Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Voici
par A.V.
A travers le portrait de cette femme battante et attachante (incarnée par l'excellente Régina Casé), la réalisatrice dénonce une situation de crise néo-libérale qui gangrène le Brésil et affecte les "Invisibles".
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Entre réalisme social et pamphlet politique, le scénario compose une satire du ridicule bourgeois en trois actes, vue depuis les coulisses des domestiques. Comédie grinçante sur la lutte des classes dans le Brésil actuel, porté par le jeu sarcastique de la comédienne d’« Une seconde mère ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Une satire virulente de la cupidité cynique de la grande bourgeoisie du côté des domestiques qui tentent de se débrouiller avec les dépouilles.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Jacques Morice
Un regard lucide et ironique sur le Brésil d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bien qu'un brin bavarde et redondante, cette observation de la société brésilienne et des invisibles qui la composent séduit par sa finesse.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Un sujet en or. Une actrice principale époustouflante. Certains dialogues captivants. Mais un net laisser-aller dans la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Un brillant jeu d’équilibriste entre critique sociale et portrait pétillant d'une majordome brésilienne à la croisée de deux mondes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Sandra Kogut ne sait pas vraiment quoi faire de la situation qu’elle a imaginé, sinon inclure dans le film le tournage d’une sorte de publicité où Mada finira par apparaître le temps d’un plan-séquence où elle tombe enfin le masque de son imperturbable bonne humeur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Certes, [Mada] est remarquablement incarnée par une comédienne à la Magnani, tout en énergie et en charisme, Régina Casé. Mais [...] on reste sur sa faim par rapport aux promesses de la réalisatrice : « Faire au vitriol le portrait d’une société néolibérale à bout de souffle. »
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Avec ce personnage de gouvernante haut en couleur, Trois étés apporte un rayon de soleil sur les écrans, malgré les hésitations scénaristiques et les maladresses de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Voici donc une nouvelle parabole latinoaméricaine sur le rapport des maîtres et des esclaves à l’heure néolibérale, ce qui en soi ne poserait pas de problème, si ce n’est qu’on en a vu de plus tranchantes.
Ouest France
par La Rédaction
Le sujet est fort. Mais la réalisatrice appuie un peu trop sur les bons sentiments larmoyants.
Première
par Christophe Narbonne
Dommage que Sandra Kogut n’ait pas mieux exploité ce sujet explosif en versant franchement dans le mélo ou l’absurde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Film faussement subversif, Trois étés ne fait que perpétuer un système gangrené jusqu’à la moelle.
Voici
A travers le portrait de cette femme battante et attachante (incarnée par l'excellente Régina Casé), la réalisatrice dénonce une situation de crise néo-libérale qui gangrène le Brésil et affecte les "Invisibles".
L'Obs
Entre réalisme social et pamphlet politique, le scénario compose une satire du ridicule bourgeois en trois actes, vue depuis les coulisses des domestiques. Comédie grinçante sur la lutte des classes dans le Brésil actuel, porté par le jeu sarcastique de la comédienne d’« Une seconde mère ».
Le Figaro
Une satire virulente de la cupidité cynique de la grande bourgeoisie du côté des domestiques qui tentent de se débrouiller avec les dépouilles.
Télérama
Un regard lucide et ironique sur le Brésil d’aujourd’hui.
Le Journal du Dimanche
Bien qu'un brin bavarde et redondante, cette observation de la société brésilienne et des invisibles qui la composent séduit par sa finesse.
Les Fiches du Cinéma
Un sujet en or. Une actrice principale époustouflante. Certains dialogues captivants. Mais un net laisser-aller dans la mise en scène.
Les Inrockuptibles
Un brillant jeu d’équilibriste entre critique sociale et portrait pétillant d'une majordome brésilienne à la croisée de deux mondes.
Libération
Sandra Kogut ne sait pas vraiment quoi faire de la situation qu’elle a imaginé, sinon inclure dans le film le tournage d’une sorte de publicité où Mada finira par apparaître le temps d’un plan-séquence où elle tombe enfin le masque de son imperturbable bonne humeur.
Positif
Certes, [Mada] est remarquablement incarnée par une comédienne à la Magnani, tout en énergie et en charisme, Régina Casé. Mais [...] on reste sur sa faim par rapport aux promesses de la réalisatrice : « Faire au vitriol le portrait d’une société néolibérale à bout de souffle. »
aVoir-aLire.com
Avec ce personnage de gouvernante haut en couleur, Trois étés apporte un rayon de soleil sur les écrans, malgré les hésitations scénaristiques et les maladresses de la mise en scène.
Le Monde
Voici donc une nouvelle parabole latinoaméricaine sur le rapport des maîtres et des esclaves à l’heure néolibérale, ce qui en soi ne poserait pas de problème, si ce n’est qu’on en a vu de plus tranchantes.
Ouest France
Le sujet est fort. Mais la réalisatrice appuie un peu trop sur les bons sentiments larmoyants.
Première
Dommage que Sandra Kogut n’ait pas mieux exploité ce sujet explosif en versant franchement dans le mélo ou l’absurde.
Cahiers du Cinéma
Film faussement subversif, Trois étés ne fait que perpétuer un système gangrené jusqu’à la moelle.