !
Sud Ouest
par Sophie Avon
Adapté du roman de Pierre Lemaître par l’écrivain lui-même, le film est signé Clovis Cornillac et rassemble Léa Drucker, Benoît Poelvoorde et Olivier Gourmet dans une fable unidimensionnelle des années 1920.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Jade Olivier
Dans de sublimes décors plongeant le spectateur dans le Paris des années 1920-1930, cette adaptation du roman éponyme de Pierre Lemaitre – suite d'Au revoir là-haut –, au casting impeccable et à la mise en scène classique de Clovis Cornillac, est une réussite.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une joyeuse surprise sur les écrans en début d’automne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
C’est plus sage mais pas moins réussi dans le registre du cinéma populaire, grâce à la générosité de la mise en scène, au goût pour le spectacle et à l’amour des actrices et acteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Léa Drucker brille dans cette adaptation efficace mais sans relief du deuxième volet de la trilogie de Pierre Lemaitre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Grâce à une mise en scène classique mais élégante et des décors somptueux, à l’aide du récit très cinématographique du roman de Pierre Lemaitre, Clovis Cornillac présente une belle fresque humaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Film de vengeance aux accents dumasiens, Couleurs de l’incendie poursuit la fresque familiale amorcée par Albert Dupontel avec Au revoir là-haut. S’il se veut porté par le même souffle romanesque, il s’avère toutefois plus convenu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Les rebondissements y sont parfaitement orchestrés, la mise en scène soignée et discrète loin du tumultueux geste inaugural, l’interprétation impeccable. Mission accomplie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un grand divertissement populaire, volontiers académique, mais dont l’ambition et la patte stylée en font un spectacle hautement recommandable pour toute la famille.
Télérama
par Guillemette Odicino
À la manière, justement, du cinéma français d’avant guerre attaché aux acteurs, aux décors et aux costumes, cette célébration du courage féminin et des petites gens n’a d’autre ambition que d’être un parfait spectacle populaire, et c’est cela, justement, qui est si plaisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Clovis Cornillac en artisan d’un bon divertissement ne se départ pas d’une certaine pesanteur, dans les codes attendus du grand film français populaire.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Sous les costumes et l’apparat, ce portrait de femme puissante pourrait être d’une grande modernité, s’il n’était engoncé dans sa facture très classique, son décor empesé, sa reconstitution luxueuse, soignée et guindée.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Les mêmes costumes, les mêmes dorures, les mêmes tacots de location, les mêmes surcouches de maquillage, les mêmes mouvements de grue… Le récit défile, les acteurs jouent, les violons violonnent, les accessoiristes accessoirisent, et tout ce que l’on voit, c’est un cinéma mort, une espèce de grand barnum clinquant et inerte que l’on a vu mille fois.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
Du grand et beau spectacle.
CNews
Mis en scène de manière très soignée, ce film de fiction historique captivant, dont l'intensité de l'action monte progressivement, est porté par un casting investi.
Le Figaro
En cela, Clovis Cornillac (qui s’est offert un rôle clé dans cette intrigue vengeresse) signe une fresque riche et foisonnante, un film d’époque en costume, féministe avant la lettre, captivant de bout en bout. Bref, un vrai grand film populaire comme on les aime.
Le Parisien
Un récit très ambitieux, long (2h15), mais mené comme une passionnante partie d’échecs et porté par un casting impeccable.
Paris Match
Portrait d’une femme qui s’émancipe, « Couleurs de l’incendie » est autant une saga familiale qu’une chronique politique d’un extrémisme en train de gangrener la France.
Public
Un craque pour le casting cinq étoiles. Clovis Cornillac est magistral, Léa Drucker juste et émouvante !
Sud Ouest
Adapté du roman de Pierre Lemaître par l’écrivain lui-même, le film est signé Clovis Cornillac et rassemble Léa Drucker, Benoît Poelvoorde et Olivier Gourmet dans une fable unidimensionnelle des années 1920.
Télé Loisirs
Dans de sublimes décors plongeant le spectateur dans le Paris des années 1920-1930, cette adaptation du roman éponyme de Pierre Lemaitre – suite d'Au revoir là-haut –, au casting impeccable et à la mise en scène classique de Clovis Cornillac, est une réussite.
aVoir-aLire.com
Une joyeuse surprise sur les écrans en début d’automne.
L'Obs
C’est plus sage mais pas moins réussi dans le registre du cinéma populaire, grâce à la générosité de la mise en scène, au goût pour le spectacle et à l’amour des actrices et acteurs.
La Croix
Léa Drucker brille dans cette adaptation efficace mais sans relief du deuxième volet de la trilogie de Pierre Lemaitre.
Le Journal du Dimanche
Grâce à une mise en scène classique mais élégante et des décors somptueux, à l’aide du récit très cinématographique du roman de Pierre Lemaitre, Clovis Cornillac présente une belle fresque humaine.
Les Fiches du Cinéma
Film de vengeance aux accents dumasiens, Couleurs de l’incendie poursuit la fresque familiale amorcée par Albert Dupontel avec Au revoir là-haut. S’il se veut porté par le même souffle romanesque, il s’avère toutefois plus convenu.
Première
Les rebondissements y sont parfaitement orchestrés, la mise en scène soignée et discrète loin du tumultueux geste inaugural, l’interprétation impeccable. Mission accomplie.
Télé 7 Jours
Un grand divertissement populaire, volontiers académique, mais dont l’ambition et la patte stylée en font un spectacle hautement recommandable pour toute la famille.
Télérama
À la manière, justement, du cinéma français d’avant guerre attaché aux acteurs, aux décors et aux costumes, cette célébration du courage féminin et des petites gens n’a d’autre ambition que d’être un parfait spectacle populaire, et c’est cela, justement, qui est si plaisant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Clovis Cornillac en artisan d’un bon divertissement ne se départ pas d’une certaine pesanteur, dans les codes attendus du grand film français populaire.
Le Dauphiné Libéré
Sous les costumes et l’apparat, ce portrait de femme puissante pourrait être d’une grande modernité, s’il n’était engoncé dans sa facture très classique, son décor empesé, sa reconstitution luxueuse, soignée et guindée.
Les Inrockuptibles
Les mêmes costumes, les mêmes dorures, les mêmes tacots de location, les mêmes surcouches de maquillage, les mêmes mouvements de grue… Le récit défile, les acteurs jouent, les violons violonnent, les accessoiristes accessoirisent, et tout ce que l’on voit, c’est un cinéma mort, une espèce de grand barnum clinquant et inerte que l’on a vu mille fois.