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    Antigone
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    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    231 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2022
    Film plutot réussi... le thème est choquant et humain, les acteurs sont bons & intenses et je dois dire que la première heure m'a séduit tant ce qui arrive à la jeune immigrante est atroce et son soutien à sa famille est vraiment beau à voir ! Par contre la seconde partie du film est plus poussive ! Les réactions des personnages sont plus caricaturales, le soutient intempestif derrière la cause use un peu et j'ai moins aimé ça car j'ai trouvé ça moins prenant et moins captivant ! Un très bon film anyway...
    yeuce
    yeuce

    28 abonnés 874 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2021
    Malgré le coté utopique de l'histoire, on se laisse entrainer derrière cette ado aux desseins irréels de la dure réalité du sujet... Interprétation superbe de l'actrice principale .
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    154 abonnés 2 225 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2020
    Ce film québécois, qui revisite le mythe d’Antigone, est on ne peut plus actuel par l’ensemble des thèmes qu’il englobe. Il montre bien le cheminement de la pensée d’une adolescente qui part de son raisonnement issu de son éducation et de sa pureté, pour aller vers une pensée plus englobante et plus aboutie qui tient compte des éléments extérieurs. L’interprétation de Nahéma Ricci est saisissante : on est très vite sous le charme de ce charisme quasi-magnétique. La mise en scène, très originale et très tournée vers les réseaux sociaux, relève une réalisation au départ qui fait très téléfilm. Une belle surprise que cette sortie Cinéma qui sort des sentiers battus.
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    22 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2022
    Antigone choisit de faire évader son frère de prison en le remplaçant. La supercherie est très vite découverte et débute alors le procès d'Antigone pendant que son frère est en cavale. Cette affaire de justice va provoquer un soutien populaire pour Antigone, jeune fille qui n'a agit que pour éviter à son frère d'être extradé du Québec. Le film est touchant, bien réalisé et bien interprété. On se demande comment tout cela va finir, on aperçoit le happy ending arriver mais un rebondissement de dernière minute chamboule le déroulement des événements. Un film intéressant qui pose la question de la distinction entre moralité et legalité.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    320 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 avril 2021
    Antigone est une adolescente brillante vivant dans un quartier populaire. Son frère va être incarcéré et risque l’expulsion du pays. Elle va tout faire pour le libérer.

    C’est la Canadienne Sophie Deraspe qui a fait cette version moderne du mythe grec d’Antigone, fille d’Œdipe. Elle en a aussi écrit le scénario. Il a été nommé Meilleur film canadien lors du Festival international du film de Toronto de 2019.

    Je ne connais que de nom le mythe grec donc je ne serais dire à quel point cela le respect, par contre je peux voir dire que cette revisite est poignante.

    Elle nous présente à merveille le dilemme qui va détruire Antigone de l’intérieur. Doit telle choisir sa vie studieuse et brillante, ou tout sacrifier pour l’amour envers sa famille. C’est en quelque sorte la lutte que chacun peut avoir un jour sur : avancer seule ou rester unis mais dans la difficulté.

    Il y a énormément de séquences axées sur l’amour. Un sentiment pur, sans arrière-pensée et qui nous donne une force incommensurable. Elles seront aussi basées sur l’accomplissement de soi avec l’évolution d' Antigone. Cette adolescente assume ses choix, et ceux-ci la rendent forte. Elle se dresse sans ciller et c’est impressionnant.

    Certains passages m’ont donné des frissons. Il faut dire que Nahéma Ricci livre une prestation parfaite. Elle vit son personnage du début à la fin. Cette actrice est fantastique. J’espère revoir cette Québécoise à l’avenir.

