Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
BIBA
par Briag Maruani
Fort de vrais moments de grâce, ce film est impossible à oublier.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un bijou de cinéma.
Positif
par Yann Tobin
Les acteurs, dont la plupart jouent pour la première fois [...], sont d’une justesse saisissante, au service d’un scénario qui évite toute surenchère démonstrative : l’intégrisme au Maghreb, la violence policière occidentale, les contradictions de l’adolescence, le dérapage de l’ascenseur social [...], les rouages de la justice, le sort des immigrés en attente de citoyenneté, les pièges de l’emballement sur les réseaux sociaux, la lâcheté politicienne… autant de thèmes égrenés qui auraient pu tourner au didactisme, mais qui se fondent puissamment dans la fluidité du récit.
20 Minutes
par Caroline Vié
La jeune Nahéma Ricci est la révélation du film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Une adaptation réussie du mythe de Sophocle.
CinemaTeaser
par Thomas Destouches
En reprenant la figure d’Antigone et son refus moral de l’autorité, Sophie Deraspe signe une tragédie furieusement contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
"Antigone" aborde des problèmes contemporains sans jamais s’éloigner de sa source, trouve aussi un équilibre ténu mais bien géré entre classicisme théâtral et modernité cinématographique. Le jeu étrange de Nahéma Ricci, comédienne quasi débutante, dégage une exaltation intérieure, une illumination dans le regard rappelant parfois la Jeanne ou la "Jeannette" de Dumont. Elle contribue beaucoup à la réussite de ce film ambitieux et modeste.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Cette nouvelle Antigone, guerrière de la justice et de la liberté, a le visage irradiant de Nahéma Ricci, jeune actrice à la sainte passion.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Cette interprétation ouverte, alliée à un réalisme sensible et sobre, forgent une des plus belles réussites de cette rentrée cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par La rédaction
Du grand cinéma militant, qui n'est pas sans rappeler celui de Spike Lee. Antigone, une héroïne éternelle qui n'en finit pas de se réinventer.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Cette nouvelle Antigone, guerrière de la justice et de la liberté, a le visage irradiant de Nahéma Ricci, jeune actrice à la sainte passion.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Puissante et inéluctable, la tragédie en marche trouve un nouveau souffle. Soulignée par une B.O. détonante, la folle indépendance des personnages (incarnés par de jeunes acteurs incandescents) nous met dans l'énergie des films de Xavier Dolan.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film parfait pour le public adolescent, qui y trouvera matière à réflexion sur la notion de super-héros tout en révisant ses classiques. Une grande réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Cette adaptation réussie de la pièce antique transpose les ressorts du théâtre grec dans le monde contemporain et ses problématiques (l’immigration, les réseaux sociaux). La qualité de l’interprétation du rôle d’Antigone mérite également d’être signalée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
La force de cette lutte contre une justice un peu trop aisément rigide d’un Québec n’apparaissant pas à son meilleur profil déborde d’intensité et de tension, entraînant chacun des protagonistes dans un tourbillon fatal où se mêlent immigration, extradition, trafic de drogue et place dans la société.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
[...] une relecture coup de poing de la tragédie de Sophocle.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Sophie Desrape met en scène une reconstitution audacieuse et très bien écrite, du mythe d’Antigone dans un Canada étranglé par ses contradictions, comme un hymne à la jeunesse et une invitation à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Sophie Deraspe présente son héroïne comme une martyre (elle se réfère à « la Passion de Jeanne d’Arc », de Dreyer) et suit plusieurs intrigues secondaires, au risque de s’éparpiller. La simple présence de l’actrice, Nahéma Ricci, suffit à colmater un récit éclaté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
S’il souffre de quelques répétitions, ce film audacieux est porté de bout en bout par sa stupéfiante interprète principale, Nahema Ricci, qui incarne ici une Antigone inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Trois sujets forts donc. Peut-être deux de trop : ils ont parfois tendance à se parasiter. Gros coup de cœur pour la performance de Nahéma Ricci, dans le rôle-titre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La Rédaction
Si la fin est prévisible, la mise en scène laisse planer le suspense. L'interprétation est au diapason. Nahéma Ricci, 21 ans, n'a pas hésité à se travestir en garçon pour composer avec talent une figure qui suscite la compassion.
