Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Télé Loisirs
par Claire Picard
Un regard rare sur l'Angleterre populaire et multiculturelle.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le naturel prodigieux des jeunes actrices amatrices est l'atout majeur du film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Mélanie Klein
Avec son thème social, on n'est jamais très loin de Ken Loach mais la vivacité et l'aura de ses actrices lui ajoutent une touche kechichienne.
CNews
par La rédaction
[Les] actrices non professionnelles apportent une bonne dose d’insouciance, de gaieté et de légèreté à ce récit poignant.
Culturopoing.com
par Marjorie Rivière
Malgré son sujet grave et son contexte, jamais le long-métrage ne se laisse enfermer dans les cases. Ni film de banlieue, ni drame social et familial fataliste, il adopte un ton nuancé, à l'image du parcours de la jeune femme, oscillant entre deux univers qui s'opposent.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Quelque part entre Kes de Ken Loach et Bande de Filles de Céline Sciamma, cousinant lointainement aussi avec Nobody knows d’Hirokazu Kore-eda, ce dur et doux voyage néoréaliste des deux enfants abandonnés est illuminé par la jeune Bukky Bakray et le petit D’Angelou Osei Kissiedu.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par E.R.
Cette bande de copines fait sourire - une larme à l'oeil.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce dur et doux voyage néoréaliste des deux enfants abandonnés est illuminé par la jeune Bukky Bakray et le petit D’Angelou Osei Kissiedu.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un drame britannique émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Thierry Chèze
Rocks se vit dans l'énergie de son épatante interprète.
Paris Match
par Yannick Vely
Ce qui est beau, aussi, dans le film de Sarah Gavron, c'est qu'il est une ode à une Angleterre multi-raciale et culturelle, un United Colors of Britannia qui doit se serrer les coudes dans l'adversité, un message très politique en plein Brexit.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
Photographié par Hélène Louvart, ce film à la réalisation discrète mais soignée s’inscrit bien dans la tradition anglaise des films sociaux, efficaces sans jamais être asphyxiants.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
"UN KEN LOACH AU FÉMININ", annonce l’affiche. (...) Sarah Gavron, dont c’est là le troisième film et qui en a vu d’autres – ne serait-ce qu’en dirigeant Carey Mulligan, Helena Bonham Carter et Meryl Streep sur le précédent, Suffragette – devra donc se débrouiller avec ça. Elle n’aura après tout qu’à s’inspirer de ce qu’elle fait endurer ici à son personnage principal, cette “Rocks” pas encore sortie de l’adolescence, livrée à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une fiction qui, malgré quelques maladresses, se révèle attachante.
Télérama
par Louis Guichard
Un réalisme âpre et lumineux, pas si loin de Ken Loach.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Du réalisme social britannique très moderne sous le regard bienveillant de la réalisatrice de "Rendez-vous à Brick Lane".
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Tour à tour angoissant ou joyeux, il y a bien du Ken Loach dans le regard porté sur ces jeunes filles de la classe populaire anglaise, et pour beaucoup issues de l’immigration.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Curieusement, ce n’est pas déprimant : la vitalité, l’humour et le dynamisme des personnages illuminent le film. Sarah Gavron est une cinéaste dans la lignée de Ken Loach. C’est gai, c’est triste, c’est la vie même.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce film poignant et lumineux de Sarah Gavron, une adolescente londonienne cache à son entourage la disparition de sa mère et tente d’assurer un quotidien normal à son petit frère.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un « Ken Loach au féminin » ? En tout cas un film attachant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Nathalie Simon
En empathie avec son héroïne, la réalisatrice britannique des Suffragettes filme à la façon de Ken Loach une poignante descente aux enfers. Dommage que la fin soit décevante.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La caméra, libre et à hauteur de ses héroïnes, rend de façon très juste la force de vie d’une jeunesse qui ne veut pas renoncer à ses envies.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Si Sarah Gavron évite tous les écueils, c’est qu’elle reste arrimée à un principe : regarder le monde, ses joies et ses drames, depuis les yeux de son héroïne, épuisée mais pugnace.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Avec ce troisième long métrage, son meilleur, Sarah Gavron livre une chronique adolescente et sociale bourrée d’authenticité et de tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Mais le talent de Gavron est justement de ne jamais succomber à la noirceur facile. Bien qu’inscrite dans une réalité sociale rude, elle entraîne toujours son récit vers la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Daniel Blois
Les jeunes actrices, débutantes, sont formidables.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans la pure tradition du cinéma anglo-saxon, Rocks s’invite à la façon d’un Ken Loach au milieu d’une bande attachante d’adolescentes londoniennes. Un hymne au multiculturalisme, à la solidarité et à l’amitié.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Malgré une attention portée sur des sujets souvent invisibilisés, le film ne parvient pas au bout de de son entreprise naturaliste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Ce que l’ensemble met en jeu de pittoresque adolescent paraît toujours forcer la fraîcheur, enquillant les vidéos filmées au smartphone en guise d’effets d’époque. Le paradoxe est d’aboutir à un résultat si maniéré en croyant l’être le moins possible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
Un regard rare sur l'Angleterre populaire et multiculturelle.