    Au-delà de toutes ces notions philosophique, l’histoire est passionnante. Le rythme est bien dosé et nous offre de grand moment. On veut absolument savoir le dénouement et il y a des rebondissements forts. C’est bien mis en avant avec une réalisation dynamique qui permet de toujours garder l’entrain.
    Spider cineman
    Spider cineman

    122 abonnés 1 844 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2021
    Une famille Kabyle immigrée au Canada, puis tout bascule une injustice, un frère tue par une bavure policière une sœur qui prend sa défense. Un drame social. Ce qui reste frappant au delà du message, c est la touchante interprétation d Antigone. Un film à voir remarquable par son traitement du sujet, cette réalisation sensible et ce jeu d acteurs assez rare. Des noms en référence à la tragédie grecque ... mais je trouve que c est surtout dans la restitution qu on a ce ressenti.
    Clément R
    Clément R

    14 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2021
    Antigone est un film fort, rebel et particulièrement poignant. Surfant sur les sentiments, le film souffre malheureusement de scènes de justice rigides et trop mises en scène. Pourtant, on ne peut que s'incliner devant la performance de l'actrice principale. A elle seule, elle porte le film. Il sera dommage de passer à côté.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 626 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 octobre 2020
    La prétention de ce film est de nous faire croire que c'est une tragédie parce qu'il tire son titre d'une célèbre tragédie grecque et parce que les protagonistes qu'il montre portent des noms grecs tirés de la tragédie. A notre époque il semble absurde d'avoir des émigrants nord-africains appelés Antigone, Ménécée, Ismène ou Étéocle. De plus l'histoire ignore totalement le contenu original de la tragédie grecque. Le résultat est un film amateur mal joué et mal réalisé. Le seul aspect positif est la beauté de l'expression du visage de Nahéma Ricci. Malheureusement à cause de la réalisatrice inexpérimentée son expression reste la même tout au long du film...
    Alex Motamots
    Alex Motamots

    5 abonnés 281 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 octobre 2020
    Quel film fort ! Même si l'histoire diffère quelque peu du mythe d'Antigone, on y retrouve les principaux ingrédients. Certaines scènes sont bouleversantes : la grand-mère qui chante pour sa petite fille, entre autre.
    Un film et un personnage que l'on n'oublie pas.
    Bastien N
    Bastien N

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 septembre 2020
    Super film en plein dans l'actualité tout en étant intemporel dans le fond. Le message principal est essentiel et représentatif : Mon coeur me dit!
    Christian Estevez
    Christian Estevez

    11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 décembre 2020
    « ANTIGONE », LORSQUE LE MILITANTISME « PROGRESSISTE » DÉVOIE LA NOTION DE JUSTICE !

    Sorti premièrement au Canada (son pays d’origine), le 8 novembre 2019, « Antigone », de Sophie Deraspe, sort à présent dans les salles françaises ce 2 septembre 2019.

    synopsis :

    Antigone est une adolescente brillante au parcours sans accroc. En aidant son frère à s’évader de prison, elle agit au nom de sa propre justice, celle de l’amour et la solidarité. Désormais en marge de la loi des hommes, Antigone devient l’héroïne de toute une génération et pour les autorités, le symbole d’une rébellion à canaliser.

    Dernier film de la réalisatrice, scénariste et monteuse Sophie Deraspe, considérée comme l’un des grands talents de l’actuelle génération du cinéma canadien, « Antigone » est l’adaptation (très) libre, non pas de la pièce classique de Sophocle, mais de la version de Berthold Bretch que lui-même a faite en 1948 à partir de l’adaptation d’un autre grand allemand, à savoir Friedrich Hölderlin (1770 – 1843).

    Comme à son habitude, ce n’est pas tant son talent de réalisatrice (si ce n’est celui de savoir diriger ses interprètes – la prestation épatante de Nahéma Ricci, qui joue le rôle titre est le seul très bon point de cet « Antigone ») qui transparaît dans ce cinquième film (mais quatrième fiction) de Sophie Deraspe, bien que, contrairement à tous ses précédents films, cet « Antigone » ressemble tout de même, pour une bonne part, à un vrai film et non pas à un documentaire, comme la cinéaste nous y a toujours habitué. Malgré tout, il y a encore trop de visuel à la documentaire dans cette fiction (particulièrement dans la façon de montrer les réactions de l’opinion publique…en fait, de la « jeunesse », qu’elle porte au nues – et sur quoi nous reviendrons tant c’est là l’un des principaux reproches que nous faisons à la réalisatrice) et, ce qu’il y a de visuellement véritablement cinématographique dans « Antigone » reste très peu inspiré et d’une grande…rareté – avec une seule ébauche d’idée esthétique de la part de Sophie Deraspe, dans la façon de filmer la scène d’amour (qui, ici, est, en effet, du domaine de l’amour et non pas de scène de sexe gratuite).

