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cheval2troie
3 critiques
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4,5
Publiée le 15 mai 2024
Exit la très bonne trilogie de César et place à un nouveau chapitre très divertissant. Vivement la suite ! Beaux décors, scénario solide, avec une succession de lieux et d'intrigues originales, personnages singes intéressants. Le point négatif : certains humains qui, après 300 ans sans civilisation, savent lire et utiliser des technologies anciennes... (je pense à Trevathan) Je conseille ce très bon film de SF si vous souhaitez prolonger le plaisir de la saga.
300 ans après la mort de César, nous avons un aperçu de ce qui s'est passé ensuite avec l'histoire de Noa le nouveau protagoniste de cette nouvelle trilogie.
Ce film nous montre l'évolution de cette franchise avec beaucoup d'easter egg (clins d'oeil) de cette saga: on nous met toute suite dans l'ambiance tout en respectant l'univers. De nouveaux personnages font leur apparition, de nouveaux enjeux sont en avant ça a tout pour plaire.
Attention cependant le film n'est pas bourré d'action, ce n'est qu'une simple mise en bouche pour nous montrer le contexte
Je l'ai bien apprécié ce n'est pas le meilleur pour autant mais la suite risque d'être prometteur: à voir avec le temps
4/5 il est à voir dans tout les cas!
PS: je vous conseille de (re)voir les films d'avant à savoir:
-Planète des singes les origines
-Planète des singes: L'affrontement
- Planète des singes: Suprématie Pour tout savoir le passé de cette franchise
Mon amie et moi avons été très déçues par ce film trop long, trop violent, trop bruyant, trop d'intelligence artificielle et au final, désespérant. L'humanité s'est détruite et à la toute fin du film, on voit qu'il n'y a aucuns espoirs pour la race humaine et son habitude de tout détruire derrière elle. Dernier film de cette série que je vois. Plate à mort! Payé $8.00 pour voir cette horreur, j'aurais mieux fais de rester chez moi et de regarder la télé, c'est les mêmes histoires plates qui se servaient à content là.
Dans ce nouvel épisode, des clans de singes s'affrontent pour la domiciliation face à la vie paisible. la grande exigence des effets spéciaux, nous offre de somptueuses cascades animales car les hommes ne tirent guerre gloire de leur hypothétique supériorité.
Grosse déception : l'histoire n'est pas intéressante Le demarrage était long ce qui nous a rendu impatient de voir de l'action. Malheureusement, nous n'avons pas pu assouvir notre curiosite car il y avait peu de place aux scènes d'action réussi. La durée doit jouer un rôle : 2h30 de film pour si peu d'action, il aurait mieux fallut se concentrer sur l'essentiel avec des scènes d'actions mieux réalisées. C'est dommage
Plusieurs générations se sont succédé après le règne de César et les singes ont définitivement pris le pouvoir. Les humains quant à eux, ont régressé au point de revenir à l’état sauvage…
Après deux trilogies (de 1968 à 1973 puis de 2011 à 2017), il semblerait bien que la célèbre franchise inspirée du roman éponyme de Pierre Boulle soit de retour pour une nouvelle salve d’aventures simiesques. Pour autant, on est en droit de se demander ce que peut bien nous apporter de nouveau ce nouvel opus, tant on a l’impression que tout a déjà été dit et redit à son sujet. D’ailleurs, tout au long du film, on a cette désagréable impression de redite, avec toujours ce même schéma narratif (un chimpanzé trouve conseil auprès d’un vieux sage (l’orang-outan), avant d’être la proie d’un terrible gorille et comme dans La Planète des singes - Suprématie (2017) où Nova était secourue par César, cette fois-ci, c’est Mae qui trouve de l’aide auprès de Noa).
Pour le reste, La Planète des singes - Le Nouveau Royaume (2024) donne l’impression de n’être que du réchauffé, le tout, contrebalancé par de remarquables CGI (quand Dame-Nature reprend ses droits sur la civilisation et ce bunker qui avait tant à nous raconter, mais qui finalement ne sera que peu évoqué). Quelques invraisemblables ici et là que l’on peine à comprendre spoiler: (comment se fait-il que le bunker s’illumine comme le Château de Versailles à la simple utilisation d’un interrupteur, alors qu’il est censé être en sommeil / à l’abandon depuis des décennies ou alors comment expliquer qu’il puisse y avoir d’un côté des humains revenus à l’âge de pierre et d’autres, vivant à l’ère 2.0 dans un abri-souterrain, comme s’il s’agissait de deux civilisations diamétralement opposées, vivants dans deux univers parallèles alors que ça n’est pas le cas).
