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lecinema_clem
45 abonnés
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3,0
Publiée le 11 juillet 2024
J’avais espéré de grosses batailles digne d’un bon film LOTR. Je suis resté sur ma faim, le film se contentant principalement d’introduire les personnages et les différents enjeux. Tout de même content d’avoir découvert du cinéma chinois. Les décors, les costumes et la SFX sont sublimes.
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C'est mon film chinois préféré de ces deux dernières années. Cela a brisé ma perception du cinéma mythique et m'a ouvert les yeux sur le potentiel du cinéma chinois. J'aime particulièrement JiFa, son acteur est également un très bon acteur et j'espère voir plus de son travail dans le monde à l'avenir. J'ai vu ce film neuf fois en Chine et je vais le revoir en France le mois prochain🔥🔥
Si comme moi vous n'êtes pas spécialement sensible aux chinoiseries, là c'est l'overdose, surjoué à la chinoise académie actor (insupportable), des effets spéciaux qui piquent les yeux (vraiment pas immerssif et trés moche) même si on voit bien qu'ils y ont mis le paquet malheureusement l'honirisme digne du kitch du pire décors d'un mauvais resto chinois m'a vraiment sortie du film. Désolé malgré tant d'effort ces choix artistiques de cette culture n'ont pas pris sur moi. Critique bien personnelle donc.
Ce film est riche dans le contexte du confucianisme traditionnel chinois. Jiang Ziya a déclaré : "Le monde n'est pas le monde du roi des marchands, mais le monde du peuple du monde." Cela reflète l'idée de [le monde est pour le public]. Les quatre mots "le copropriétaire du monde" dans le film sont un fil conducteur important. Bien que le roi Zhou soit courageux et bon pour se battre, ambitieux et ambitieux, il ne pratique pas la manière du roi et n'est pas gentil. Xibo Hou Jichang a de la compassion et se soucie de son peuple, qui est la qualité que le roi veut avoir. Xibo Hou Jichang a dit à Ji Fa : "Peu importe qui est votre père. Qui vous êtes." Ji Fa est une figure en pleine croissance. Depuis le culte du roi Zhou au début jusqu'à la fin, il a terminé son auto-éveil, a courageusement combattu le pouvoir royal et le patriarcat, et a finalement gagné la liberté. Sentiments personnels : La première partie du Dieu se déroule dans la mythologie chinoise, mais elle en déduit l'importance de l'affection familiale, de l'amitié, de la fraternité, de la formation et de l'enseignement. Ce qui m'a le plus ému, c'est la phrase "rentre à la maison" que Ji Fa a dit à Xue Longju. Ce qui a frappé le cœur des gens, c'est l'adolescent héroïque qui est rentré chez lui dans la lueur du matin !
"creationof the gods" : Le mythe du temps et de l'espace, la fête culturelle du public français Sur la longue terre établie et éblouissante en France, à l'occasion du 60e anniversaire de l'établissement de relations diplomatiques entre la Chine et la France, le film"creationof the gods" du chinois oriental lointain, comme un système géant qui combine le classique chinois La mythologie et la technologie des films modernes sont la France. échange entre la Chine et la France. 1. Symphonie du mythe et de l'histoire Dans la littérature française, de la légende du chevalier du Roland au "Notre Dame" de Hugo à Hugo, il est plein de discussions profondes de l'héroïsme, de la justice et du mal. Le film "creationof the gods" est également enraciné dans le sol du mythe profond et a construit un magnifique monde mythique. Le tribunal lutte entre les dynasties Shang et Zhou et les griefs entre la fée et le démon ont été manifestement affichés sur grand écran. Ce genre de mythe et de symphonie historique qui couvre le temps et l'espace permet au public français de ressentir la poursuite commune des héros et de la justice dans différents contextes culturels. 2. La guerre entre la nature humaine et divine En repensant à la croissance des héros de Ji Fa dans le film. C'est le remplacement du "destin" par "vertu", le remplacement de "l'oppression" par "l'amour bienveillant" et le remplacement du "choix de Dieu" par "choix humain". Pendant la Renaissance française, les pensées humanistes centrées sur les «gens» ont été largement réparties et profondément développées. Des œuvres littéraires et artistiques telles que «biographie du géant» et «1993» reflètent également l'éveil des héros et le thème des décisions indépendantes humaines, remettant en question les droits de Dieu ou les thèmes autoritaires traditionnels. 3. La fête du visuel et de l'émotion Le film "creationof the gods" a atteint une hauteur sans précédent en termes d'effets visuels. Du Brilliant Palace à la Fairyland profonde et imprévisible, des magnifiques scènes de guerre à la délicate représentation émotionnelle, c'est incroyable.
Le Dieu des fiefs est une histoire chinoise et le sujet occupe une place importante et importante dans le domaine mythologique chinois. Les costumes, les accessoires, les effets spéciaux et la narration du film présentent un style hollywoodien. C'est un blockbuster chinois très médiatisé, le Seigneur des sceaux n'est pas seulement une épopée mythique, mais aussi une histoire de croissance héroïque et riche de la pensée confucéenne traditionnelle chinoise. C'est un film à voir.
C'est un film fantastique avec des effets spéciaux cool, c'est cette grosse statue de pierre, vraiment réaliste!!! Les acteurs jouent tous très bien, ce qui m'a le plus impressionné, c'est “Ji Fa” ,il est vraiment un héros adolescent, entendu qu'il y aura un deuxième, j'attends avec impatience sa performance, j'ai déjà vu l'acteur lui - même au cinéma, il s'appelle bien, Oh il est vraiment Trop beau, l'interprétation est très bonne, bref c'est un film très merveilleux, le scénario est bon, je recommande vivement à tout le monde d'aller voir
Script vraiment pas ouf… beaucoup d’incohérences là seul chose vraiment intéressante c’était l’idée ça aurais pu être un sacré film c’est bien dommage…
Ce film met une claque à quasi l’intégralité des blockbusters américain des dernières années. Kitch et décomplexé. Certes les effets spéciaux font parfois un peu cheap mais la direction artistique nous fait oublié cela.
Visuellement splendide mais il faut s’accrocher ! En effet, Creation of the Gods I : Kingdom of Storms peut être un peu difficile à suivre pour un public occidental car ce wu xia pian possède une narration extrêmement rapide et regorge de tellement de personnages (dont les identités sont données de manière écrite lors de leurs apparitions) que l’on arrive souvent à être perdu dans l’histoire qui n’est pas évidente quand on ne connait pas les légendes chinoises. Mais la prolifération narrative du film de Wuershan est en partie compensée par une aussi grande prolifération visuelle. En effet, les scènes d’action n’ont rien à envier aux meilleurs blockbusters américains et possède une débauche visuelle incroyable. On peut ainsi être perdu par la narration mais prendre malgré tout du plaisir grâce à la générosité des scènes d’action. Creation of the Gods I : Kingdom of Storms est donc une œuvre étonnante mais dont l’appréciation risque d’être grandissante au fur et à mesure des revisionnages permettant de mieux se retrouver dans l’histoire.
Visuellement c'est bluffant, mais c'est malheureusement là le seul intérêt du film à mon sens. Je pense que les codes asiatiques impactent considérablement la réception du film par un public occidental : les comportements des personnages et leurs allégeances sont difficiles à cerner, et finalement tous incarnent plus des valeurs que des humains, ca manque cruellement d'initiative, d'imprévisibilité, de libre arbitre. On a finalement l'impression de se retrouver devant une fable trop longue, qui ne fait pas réfléchir, et sans dénouement.