Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Les premiers pas en solo de Samuel Theis débouchent sur un grand film. Un récit d’apprentissage bouleversant, porté par un gamin épatant, Aliocha Reinert.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un magnifique film d’apprentissage.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Melinard
Il y a dans le cinéma de Theis une volonté de ne pas assigner ses personnages à un déterminisme ou à une étiquette.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par La Rédaction
Un drame lumineux, où brillent l’excellent Antoine Reinartz et deux révélations : Mélissa Olexa et le jeune Aliocha Reinert.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film fort porté par un jeune acteur bluffant de vérité, Aliocha Reinert.
Positif
par Ariane Allard
Le sujet est périlleux, le traitement d’une rare intelligence, le résultat détonant.
Transfuge
par Serge Kaganski
Samuel Theis traite cette histoire potentiellement « incorrecte » sans le moindre esprit sensationnaliste ou polémique, avec beaucoup de tact, de finesse, de justesse, un sens du tempo patient d’une narration et d’une cristallisation amoureuse, un rapport fort aux lieux et aux acteurs filmés : aux côtés de l’excellent Antoine Reinartz, Johnny et sa mère sont joués par des inconnus absolument remarquables.
Voici
par La Rédaction
Un très beau récit d'apprentissage.
20 Minutes
par Caroline Vié
« Petite nature » aborde des sujets délicats sans laisser place à la polémique, ni à l’ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La justesse consiste ici sans doute à mettre le doigt sur ce qu’ont en commun honte sociale et désir naissant : une intensité de regard – celui que l’on imagine posé sur soi, celui que l’on projette sur l’objet élu.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
C’est une histoire sur l’enfance, comment on la quitte, comment on grandit. Sur l’éveil à soi, aux autres, au désir. L’alchimie sensible entre Aliocha Reinert et Antoine Reinartz attrape le cœur. Comme il en est des chansons, voici une histoire douce, magnifiquement écrite, tournée et jouée.
Elle
par Françoise Delbecq
Un récit d'apprentissage tendu et sensible.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une histoire tendre et délicate, qui évite les pièges dans lesquels tomberait un réalisateur moins subtil, moins sensible.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film âpre et doux à la fois, porté par une mise en scène délicate et sans fioriture, si bien que la claque qu’il assène ressemble à une caresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film montre quelque chose de rarement abordé, concernant la relation d'enseignement : les transferts à l'oeuvre au sein de celle-ci.
Le Point
par Baudouin Eschapasse
Le sujet était glissant, pour ne pas dire scabreux ! Il est traité ici avec une délicatesse extrême par le réalisateur Samuel Theis.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Huit ans après « Party Girl », Samuel Theis retrouve sa ville de Forbach et raconte les dix ans d'un gamin qui rêve de partir à tout prix. Un film cru, réaliste et vibrant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Samuel Theis retourne à Forbach pour y filmer le récit initiatique d’un enfant de 10 ans décidé à échapper à une classe populaire dont il a honte. La mise en scène s’inscrit dans la lignée des drames sociaux français, mais le travail avec les acteurs fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Samuel Theis pose sur tout cela un regard droit et sûr, aussi limpide que s’il s’agissait de lui-même, en évitant toute sensation de malaise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Petite Nature [...] décrit l’effraction du désir, ses conditions précises d’apparition, les sensations et les impasses qu’elle provoque, esquisse le cinéma qui pourrait l’incarner (penchant plutôt De Palma que Dardenne ou Dolan) et s’arrête, laissant la vie continuer quelque part sans chercher à la résoudre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Le film d'apprentissage est à son meilleur : interprètes atypiques et habités, scènes incandescentes et tableau d'un milieu social en survie.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Samuel Theis capte cet indicible sentiment qui dilate le cœur de ce gamin si peu habitué à la transcendance et qui pourtant, de toute son âme, aspire à ce qui le dépasse.
Télé Loisirs
par C.B.
Samuel Theis poursuit son exploration autobiographique avec un récit plein d'humanité qui parvient à troubler et émouvoir à la fois.
Télérama
par Jacques Morice
Il faut saluer Mélissa Olexa, comédienne non professionnelle, qui touche juste, dans l’agressivité comme dans la tendresse. Et bien sûr, il y a Aliocha Reinert, qui crève l’écran, dans un rôle périlleux, en portant une large part du film sur ses épaules.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière un ton faussement léger, se cache un film rare et profond sur le désir d’un enfant vis-à-vis de son instituteur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Stupéfiant de vérité, sourire mal accroché aux lèvres, Aliocha Reinert porte très haut les couleurs de ce récit d’apprentissage à moitié improvisé et tellement vaillant sur la violence et la gravité d’un désir d’enfant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Un récit troublant, tout en délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Thomas Baurez
Un film touchant dont la justesse tient de la vérité qui émane de chaque morceau d’un film faussement fragile.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par Etienne Sorin
Theis filme les débuts d'un transfuge de classe. On se croirait dans un roman de Nicolas Mathieu (le superbe Leurs enfants après eux, Connemara). Manque le souffle de l'écrivain, et paradoxalement l'incarnation, plus forte dans les livres du Prix Goncourt 2018.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Les premiers pas en solo de Samuel Theis débouchent sur un grand film. Un récit d’apprentissage bouleversant, porté par un gamin épatant, Aliocha Reinert.
