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Yesim Koçak
1 critique
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5,0
Publiée le 27 mai 2022
Ce film est une merveille, magnifique et qui rappelle la valeur de l'être humain, la joie de vivre, qu'il y a toujours des solutions, la solidarité, et que le développement de son être, et le contact humain et le contact avec la nature.. c'est fondamental. Et j'ai rigolé du début à la fin, j'étais émerveillée. Merci et mille merci.
Ce film est un chef d'œuvre absolu Je souhaiterais remercier particulièrement Mme Dana ainsi que tout les acteurs de ce magnifique film
Un film drôle et touchant une comédie que je recommande de voir à plusieurs pour avoir une bonne dose émotionnelle de rire de bonnes humeurs et même parfois de larmes émouvantes
Ce film est trop bien et mérite quelques césars voir même de représenter la France au prochains Oscars
Bravo également à la Warner et à France 2 d'avoir accepter de produire un tel film
Ceci était mon point de vue et en conclusion le film je le valide à 100%
Excellente comédie comme on aimerait en voir plus souvent. Audrey Dana s'entoure d'une coach parfois énervante dans ses certitudes et émouvante aussi. et d'hommes mals dans leur peau qu'elle dirige merveilleusement bien. A voir absolument.
L’actrice Audrey Dana, découverte chez Lelouch, avait surpris son monde en réunissant pour son premier film derrière la caméra pléthore des plus grandes comédiennes françaises, d’Isabelle Adjani à Sylvie Testud en passant par Laetitia Casta ou Géraldine Nakache. Toutes au casting de sa comédie féminine et féministe avant l’heure hautement recommandable et au titre malicieux : « Sous les jupes des filles » qui avait obtenu un joli succès en salles. Elle s’était ensuite rétamée avec une comédie à l’humour très lourd, « Si j’étais un homme » qui s’est tout autant manger un four au box-office. Elle fait machine arrière en revenant avec une nouvelle comédie chorale mais cette fois sur les hommes, peut-être pour retrouver le succès. Alors si « Hommes au bord de la crise de nerfs » n’a pas trop fonctionné en salles, il est tout de même sympathique et nous fait passer un bon moment et relève le niveau de son précédent essai (sans atteindre l’excellence du premier).
On y voit sept hommes de tous âges, au bord de l’implosion personnelle, signer pour un stage de développement personnel en pleine nature et coacher par une femme. Si le déroulement est très (trop) attendu, on se laisse aller. En effet, il est logique qu’au début ils ne s’entendent pas pour faire fonctionner la machine à quiproquos et comique de situation pour qu’ensuite ils s’apprivoisent et déclencher celle à tendresse et à solidarité. On ne sera donc jamais surpris ou étonné de ce côté-là, malheureusement. Ensuite, tout cela sent parfois un peu l’improvisation (voulue ou non) et il y a donc des scories qui polluent un peu l’ensemble. On pense à un Ramzy Bédia qui en fait un peu trop et au jeune Max Baissette de Malglaive qui n’est pas toujours juste. Ou encore à Francois-Xavier Demaison qui nous joue toujours la même partition. Enfin, certains gags tombent à plat et le scénario n’est guère étoffé, se contentant d’enchaîner les soucis des uns et des autres pour que chacun ait son petit moment à lui.
Mais, à l’inverse, « Hommes au bord de la crise de nerfs » nous offre des moments très drôles, notamment au début, quand tous ces messieurs galèrent en pleine nature ou au détour de quelques répliques bien senties. On peut aussi compter sur les compositions de Laurent Stocker, au-dessus du lot et tour à tour drôle et émouvant, de Pascal Demolon qui, au détour d’une scène, nous conquiert, d’un Thierry Lhermitte impeccable et de la découverte Mickaël Gregorio. En parallèle, Marina Hands gère tous ces hommes de manière admirable. On apprécie aussi les valeurs sur la nature et la manière naturaliste dont celle-ci est filmée. Et, si l’humour capote une fois sur deux, les belles valeurs et l’émotion finale sont plutôt bien réussis. Alors ce n’est pas le film du siècle, ni même la comédie de l’année, mais on passe un bon moment.
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Film avec plein de bonnes volontés sur une équipe de gars dépressifs de 18 a 70 ans qui se retrouve dans la campagne du Périgord ou Bretagne..pas vraiment d'histoire sauf une remise en questions sur leurs vies..vu et revu bien qu'en prestation des acteurs tél que Thierry Lhermitte ça reste légèr et sans conséquences...à voir si on déjà tout vu au cinéma...très français...
Malgré le petit clin d’œil au titre du film de Pedro Almodóvar, le troisième long-métrage d’Audrey Dana, réalisé en 2022, reste une comédie chorale bien convenue. Il n’y a pas grand-chose à en retenir même si la distribution très hétérogène semble alléchante sur le papier (Ramzy Bedia, François-Xavier Demaison, Pascal Demolon, Thierry Lhermitte, Laurent Stocker, etc.). L’histoire de ces hommes réunis pour une thérapie de groupe en pleine nature sauvage développe les poncifs habituels sur le dépassement de soi et le respect de l’autre. Finalement, la multitude de personnages ne permet pas de s’intéresser à leurs petits tracas, le scénario ne faisant que papillonner de l’un à l’autre. Bref, un divertissement bien fade juste sauvé par le vertueux message sur l’écologie.
