Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Ce voyage transatlantique de réconciliation et de rapprochement, à bord du Queen Mary 2, met à flot une mélancolie touchante.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Simon Riaux
Une croisière qui pourrait paraître un peu longuette si, comme souvent, Soderbergh ne l'émaillait pas de quantité de trouvailles et d'idées qui lui permettent de transformer le plus bateau des sujets en épopée mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
On avait quitté Meryl Streep en diva à paillettes, tour à tour cabotine, vaniteuse et irrésistible, dans The Prom, comédie musicale tapageuse, gay, quelque part entre High school musical et Priscilla, folle du désert. À mille lieues de cette comédie musicale de Netflix, mais avec tout autant de panache, on retrouve Meryl Streep dans les eaux plus noires et torturées de" La Grande Traversée".
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Avec ce nouveau film diffusé sur Canal+, Steven Soderbergh offre une comédie noire et jubilatoire avec la comédienne américaine dans le rôle d’une romancière en panne d’inspiration.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Très maîtrisé, le film est en grande partie improvisé. Il respire cette fraîcheur, cette spontanéité qui n'appartient qu'aux instants volés. Et l'on sent tout au long de cette traversée ce plaisir simple de faire du cinéma : de regarder courir le temps, la vie qui va, la ligne d'un paquebot qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Soderbergh s’intéresse à ses personnages comme à des concepts et pourtant, l’ensemble n’est jamais désincarné. Les trous d’air narratifs sont compensés par de vraies envolées improvisées et, surtout, une mise en scène inspirée voire virtuose, qui exploite au mieux un tournage effectué en toute discrétion, au milieu de véritables vacanciers.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Une croisière, un mystère, des non-dits : dans “La Grande Traversée”, Steven Soderbergh laisse Meryl Streep voguer au fil de dialogues largement improvisés puis rassemble les pièces du puzzle avec une virtuosité qui impressionne une fois encore.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
[...] le nouveau film du réalisateur de "Contagion" navigue entre tour de force et amateurisme déguisé.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Entre comédie cruelle et portrait ironique de quelques personnages engoncés dans leurs frustrations et snobismes, La grande traversée rappelle parfois l’univers de certaines fictions du regretté Robert Altman et, malgré ses longueurs, confirme l’étonnante capacité de renouvellement de Soderbergh.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Meryl Streep y livre une nouvelle composition de premier plan jusqu’à la dernière ligne droite au retournement renversant qui raconte la vraie nature de ce film : une ode au romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Christian Viviani
Œuvre raffinée et maîtrisée, aux mouvements de caméra enveloppants, "La Grande Traversée" est une manière de quintessence de Soderbergh.
Télérama
par Louis Guichard
La Grande Traversée réserve enfin un rebondissement majeur, particulièrement inattendu, et dépasse alors la chronique acide pour acquérir cette épaisseur romanesque que les personnages ne cessent d’interroger ou d’invoquer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
À partir de ce point de départ un brin ténu, Steven Soderbergh joue à l’homme-orchestre et improvise un amusant chassé-croisé dans les interminables coursives de ce géant des mers qui, au-delà de la virtuosité de l’exercice et de son questionnement sur la création artistique, tournerait rapidement à vide sans l’abattage de ses actrices.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas un Soderbergh majeur sans doute, mais un film plus troublant que les dernières livraisons du cinéaste (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Céline Fontana
Ce film, servi par d’excellentes comédiennes, déroute au départ par son académisme, son atmosphère aussi surannée que le paquebot de croisière où il se déroule. Sans doute parce que Steven Soderbergh nous a habitués à une approche plus originale et novatrice (...). De l’expérimentation, pourtant, il y en a aussi dans La Grande Traversée (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Frédéric Foubert
Le résultat tient du hang-out movie (ces films où les personnages passent leur temps à buller, façon Rio Bravo) entre septuagénaires. Bavard, flâneur, charmant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Une traversée laborieuse, faite de vignettes souvent ennuyeuses, cultivant cette forme de légèreté et de torpeur mêlées qui serait le propre de la croisière.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce voyage transatlantique de réconciliation et de rapprochement, à bord du Queen Mary 2, met à flot une mélancolie touchante.