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
En tressant sa prise de position politique aux vibrations intimes du vécu adolescent, Antigone exprime sa foi en l’énergie contestataire de la jeunesse, et réactualise avec sensibilité un mythe à portée universelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sylvestre Picard
La fondation du drame reste la même qu’au temps d’Eschyle : faut-il suivre son cœur ou la loi des hommes ? Mais cet Antigone de la Belle Province, qui lorgne plus du côté de Xavier Dolan et de Jean-Marc Vallée que de Baz Luhrmann, ne manque ni d’énergie ni de pertinence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
Il y a des maladresses et des facilités — on peut regretter la théâtralité naïve des scènes de procès ainsi qu’une propension excessive à nous prendre par les sentiments — mais l’efficacité de l’ensemble est indéniable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
On aime beaucoup.
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Le film ne retient de sa source théâtrale, refondue au gré des allusions, qu’une pincée de distanciation saupoudrée ça et là s’en remettant pour le reste à la forme linéaire de la fiction sociale, qui n’offre pas une réponse esthétique à la hauteur de l’élan contestataire du personnage.
Libération
par Camille Nevers
Mauvais théâtre en effet, plus désemparée que les réseaux sociaux qu’elle mime en interludes navrants, cette énième variation d’Antigone, mise à jour vieillotte du personnage de la révolte faite jeune fille dans la mythologie grecque, avant Sophocle et Anouilh, charge la barque dérisoire du vouloir-dire, de cette terreur du vouloir-dire dont on crève, et qui dévore tout jusqu’à l’art de savoir se taire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
BIBA
Fort de vrais moments de grâce, ce film est impossible à oublier.
Ouest France
Un bijou de cinéma.
Positif
Les acteurs, dont la plupart jouent pour la première fois [...], sont d’une justesse saisissante, au service d’un scénario qui évite toute surenchère démonstrative : l’intégrisme au Maghreb, la violence policière occidentale, les contradictions de l’adolescence, le dérapage de l’ascenseur social [...], les rouages de la justice, le sort des immigrés en attente de citoyenneté, les pièges de l’emballement sur les réseaux sociaux, la lâcheté politicienne… autant de thèmes égrenés qui auraient pu tourner au didactisme, mais qui se fondent puissamment dans la fluidité du récit.
20 Minutes
La jeune Nahéma Ricci est la révélation du film.
CNews
Une adaptation réussie du mythe de Sophocle.
CinemaTeaser
En reprenant la figure d’Antigone et son refus moral de l’autorité, Sophie Deraspe signe une tragédie furieusement contemporaine.
Culturopoing.com
"Antigone" aborde des problèmes contemporains sans jamais s’éloigner de sa source, trouve aussi un équilibre ténu mais bien géré entre classicisme théâtral et modernité cinématographique. Le jeu étrange de Nahéma Ricci, comédienne quasi débutante, dégage une exaltation intérieure, une illumination dans le regard rappelant parfois la Jeanne ou la "Jeannette" de Dumont. Elle contribue beaucoup à la réussite de ce film ambitieux et modeste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Cette nouvelle Antigone, guerrière de la justice et de la liberté, a le visage irradiant de Nahéma Ricci, jeune actrice à la sainte passion.
Franceinfo Culture
Cette interprétation ouverte, alliée à un réalisme sensible et sobre, forgent une des plus belles réussites de cette rentrée cinématographique.
L'Express
Du grand cinéma militant, qui n'est pas sans rappeler celui de Spike Lee. Antigone, une héroïne éternelle qui n'en finit pas de se réinventer.
Le Dauphiné Libéré
Cette nouvelle Antigone, guerrière de la justice et de la liberté, a le visage irradiant de Nahéma Ricci, jeune actrice à la sainte passion.