    Vous le comprendrez donc, ce n’est pas pour voir un film au cadrage inventif et esthétique que l’on va voir les films de Sophie Desarpe et qu’elle a acquis autant de notoriété et de récompenses.

    Non ! Ce qui donne à cette réalisatrice ce statut de « talent du cinéma canadien », c’est le contenu, le propos « progressiste » de ses films.

    Et SON « Antigone » n’échappe, hélas, pas à la règle, allant même jusqu’à la « bien-pensance bobo-gauchiste » dans tout son superficiel manichéisme. En cela, c’est une première pour Sophie Deraspe qui, jusqu’à présent, avait réussi a éviter cette écuelle. Mais, comme c’est très généralement le cas, à force de faire dans le militantisme on finit par tomber dans la complète simplification de la réalité des choses.

    Alors, en quoi consiste ce manichéisme que nous reprochons tant à ce film de Sophie Deraspe, au point de ne lui donner notre (presque) plus mauvais avis (juste au-dessus de celle donnée au très idéologiquement similaire « The old guard », produit par Netflix et sorti le 10 juillet dernier) ?

    Et bien, nous aurions tendance à dire… TOUT !

    Le synopsis d’ « Antigone » affirme que celle-ci agit « au nom de sa propre justice, celle de l’amour et la solidarité ». Déjà, avant de dire ce que nous raconte le film, rappelons que pratiquer « sa propre justice » n’a JAMAIS et ne sera JAMAIS un acte juste ! Les justiciers, en réalité, ça n’existe pas ! L’Humanité veut croire en une justice plus juste que la Justice d’État elle-même, mais c’est, en réalité, dû à ce sentiment égocentrique qui fait dire à chacun qu’il fait partie des « gens bien » et que, à ce titre, cela donne le droit de devenir un monstre envers qui ne pratique pas ce « bien » qui n’est, pourtant, que l’idéologie une époque et d’un lieu ! C’est ce sentiment égotique qui conduit, par exemple, au nom de la défense des animaux, à se réjouir de la mort d’un chasseur, qui n’en reste pas moi un être humain (et, se réjouir de la mort d’un être humain n’est pas autre chose que d’être « quelqu’un de mal »).

    Qui plus est, l’Antigone de ce film nous est présenté comme une personne n’étant « qu’amour et solidarité » ! Mais en quoi cette jeune fille vit-elle selon ces deux valeurs, elle qui, après avoir appris que son frère aîné qui se fait tué par la police et son autre frère – dont elle prend la place à la prison, lors d’une visite de parloir, afin qu’il puisse s’échapper et quitter le Canada pour fuir la Justice du pays en passant aux USA – étaient tous deux membre d’un cartel de trafic de drogue, pratiquant aussi le tabassage de personnes innocentes, y compris des « gamins » !? Où est l’amour du prochain et la solidarité envers de véritables victimes dans son entêtement face à la Justice ?

    Cette Antigone n’est, en réalité, que dans le sentiment de « fratrie mafieuse » ! En cela, elle n’est plus du tout dans la ressemblance de l’Antigone tant de Brecht, d’ Hölderlin ou de l’originale de Sophocle ! La figure d’Antigone défiant la « justice de lois sans fond » de Créon est de celle qui réclame une justice qui ne soit pas excessive – Créon ayant interdit d’enterrer les deux frères d’Antigone qui se sont entre tués pour monter sur le trône de la cité de Thebes. Antigone violait donc la loi mais sa volonté de pratiquer les rites religieux de funérailles, pour respecter les dépouilles de ses frères, ne contrevenaient, en fait, nullement à une « Justice Juste », bien au contraire !