Ecran Large
Une croisière qui pourrait paraître un peu longuette si, comme souvent, Soderbergh ne l'émaillait pas de quantité de trouvailles et d'idées qui lui permettent de transformer le plus bateau des sujets en épopée mélancolique.
Le Dauphiné Libéré
On avait quitté Meryl Streep en diva à paillettes, tour à tour cabotine, vaniteuse et irrésistible, dans The Prom, comédie musicale tapageuse, gay, quelque part entre High school musical et Priscilla, folle du désert. À mille lieues de cette comédie musicale de Netflix, mais avec tout autant de panache, on retrouve Meryl Streep dans les eaux plus noires et torturées de" La Grande Traversée".
Le Monde
Avec ce nouveau film diffusé sur Canal+, Steven Soderbergh offre une comédie noire et jubilatoire avec la comédienne américaine dans le rôle d’une romancière en panne d’inspiration.
Les Echos
Très maîtrisé, le film est en grande partie improvisé. Il respire cette fraîcheur, cette spontanéité qui n'appartient qu'aux instants volés. Et l'on sent tout au long de cette traversée ce plaisir simple de faire du cinéma : de regarder courir le temps, la vie qui va, la ligne d'un paquebot qui passe.
Les Fiches du Cinéma
Soderbergh s’intéresse à ses personnages comme à des concepts et pourtant, l’ensemble n’est jamais désincarné. Les trous d’air narratifs sont compensés par de vraies envolées improvisées et, surtout, une mise en scène inspirée voire virtuose, qui exploite au mieux un tournage effectué en toute discrétion, au milieu de véritables vacanciers.
Les Inrockuptibles
Une croisière, un mystère, des non-dits : dans “La Grande Traversée”, Steven Soderbergh laisse Meryl Streep voguer au fil de dialogues largement improvisés puis rassemble les pièces du puzzle avec une virtuosité qui impressionne une fois encore.
Libération
[...] le nouveau film du réalisateur de "Contagion" navigue entre tour de force et amateurisme déguisé.
Marianne
Entre comédie cruelle et portrait ironique de quelques personnages engoncés dans leurs frustrations et snobismes, La grande traversée rappelle parfois l’univers de certaines fictions du regretté Robert Altman et, malgré ses longueurs, confirme l’étonnante capacité de renouvellement de Soderbergh.
Ouest France
Meryl Streep y livre une nouvelle composition de premier plan jusqu’à la dernière ligne droite au retournement renversant qui raconte la vraie nature de ce film : une ode au romanesque.
Positif
Œuvre raffinée et maîtrisée, aux mouvements de caméra enveloppants, "La Grande Traversée" est une manière de quintessence de Soderbergh.
Télérama
La Grande Traversée réserve enfin un rebondissement majeur, particulièrement inattendu, et dépasse alors la chronique acide pour acquérir cette épaisseur romanesque que les personnages ne cessent d’interroger ou d’invoquer.
La Croix
À partir de ce point de départ un brin ténu, Steven Soderbergh joue à l’homme-orchestre et improvise un amusant chassé-croisé dans les interminables coursives de ce géant des mers qui, au-delà de la virtuosité de l’exercice et de son questionnement sur la création artistique, tournerait rapidement à vide sans l’abattage de ses actrices.
La Voix du Nord
Pas un Soderbergh majeur sans doute, mais un film plus troublant que les dernières livraisons du cinéaste (...).
Le Figaro
Ce film, servi par d’excellentes comédiennes, déroute au départ par son académisme, son atmosphère aussi surannée que le paquebot de croisière où il se déroule. Sans doute parce que Steven Soderbergh nous a habitués à une approche plus originale et novatrice (...). De l’expérimentation, pourtant, il y en a aussi dans La Grande Traversée (...).
Première
Le résultat tient du hang-out movie (ces films où les personnages passent leur temps à buller, façon Rio Bravo) entre septuagénaires. Bavard, flâneur, charmant.
Critikat.com
Une traversée laborieuse, faite de vignettes souvent ennuyeuses, cultivant cette forme de légèreté et de torpeur mêlées qui serait le propre de la croisière.