Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Si le plaisir que suscite Ham on Rye tient pour partie à la façon dont il charge d’étrangeté les clichés du teen movie, sa véritable beauté émane de l’attention portée à des figures périphériques.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Ham on Rye est certainement réussi en cela : incertain, blotti dans sa petite bulle ouatée à la léthargie onirique, discrètement surréaliste, il recèle en lui une douceur empoisonnée dans laquelle il n’est pas si désagréable de se perdre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Tyler Taormina sublime l'ennui adolescent dans la classe moyenne américaine à travers un somptueux portrait de groupe.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une comédie aussi féroce que subtile et oppressante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Ham on Rye se déplie comme une énigme en trois parties, qui se jouent de leurs différences de ton : après le cocon référencé du premier chapitre et la transe musicale du deuxième, le film s’achève sur un effet gueule de bois.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Le miracle, c’est qu’il aurait pu s’agir d’un joujou indé de plus, vu cent fois, et que ce n’est pas le cas. Le premier long métrage de Tyler Taormina porte la promesse d’un nouvel auteur à chérir, un peu de sang neuf dans le cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Tout se passe comme si Tyler Taormina, jeune cinéaste, avait le don de réenchanter l’imagerie adolescente en lui inoculant une forme d’innocence perdue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Une autre proposition de teen movie, subversive, marginale, fascinante, et un premier long métrage admirable.
L'Obs
par François Forestier
Quelque part entre Gus Van Sant et « Alice’s Restaurant », sans ligne dramatique claire mais avec une poésie lunaire étonnante, et ça fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Nicolas Geneix
Empreinte de poésie bruitiste, la démarche adoptée s’avère moins socioanthropologique qu’empathique.
Première
par Thomas Baurez
Ham on Rye, premier long-métrage de Tyler Taormina, se présente comme un college movie classique. C’est un leurre. L’étrangeté tient dans la façon dont le cinéaste refuse de poser en surplomb une dramaturgie sur ces corps en mouvement dont le point de convergence ne sera jamais atteint.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Marin Gérard
Plus le film avance, plus l'imbroglio du récit se fait lourd et embarrassant, comme si Tyler Taormina, passés les charmants effets de manche du début, voulait dissimuler la vanité de son projet sous diverses couches d'ésotérisme bon marché.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
Si le plaisir que suscite Ham on Rye tient pour partie à la façon dont il charge d’étrangeté les clichés du teen movie, sa véritable beauté émane de l’attention portée à des figures périphériques.
Culturopoing.com
Ham on Rye est certainement réussi en cela : incertain, blotti dans sa petite bulle ouatée à la léthargie onirique, discrètement surréaliste, il recèle en lui une douceur empoisonnée dans laquelle il n’est pas si désagréable de se perdre.
Le Monde
Tyler Taormina sublime l'ennui adolescent dans la classe moyenne américaine à travers un somptueux portrait de groupe.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie aussi féroce que subtile et oppressante.
Les Inrockuptibles
Ham on Rye se déplie comme une énigme en trois parties, qui se jouent de leurs différences de ton : après le cocon référencé du premier chapitre et la transe musicale du deuxième, le film s’achève sur un effet gueule de bois.
Libération
Le miracle, c’est qu’il aurait pu s’agir d’un joujou indé de plus, vu cent fois, et que ce n’est pas le cas. Le premier long métrage de Tyler Taormina porte la promesse d’un nouvel auteur à chérir, un peu de sang neuf dans le cinéma américain.
Télérama
Tout se passe comme si Tyler Taormina, jeune cinéaste, avait le don de réenchanter l’imagerie adolescente en lui inoculant une forme d’innocence perdue.
CinemaTeaser
Une autre proposition de teen movie, subversive, marginale, fascinante, et un premier long métrage admirable.
L'Obs
Quelque part entre Gus Van Sant et « Alice’s Restaurant », sans ligne dramatique claire mais avec une poésie lunaire étonnante, et ça fait un bien fou.
Positif
Empreinte de poésie bruitiste, la démarche adoptée s’avère moins socioanthropologique qu’empathique.
Première
Ham on Rye, premier long-métrage de Tyler Taormina, se présente comme un college movie classique. C’est un leurre. L’étrangeté tient dans la façon dont le cinéaste refuse de poser en surplomb une dramaturgie sur ces corps en mouvement dont le point de convergence ne sera jamais atteint.
Critikat.com
Plus le film avance, plus l'imbroglio du récit se fait lourd et embarrassant, comme si Tyler Taormina, passés les charmants effets de manche du début, voulait dissimuler la vanité de son projet sous diverses couches d'ésotérisme bon marché.