A côté de ça, le film ne justifie en aucun cas ses 2h30, beaucoup trop de blabla et un ventre mou en milieu de parcours, avant de nous sortir de notre léthargie lors des 30 dernières minutes du film, mais c’est trop tard, le mal est fait, on se sera ennuyé pendant les ¾ du film. Ça n’augure rien de bon pour la suite…
Manque d’action, film intéressant mais pas à la hauteur des anciens loin de là ! Manque d’interaction entre les humains et les singes, la bande annonce est plus intéressante que le film…
Enième film de la fameuse saga, mais clairement pas un des meilleurs, à cause d'un scénario pas très élaboré. Il dure trop longtemps, il y a beaucoup de longueurs et on a tout simplement été habitué à mieux. Il n'a pas le charme des premiers, ni un scénario meilleur que ceux de l'ère "moderne". Bref, ça sent le réchauffé, on a atteint la dizaine de films, donc il n'est pas évident de surprendre encore et toujours et de réinventer la roue à chaque fois.
Nouveau film après cette mythique trilogie et se situant des générations après César, « Le Nouveau Royaume » s'avère assez réussi en terme de scénario et de divertissement. Ici, les singes dominent et ont évolué, tandis que les humains sont pourchassés et ont régressé pour la plupart. Vu en Imax, les effets spéciaux et les paysages sont somptueux, offrant ainsi du grand spectacle. À travers l'histoire de Noa, accompagné d'une jeune humaine, nous allons prendre part à ce nouveau monde dont les rivalités sont plus que jamais présentes et ainsi pouvoir voir ce que César a laissé derrière lui. Action, dynamisme, rapport de force et émotion, des ingrédients qui relancent avec intérêt cette franchise dont on ne voit pas le temps passer.
Suite d'une saga ayant déjà fait ses preuves, "La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume" est tout comme ses prédécesseurs, un opus globalement maîtrisé et divertissant. Même si l'histoire est somme toute assez classique, les nouveaux personnages sont très attachants et les effets spéciaux toujours aussi impressionnants. On relèvera également quelques longueurs à certains moments notamment lors du dernier acte mais le tout reste plutôt bien rythmé. Le message final est de même assez surprenant et diffère des morales hollywoodiennes que l'on a l'habitude d'avoir dans ce genre de production. Ce nouveau "Planète des Singes" est donc un blockbuster réussi tant dans l'aspect technique que scénaristique même si certains éléments de l'histoire procurent peut-être un sentiment de déjà-vu.
Dixième film de la franchise, La Planète Des Singes : Le Nouveau Royaume, réalisé par Wes Ball, est un long-métrage qualitatif mais n'apportant pas grand-chose à la licence. L'histoire se déroule vers 2328, environ trois cent ans après la mort de César, où les primates dominent désormais les humains qui ont régressés à l'état sauvage, et nous fait suivre Noa, un chimpanzé d'un clan de singes dresseurs d'aigles qui se prépare à un rite de passage à l'âge adulte. Seulement, son village va être attaqué par des congénères rivaux qui enlèvent toute sa famille et son clan et le laisse pour mort. Noa décide alors de partir à la recherche des siens et va croiser sur sa route des alliés qui vont l'aider pour parvenir à son objectif. Ce scénario nous emporte, pendant deux heures et vingt minutes, dans une intrigue efficace mais particulièrement convenue. Résultat, nous ne sommes jamais surpris tant le récit est d'une grande banalité. Le problème principal est que la promesse initiale n'est pas tenue. En effet, dans un monde ou les singes ont pris le pouvoir sur les humains, on s'attend à une inversion des valeurs et à une profonde réflexion, mais il n'en est malheureusement rien. Tout cela est à peine effleuré et n'est pas le cœur du sujet ici, le récit s'égarant en chemin. On se contente donc d'une simple succession de scènes entre moments de répits et grosses séquences d'actions à outrance au point d'en faire trop à force de constamment faire dans la surenchère avec des péripéties qui s'accumulent de façon répétitives. L'ensemble manque globalement de créativité et d'inspiration hormis une ou deux séquences. Mais en dépit de ces défauts, le voyage initiatique se laisse tout de même visionner mais la durée aurait clairement pu et du être réduite. En l'état, on vit presque chaque pas comme si le cinéaste n'était pas capable de couper ses scènes ou de faire des ellipses. On se retrouve donc avec quelques