Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Des bouleversantes photos de trois femmes dites « lapines » (cobayes) montrant à la caméra de Joanna Szydlowska les blessures dues aux expériences qu’elles ont subies, aux terrifiants clichés pris par Alberto Errera depuis une chambre à gaz, Cognet et Bozon s’acharnent à reconstituer ces traces et à les mettre en place parce que le faire, comme l’affirme un carton final, équivaut à exprimer leur substance même : « ça a eu lieu ».
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le film parvient, par la justesse du cadre et du montage, à glisser le spectateur dans la peau d’un détective de la mémoire de l’horreur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un documentaire sublime, éprouvant, exemplaire où l’image fixe et en mouvement redonne à l’Art son essence qui est d’interroger.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
De ces multiples interrogations déchiffrées avec une méticulosité admirable, le film redessine le quotidien des camps d’extermination et raconte la nécessité absolue, pour une poignée d’humain·es, de saisir une trace de cette entreprise de disparition généralisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
La force d’A pas aveugles est son attention, son obsession pour la matérialité des prises de vues, celle de l’acte, de ses conditions de possibilité dans les lieux, comme celle du résultat, de l’objet photographique comme empreinte directe, chimique, de ce qui a eu lieu dans ces lieux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Geneix
Très conscient des théories de la photo (Sontag, Barthes, Didi-Huberman), le cinéaste sonde le concret, avec la patience et la sobriété adéquates.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
En juxtaposant l’image passée et la réalité présente, par un jeu de surimpression et de transparence, le documentaire replace la photographie arrachée au camp, dont l’aura est à nulle autre pareille, au milieu de toutes les autres images définitivement manquantes, semblables à des douleurs fantômes.
Télérama
par François Ekchajzer
Des photos prises par des déportés confrontées à la réalité actuelle des lieux : un choc temporel vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J. Ma.
Parallèlement à cet ouvrage, il a travaillé au film qui sort en salle, A pas aveugles, qui a le mérite de la simplicité et de la décence morale : ces photographies clandestines des camps existent, les détenus qui les ont prises ont risqué la mort pour les prendre et les divulguer, le moindre de nos devoirs est de les regarder, la moindre de nos ambitions est de tenter de les contextualiser et de les comprendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Estelle Aubin
Cognet signe une œuvre de mémoire, sobre et ultra importante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Des bouleversantes photos de trois femmes dites « lapines » (cobayes) montrant à la caméra de Joanna Szydlowska les blessures dues aux expériences qu’elles ont subies, aux terrifiants clichés pris par Alberto Errera depuis une chambre à gaz, Cognet et Bozon s’acharnent à reconstituer ces traces et à les mettre en place parce que le faire, comme l’affirme un carton final, équivaut à exprimer leur substance même : « ça a eu lieu ».
L'Obs
Le film parvient, par la justesse du cadre et du montage, à glisser le spectateur dans la peau d’un détective de la mémoire de l’horreur.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire sublime, éprouvant, exemplaire où l’image fixe et en mouvement redonne à l’Art son essence qui est d’interroger.
Les Inrockuptibles
De ces multiples interrogations déchiffrées avec une méticulosité admirable, le film redessine le quotidien des camps d’extermination et raconte la nécessité absolue, pour une poignée d’humain·es, de saisir une trace de cette entreprise de disparition généralisée.
Libération
La force d’A pas aveugles est son attention, son obsession pour la matérialité des prises de vues, celle de l’acte, de ses conditions de possibilité dans les lieux, comme celle du résultat, de l’objet photographique comme empreinte directe, chimique, de ce qui a eu lieu dans ces lieux.
Positif
Très conscient des théories de la photo (Sontag, Barthes, Didi-Huberman), le cinéaste sonde le concret, avec la patience et la sobriété adéquates.
Transfuge
En juxtaposant l’image passée et la réalité présente, par un jeu de surimpression et de transparence, le documentaire replace la photographie arrachée au camp, dont l’aura est à nulle autre pareille, au milieu de toutes les autres images définitivement manquantes, semblables à des douleurs fantômes.
Télérama
Des photos prises par des déportés confrontées à la réalité actuelle des lieux : un choc temporel vertigineux.
Le Monde
Parallèlement à cet ouvrage, il a travaillé au film qui sort en salle, A pas aveugles, qui a le mérite de la simplicité et de la décence morale : ces photographies clandestines des camps existent, les détenus qui les ont prises ont risqué la mort pour les prendre et les divulguer, le moindre de nos devoirs est de les regarder, la moindre de nos ambitions est de tenter de les contextualiser et de les comprendre.
Première
Cognet signe une œuvre de mémoire, sobre et ultra importante.