Franceinfo Culture
Un magnifique film d’apprentissage.
L'Humanité
Il y a dans le cinéma de Theis une volonté de ne pas assigner ses personnages à un déterminisme ou à une étiquette.
Le Parisien
Un drame lumineux, où brillent l’excellent Antoine Reinartz et deux révélations : Mélissa Olexa et le jeune Aliocha Reinert.
Ouest France
Un film fort porté par un jeune acteur bluffant de vérité, Aliocha Reinert.
Positif
Le sujet est périlleux, le traitement d’une rare intelligence, le résultat détonant.
Transfuge
Samuel Theis traite cette histoire potentiellement « incorrecte » sans le moindre esprit sensationnaliste ou polémique, avec beaucoup de tact, de finesse, de justesse, un sens du tempo patient d’une narration et d’une cristallisation amoureuse, un rapport fort aux lieux et aux acteurs filmés : aux côtés de l’excellent Antoine Reinartz, Johnny et sa mère sont joués par des inconnus absolument remarquables.
Voici
Un très beau récit d'apprentissage.
20 Minutes
« Petite nature » aborde des sujets délicats sans laisser place à la polémique, ni à l’ambiguïté.
Cahiers du Cinéma
La justesse consiste ici sans doute à mettre le doigt sur ce qu’ont en commun honte sociale et désir naissant : une intensité de regard – celui que l’on imagine posé sur soi, celui que l’on projette sur l’objet élu.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est une histoire sur l’enfance, comment on la quitte, comment on grandit. Sur l’éveil à soi, aux autres, au désir. L’alchimie sensible entre Aliocha Reinert et Antoine Reinartz attrape le cœur. Comme il en est des chansons, voici une histoire douce, magnifiquement écrite, tournée et jouée.
Elle
Un récit d'apprentissage tendu et sensible.
Le Dauphiné Libéré
Une histoire tendre et délicate, qui évite les pièges dans lesquels tomberait un réalisateur moins subtil, moins sensible.
Le Journal du Dimanche
Un film âpre et doux à la fois, porté par une mise en scène délicate et sans fioriture, si bien que la claque qu’il assène ressemble à une caresse.
Le Monde
Le film montre quelque chose de rarement abordé, concernant la relation d'enseignement : les transferts à l'oeuvre au sein de celle-ci.
Le Point
Le sujet était glissant, pour ne pas dire scabreux ! Il est traité ici avec une délicatesse extrême par le réalisateur Samuel Theis.
Les Echos
Huit ans après « Party Girl », Samuel Theis retrouve sa ville de Forbach et raconte les dix ans d'un gamin qui rêve de partir à tout prix. Un film cru, réaliste et vibrant.
Les Fiches du Cinéma
Samuel Theis retourne à Forbach pour y filmer le récit initiatique d’un enfant de 10 ans décidé à échapper à une classe populaire dont il a honte. La mise en scène s’inscrit dans la lignée des drames sociaux français, mais le travail avec les acteurs fait mouche.
Les Inrockuptibles
Samuel Theis pose sur tout cela un regard droit et sûr, aussi limpide que s’il s’agissait de lui-même, en évitant toute sensation de malaise.
Libération
Petite Nature [...] décrit l’effraction du désir, ses conditions précises d’apparition, les sensations et les impasses qu’elle provoque, esquisse le cinéma qui pourrait l’incarner (penchant plutôt De Palma que Dardenne ou Dolan) et s’arrête, laissant la vie continuer quelque part sans chercher à la résoudre.
Marie Claire
Le film d'apprentissage est à son meilleur : interprètes atypiques et habités, scènes incandescentes et tableau d'un milieu social en survie.
Sud Ouest
Samuel Theis capte cet indicible sentiment qui dilate le cœur de ce gamin si peu habitué à la transcendance et qui pourtant, de toute son âme, aspire à ce qui le dépasse.
Télé Loisirs
Samuel Theis poursuit son exploration autobiographique avec un récit plein d'humanité qui parvient à troubler et émouvoir à la fois.
Télérama
Il faut saluer Mélissa Olexa, comédienne non professionnelle, qui touche juste, dans l’agressivité comme dans la tendresse. Et bien sûr, il y a Aliocha Reinert, qui crève l’écran, dans un rôle périlleux, en portant une large part du film sur ses épaules.
aVoir-aLire.com
Derrière un ton faussement léger, se cache un film rare et profond sur le désir d’un enfant vis-à-vis de son instituteur.
L'Obs
Stupéfiant de vérité, sourire mal accroché aux lèvres, Aliocha Reinert porte très haut les couleurs de ce récit d’apprentissage à moitié improvisé et tellement vaillant sur la violence et la gravité d’un désir d’enfant.
La Croix
Un récit troublant, tout en délicatesse.
Première
Un film touchant dont la justesse tient de la vérité qui émane de chaque morceau d’un film faussement fragile.
Le Figaro
Theis filme les débuts d'un transfuge de classe. On se croirait dans un roman de Nicolas Mathieu (le superbe Leurs enfants après eux, Connemara). Manque le souffle de l'écrivain, et paradoxalement l'incarnation, plus forte dans les livres du Prix Goncourt 2018.