Quelques passages amusants mais bon, je n’ai pas vraiment accroché. Sur le fond le sujet très intéressant que traite la réalisatrice Audrey Dana, est tout à fait actuel avec, on le comprend bien, l’immense mal-être que peuvent ressentir de nombreux hommes par ces temps de féminisme omniprésent sur-médiatisé, et tout aussi horripilant que la mode vegan. Mais rarement on entre dans le fond des problèmes, on ne fait que les effleurer, les survoler. En réalité cela mériterait une suite, car les interprètes sont bons.
Film très réussi , la brochette d'acteurs est excellente , la complicité de l'équipe nous touche particulièrement ainsi que les sujets abordés et les personnages qu'ils incarnent . Bravo !!!
Magique, super beau littéralement adoré !!!!! TOUS les acteurs sont géniaux et dans ce bel endroit le Vercors 🤩🤩🤩🤩 A voir pour remettre les pendules à l heure
Sous des airs de grosse farce, c'est un film qui soulève beaucoup de questions sur notre société contemporaine. Très bien mis en scène par l'excellente Audrey Dana, avec une brochette d'acteurs au diapason, on passe un bon moment empreint de réflexion .
Un vent de fraîcheur intense. On savoure la joie qui irradie à l'écran, l'enthousiasme des acteurs qui font de chaque scène une gigantesque foire. On ne rit certes pas aux éclats, mais on sourit assez souvent et on ne voit pas le temps défiler. Le casting est très bon et fait vivre le film du début à la fin. On reste cependant sceptique sur les passages pseudo-philosophiques, parti pris contestable et qui n'émeut pas. Foncez-y pour le plaisir éclaboussant à l'écran et pour la bande son qui accompagne merveilleusement bien l'image.
On est pas là sur une comédie française oubliable, nulle, pas drôle ect... C'est une comédie qui a du coeur, on pleure, on sourit et on rit beaucoup. Tous les personnages sont bien écrits et attachants, tous drôle. Quand au scénario, il est vraiment original et une idée de base vraiment bien pensée, dommage qu'il manque d'être peaufiner, mais vraiment, on rigole souvent. Des blagues bien écrites et drôles et une fin vraiment bonne.
Audrey Dana, pour son 3ème film, nous parle des hommes. Vous me direz, après ses calamiteux, Sous les jupes des filles et Si j’étais un homme, – tiens, tiens ! -, c’était difficile de faire pire. Avec ces 97 minutes, mission accomplie… sans plus. Sept hommes, de 17 à 70 ans, que tout oppose, sinon d’être au bord de la crise de nerfs, se retrouvent embarqués dans une thérapie de groupe en pleine nature sauvage. Ce stage mystérieux, « exclusivement réservé aux hommes », est censé faire des miracles. Première surprise à leur arrivée : le coach est une femme ! Imprévisible et déroutante, elle va tout faire pour les aider à aller mieux. Avec ou sans leur consentement… Une preuve de plus que réunir un casting XXL reste vain si le scénario n’est pas à la hauteur des ambitions. Ça se veut psychologique, mais c’est ballot. Ça se veut même scientifique – les scénaristes osent se vanter de s’être inspirées des sept neurohormones que nos corps sécrètent et qui influent sur nos personnalités – c’est seulement caricatural. Ça se veut drôle mais c’est bancal et poussif. Bref, je n’en dirai pas plus de peur de dire définitivement du mal de ce film… Comment ? Ah, c’est déjà fait ? Tant pis. Quand on lit les noms de Thierry Lhermitte, Ramzy Bedia, Pascal Demolon, Laurent Stocker, Michaël Grégorio, François-Xavier Demaison, Max Baissette de Malglaive, sans oublier la seule femme de ce casting testostéroné, Marina Hands, on se dit banco ! Eh bien non ! La déception est donc à la hauteur de l’espérance. Car, ici, rien ne tient debout. La psychologie (?) des personnages, les rebondissements (re ?) et la thérapie – pardon Terre Happy… jeu de mots laid pour cerveaux lents… mais je décline route responsabilité, c’est dans le film -, qui fait son effet en 4 jours (triple ?). Tous ces messieurs à problèmes – lourds pour certains -, sont guéris – youp la boum – comme par magie. On n’y croit pas un instant. Et les acteurs non plus, alors ils font semblant d’y croire et, au passage, en font des tonnes. C’est un congrès des Chargeurs réunis. Du gâchis pur et simple. Ah si, quand même ! Le Vercors est très beau !
Un excellent moment passé devant ce film bien sympathique. Cela fait du bien en ces temps dramatiques. Tout les acteurs sont à leurs places et la "folie" de l'animatrice est bien drôle. Les décors naturels nous apportent un bol d'air en plus, ce qui ne gâche rien. Vraiment satisfaits.
Comédie douce amère, sur le mal de vivre d'hommes de tous âges et toutes origine sociale dont le seul point commun est la totale ignorance de la nature. Ce la donne quelques scènes mémorables. Certes, il y a des baisses de régime. Si vous désirez rire à gorge déployée, passez votre chemin, mais dans l'ensemble ce film se laisse regarder et fait du bien.