    Mais le militantisme « bobo-gauchiste » de la réalisatrice Sophie Deraspe réside dans ce message pitoyablement victimaire de « les délinquants, lorsqu’ils tombent sous les balles des bavures policières, sont de pauvres victimes et la police comme la Justice d’État est d’office totalitaire, voire fasciste ». Ce discours est d’autant plus victimaire que, dans cette version cinéma d’ « Antigone », cette dernière est venue du Maghreb avec sa grand-mère et ses trois frères et sœur, après que leurs parents ai été tués par les fanatiques, dans leur pays d’origine. Nous avons donc, ici, « les pauvres immigrés musulmans » dont l’État occidental où ils vont se réfugier, sans papiers, se montre injuste en emprisonnant l’un des leurs qui est une « petite frappe » de délinquant. Il semble que rien ne soit jamais trop, pour la réalisatrice, dans la surenchère de drames vécus par ses « héros », pour provoquer la pitié du spectateur, qui lui fera prendre partie pour l’idéologie qu’elle veut défendre (celle d’États occidentaux racistes et dictatoriaux par nature envers les immigrés !

    Et comme si Sophie Deraspe n’avait pas déjà été assez loin dans le « progressisme humaniste », elle fait de son Antigone l’héroïne de toute la jeune génération, qu’elle montre se moquant de la Justice et de ses représentants (la scène du procès où il n’y a que des jeunes qui se moquent du règlement de la cours, où la réalisatrice se montre, sans équivoque, de leur côté est la plus éloquente dans ce discours de « Nous, la jeunesse, nous sommes ceux qui savons vraiment ce qui est juste et ce qui ne l’est pas et, de ce fait, il est normal que nous vous défions, vous et le vieux monde raciste, injuste, etc.. »).

    Alors, quand on est pas capable de faire un film esthétiquement bien réalisé, qui peut, au moins, permettre de profiter d’un moment agréable, et qu’on préfère faire un film de qualité par rapport à la réflexion qu’il amène à l’esprit de quiconque le regarde, on ne fait, surtout pas, cet « Antigone », qui n’est qu’un film de propagande sois-disant progressiste !

    Christian Estevez

    N.B.: critique publiée sur "FemmeS du Monde magazine" le 31 août 2020.
    Max07
    Max07

    8 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2024
    Pour moi, Antigone n’est pas l’un des meilleurs films québécois. L’histoire et le scénario était bien. Les acteurs jouait bien leur rôle. Mais je trouvais aussi que parfois, c’était un peu gênant et très spécial. En globalité le film ne m’a pas plu.
    portnoy
    portnoy

    3 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2022
    Poignant, le film est porté par l'interprétation exceptionnelle de l'actrice principale! Chapeau aussi à la réalisatrice . Merci
    Nadia T
    Nadia T

    3 abonnés 404 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2021
    Alors j'ai trouvé va film vraiment très moyen... Pje comprends le sens qu'on a voulu donner avec cette fille pleine de valeur et de justice et qui ne jure que par sa famille... Mais enfin... Où est l'intelligence... Personne pour faire raisonner personne que l'idée est nulle. Et qu'elle ne sera pas impunité ? La cerise sur le gâteau est que tout le monde décide de repartir. N'importe quoi
    Vraievérité
    Vraievérité

    18 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juin 2022
    Pourquoi appeler ce film ANTIGONE ? Où sont Sophocle, Cocteau, Anouilh, Brecht ? Loin de cette triste caricature hélas ! Il ne suffit pas de reprendre un nom pour faire une œuvre.
    Evidemment, on en profite pour blâmer la police, responsable de la mort du frère, alors que les jumeaux s'entretuent dans le mythe... Oh, la méchante police ! Oh, la méchante justice ! Voilà un long métrage gratuit, démago, outrancier, bobo, populo... tout ce qui plaît en 2022. Changez le titre et allez lire la pièce de théâtre, vous passerez assurément un meilleur moment.
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