Le Journal du Dimanche
Puissante et inéluctable, la tragédie en marche trouve un nouveau souffle. Soulignée par une B.O. détonante, la folle indépendance des personnages (incarnés par de jeunes acteurs incandescents) nous met dans l'énergie des films de Xavier Dolan.
Le Parisien
Un film parfait pour le public adolescent, qui y trouvera matière à réflexion sur la notion de super-héros tout en révisant ses classiques. Une grande réussite.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation réussie de la pièce antique transpose les ressorts du théâtre grec dans le monde contemporain et ses problématiques (l’immigration, les réseaux sociaux). La qualité de l’interprétation du rôle d’Antigone mérite également d’être signalée.
Rolling Stone
La force de cette lutte contre une justice un peu trop aisément rigide d’un Québec n’apparaissant pas à son meilleur profil déborde d’intensité et de tension, entraînant chacun des protagonistes dans un tourbillon fatal où se mêlent immigration, extradition, trafic de drogue et place dans la société.
Télé 7 Jours
[...] une relecture coup de poing de la tragédie de Sophocle.
aVoir-aLire.com
Sophie Desrape met en scène une reconstitution audacieuse et très bien écrite, du mythe d’Antigone dans un Canada étranglé par ses contradictions, comme un hymne à la jeunesse et une invitation à la liberté.
L'Obs
Sophie Deraspe présente son héroïne comme une martyre (elle se réfère à « la Passion de Jeanne d’Arc », de Dreyer) et suit plusieurs intrigues secondaires, au risque de s’éparpiller. La simple présence de l’actrice, Nahéma Ricci, suffit à colmater un récit éclaté.
La Croix
S’il souffre de quelques répétitions, ce film audacieux est porté de bout en bout par sa stupéfiante interprète principale, Nahema Ricci, qui incarne ici une Antigone inoubliable.
La Voix du Nord
Trois sujets forts donc. Peut-être deux de trop : ils ont parfois tendance à se parasiter. Gros coup de cœur pour la performance de Nahéma Ricci, dans le rôle-titre.
Le Figaro
Si la fin est prévisible, la mise en scène laisse planer le suspense. L'interprétation est au diapason. Nahéma Ricci, 21 ans, n'a pas hésité à se travestir en garçon pour composer avec talent une figure qui suscite la compassion.
Les Inrockuptibles
En tressant sa prise de position politique aux vibrations intimes du vécu adolescent, Antigone exprime sa foi en l’énergie contestataire de la jeunesse, et réactualise avec sensibilité un mythe à portée universelle.
Première
La fondation du drame reste la même qu’au temps d’Eschyle : faut-il suivre son cœur ou la loi des hommes ? Mais cet Antigone de la Belle Province, qui lorgne plus du côté de Xavier Dolan et de Jean-Marc Vallée que de Baz Luhrmann, ne manque ni d’énergie ni de pertinence.
Télérama
Il y a des maladresses et des facilités — on peut regretter la théâtralité naïve des scènes de procès ainsi qu’une propension excessive à nous prendre par les sentiments — mais l’efficacité de l’ensemble est indéniable.
Voici
On aime beaucoup.
Cahiers du Cinéma
Le film ne retient de sa source théâtrale, refondue au gré des allusions, qu’une pincée de distanciation saupoudrée ça et là s’en remettant pour le reste à la forme linéaire de la fiction sociale, qui n’offre pas une réponse esthétique à la hauteur de l’élan contestataire du personnage.
Libération
Mauvais théâtre en effet, plus désemparée que les réseaux sociaux qu’elle mime en interludes navrants, cette énième variation d’Antigone, mise à jour vieillotte du personnage de la révolte faite jeune fille dans la mythologie grecque, avant Sophocle et Anouilh, charge la barque dérisoire du vouloir-dire, de cette terreur du vouloir-dire dont on crève, et qui dévore tout jusqu’à l’art de savoir se taire.