20 Minutes
Le naturel prodigieux des jeunes actrices amatrices est l'atout majeur du film.
BIBA
Avec son thème social, on n'est jamais très loin de Ken Loach mais la vivacité et l'aura de ses actrices lui ajoutent une touche kechichienne.
CNews
[Les] actrices non professionnelles apportent une bonne dose d’insouciance, de gaieté et de légèreté à ce récit poignant.
Culturopoing.com
Malgré son sujet grave et son contexte, jamais le long-métrage ne se laisse enfermer dans les cases. Ni film de banlieue, ni drame social et familial fataliste, il adopte un ton nuancé, à l'image du parcours de la jeune femme, oscillant entre deux univers qui s'opposent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Quelque part entre Kes de Ken Loach et Bande de Filles de Céline Sciamma, cousinant lointainement aussi avec Nobody knows d’Hirokazu Kore-eda, ce dur et doux voyage néoréaliste des deux enfants abandonnés est illuminé par la jeune Bukky Bakray et le petit D’Angelou Osei Kissiedu.
Elle
Cette bande de copines fait sourire - une larme à l'oeil.
Le Dauphiné Libéré
Ce dur et doux voyage néoréaliste des deux enfants abandonnés est illuminé par la jeune Bukky Bakray et le petit D’Angelou Osei Kissiedu.
Le Parisien
Un drame britannique émouvant.
Ouest France
Rocks se vit dans l'énergie de son épatante interprète.
Paris Match
Ce qui est beau, aussi, dans le film de Sarah Gavron, c'est qu'il est une ode à une Angleterre multi-raciale et culturelle, un United Colors of Britannia qui doit se serrer les coudes dans l'adversité, un message très politique en plein Brexit.
Positif
Photographié par Hélène Louvart, ce film à la réalisation discrète mais soignée s’inscrit bien dans la tradition anglaise des films sociaux, efficaces sans jamais être asphyxiants.
Rolling Stone
"UN KEN LOACH AU FÉMININ", annonce l’affiche. (...) Sarah Gavron, dont c’est là le troisième film et qui en a vu d’autres – ne serait-ce qu’en dirigeant Carey Mulligan, Helena Bonham Carter et Meryl Streep sur le précédent, Suffragette – devra donc se débrouiller avec ça. Elle n’aura après tout qu’à s’inspirer de ce qu’elle fait endurer ici à son personnage principal, cette “Rocks” pas encore sortie de l’adolescence, livrée à elle-même.
Sud Ouest
Une fiction qui, malgré quelques maladresses, se révèle attachante.
Télérama
Un réalisme âpre et lumineux, pas si loin de Ken Loach.
CinemaTeaser
Du réalisme social britannique très moderne sous le regard bienveillant de la réalisatrice de "Rendez-vous à Brick Lane".
Franceinfo Culture
Tour à tour angoissant ou joyeux, il y a bien du Ken Loach dans le regard porté sur ces jeunes filles de la classe populaire anglaise, et pour beaucoup issues de l’immigration.
L'Obs
Curieusement, ce n’est pas déprimant : la vitalité, l’humour et le dynamisme des personnages illuminent le film. Sarah Gavron est une cinéaste dans la lignée de Ken Loach. C’est gai, c’est triste, c’est la vie même.
La Croix
Dans ce film poignant et lumineux de Sarah Gavron, une adolescente londonienne cache à son entourage la disparition de sa mère et tente d’assurer un quotidien normal à son petit frère.
La Voix du Nord
Un « Ken Loach au féminin » ? En tout cas un film attachant.
Le Figaro
En empathie avec son héroïne, la réalisatrice britannique des Suffragettes filme à la façon de Ken Loach une poignante descente aux enfers. Dommage que la fin soit décevante.
Le Journal du Dimanche
La caméra, libre et à hauteur de ses héroïnes, rend de façon très juste la force de vie d’une jeunesse qui ne veut pas renoncer à ses envies.
Le Monde
Si Sarah Gavron évite tous les écueils, c’est qu’elle reste arrimée à un principe : regarder le monde, ses joies et ses drames, depuis les yeux de son héroïne, épuisée mais pugnace.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce troisième long métrage, son meilleur, Sarah Gavron livre une chronique adolescente et sociale bourrée d’authenticité et de tendresse.
Première
Mais le talent de Gavron est justement de ne jamais succomber à la noirceur facile. Bien qu’inscrite dans une réalité sociale rude, elle entraîne toujours son récit vers la lumière.
Voici
Les jeunes actrices, débutantes, sont formidables.
aVoir-aLire.com
Dans la pure tradition du cinéma anglo-saxon, Rocks s’invite à la façon d’un Ken Loach au milieu d’une bande attachante d’adolescentes londoniennes. Un hymne au multiculturalisme, à la solidarité et à l’amitié.
Les Inrockuptibles
Malgré une attention portée sur des sujets souvent invisibilisés, le film ne parvient pas au bout de de son entreprise naturaliste.
Libération
Ce que l’ensemble met en jeu de pittoresque adolescent paraît toujours forcer la fraîcheur, enquillant les vidéos filmées au smartphone en guise d’effets d’époque. Le paradoxe est d’aboutir à un résultat si maniéré en croyant l’être le moins possible.