longueurs et des passages inutiles. On appréciera tout de même les nombreux liens fait avec la dernière trilogie en date, en témoigne le mythe de César très présent dans les mémoires des primates. Et si les personnages sont attachants, on a tout de même du mal à être véritablement touché par leurs mésaventures tant tout semble cousu de fil blanc. De plus, Noa ressemble beaucoup trop à César et l'on a la désagréable impression d'un statu quo malgré les plus de trois décennies d'écart, la situation ne semblant pas avoir beaucoup évoluée. Ses proches sont tout aussi appréciables que ce soit Mae, Trevathan, Soona, Dar et Raka. Les antagonistes manquent eux de charisme. Tous ces primates entretiennent des relations provocants quelques émotions, même si ce n'est pas aussi poignant qu'escompté. Des échanges soutenus par des dialogues assez limités, ne proposant qu'une ébauche de questionnements. Si le fond est trop classique pour valoir le coup, le métrage se rattrape tout de même sur sa forme. En effet, la réalisation de Wes Ball est à la hauteur de l'ambition. Surtout, sa mise en scène évolue dans un très bel univers, notamment à la faveur d'effets numériques d'excellente facture offrant du grand spectacle. S'ils sont presque omniprésents, ils parviennent à se faire oublier tant ils rendent cet univers réaliste grâce à leur qualité. Les singes sont superbement modélisés grâce à une capture de mouvements irréprochable, notamment au niveau des leurs visages faisant transparaître leurs émotions tels des humains. Les environnements traversés sont tout aussi somptueux et verdoyants, même si on peu tout de même regretter un manque de variété et une certaine redondance dans ces décors. Ce visuel admirable est accompagné par une bonne b.o. signée John Paesano. Ses compostions puissantes et impactantes sont en totale accord avec l'action et les images, même si elles sont loin d'êtres mémorables et qu'il manque cruellement d'un thème iconique donnant une véritable personnalité à l'œuvre. Cette épopée tragique s'achève sur une fin au fort goût d'inachevée laissant la désagréable sensation d'être devant une introduction géante ouvrant la voie à une énième suite. En conclusion, La Planète Des Singes : Le Nouveau Royaume est un film bien exécuté mais dont le propos n'est pas à la hauteur de son esthétique époustouflante, faisant de lui un bon métrage pourtant dispensable tant il n'apporte rien de nouveau à la saga.
Wes Ball reprend le flambeau de Matt Reeves avec réussite mais pas sans défaut. Les doutes pouvaient être permis mais les éléments mis en place pour cette nouvelle trilogie s'ancrent très bien dans l'univers en proposant quelques chose de cohérent par rapport aux propositions précédentes.
Visuellement, c'est dans la continuité de la dernière trilogie même si je trouve que c'est un poil moins joli. Le côté post-apocalyptique avec un style "Horizon" fonctionne très bien même si ça manque de plans marquants des lieux. Ce qui est sûr, c'est que Wes Ball possède de vrais idées de visuels et de mise en scène et cela ne peut que s'améliorer pour ses prochains films. Sur les performances, elles sont plutôt cohérentes avec des acteurs impliqués et une Freya Allan plutôt intéressante dans son rôle. Les personnages sont très appréciables comme Raka avec Noa et Mae qui sont les meilleurs personnages du film.
Cependant, le film possède des défauts non négligeable. Ces défauts ne permettent pas au film d'avoir ces petites choses en plus qu'avaient les films de Reeves. Le mystère autour des humains n'est pas assez vu en profondeur avec ce côté mystique qui manque grandement. Les personnages manquent également un peu de travail et en particulier Proximus César qui ne sera clairement pas un antagoniste à retenir dans le temps. En général, il manque un peu d'approfondissement dans à peu près tous les éléments du film, ce qui l'empêche de déployer son plein potentiel. La BO aurait pu être bien plus présente et cela aurait probablement changer pas mal de choses sur certaines scènes. Dommage que Michael Giacchino n'est pas revenu. L'unique présence de son thème dans l'introduction m'a donné de bons gros frissons !
Globalement, le film est une très bonne suite et promet de bonnes choses pour la suite en voyant le final proposé. Ça aurait pu être mieux, ça aurait pu être pire, le pari est en tout cas réussi. Il faudra sûrement un autre visionnage pour me refaire un avis plus concret.