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lionelb30
435 abonnés
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1,5
Publiée le 16 mai 2024
Le debut est pas mal avec de beaux decors. Puis le néant , impression ou pas de personnages humain en image de synthèse , histoire et montage comme un jeu video sans aucun intérêt. Le pire de la saga.
J'attendais avec impatience ce nouveau film de la planète des singes. Et bien j'ai pas était déçu. Le film est vraiment super. L'histoire est vraiment géniale Les acteurs joue vraiment très bien. Bref il y'a pas grand chose a dire sur ce film sauf, qu'il est super et que si vous avez envie d'aller voir un petit film bah allez voir ca en ce moment.
Ps: Désoler je suis pas très bon dans les critiques cinéma. Mais j'ai quand même essayer. 😂
Nul , ennuyant au plus au point . Scénario réchauffe, émotion et intrigue nul... Partie 30 min avant la fin car je m ennuie mortellement, je n arrêtais de penses à cette perte de temps à regarder un film plus que vide...
L'univers visuel, ces immenses tours rendues à la nature plongent le spectateur dans un monde où les humains sont rares et rendus à l'état animal, mais que le film est long ( 2H20) et le scénario poussif et linéaire... Pas loin de la morale de "La ferme des animaux" de Georges Orwell, où l'animal arrivé au pouvoir reproduit les erreurs des humains en hiérarchisant les races et la supériorité par la force, le propos manque souvent de finesse et les effets spéciaux impressionnants ne suffisent plus à tenir en haleine le spectateur amateur de la franchise.
5 ans après la sortie, en 1963, de son roman, la "Planète Des Singes", Pierre Boule le voyait adapter au cinéma. De cette toute 1ère adaptation, par Franklin J. Schaffner, jusqu'à l'avant dernière, la 9ème, celle de Matt Reeves, les intrigues tenaient plus ou moins la route. Il y avait une certaine logique qui régnait, et surtout, on ne s'ennuyait pas. Cette dixième version, par Wes Ball, en 2024, est d'un point scénaristique, une catastrophe. La cata arrive progressivement. L'intrigue fait illusion trois quarts d'heure. L'intérêt du spectateur est d'abord suscité par le petit effort de recherche anthropologique, par l'équipe du projet, à présenter les échanges entre les membres du clan de Noah. Ces moments d'intimité simiesque sont mis en relief par une prouesse technologique, la "Performance Capture". La technique consistant à partir astucieusement des gestes et expressions des acteurs, pour déboucher sur un résultat numérisé, impressionnant de vérité. Sauf qu'après l'émerveillement suscité par la technologie, et les merveilleux décors Australiens, le spectateur, se retrouve coincé dans une impasse jonchée d'incompréhensions. Quels sont les véritables origines et objectifs de la fuyante? Que fait le simiesque clan des méchants des humains sauvages capturés ? Que voit-on dans le télescope? A qui les messages sont-ils envoyés? Qui les reçoit, et où sont-ils reçus? A mesure que l'action s'éternise, les questions se sont 'accumulées, sans espoir de réponse. L'ennuie a donc surgi, s'est amplifié, pour étouffer toute l'intrigue. En fait, Wes Ball semble avoir conçu tout son film en se contentant d'induire des ébauches d'exploitation, pour une suite, qu'il a l'intention de nous servir dans un an ou deux. Semblant chercher à battre à tout prix un record, le dénommé Wes Ball n'a pas eu de remord, à nous laisser nous ennuyer comme des rats morts.
Très bon , notamment de par ses effets spéciaux , et intéressant film qui se déroule quelques Trois Cents ans après la mort de César le principal protagoniste du 1er volet de la Saga et ce premier film du second volet permet là d’installer les personnages principaux, et de construire les bases d’une intrigue principale prometteuse !
J'avais adoré la première trilogie de la planête des singes avec l'histoire de Cesar. Le premier film de la nouvelle trilogie est certaine en dessous des précédents mais malgré tout elle permet de continuer une licence avec quelques scènes de panache. Noa reprend le flambeau de Cesar dans cette nouvelle triolige. Son charisme est moins fort c'est vrai mais il faut laisser une chance à cette nouvelle trilogie.
C'est surtout les effet spéciaux qui m'ont bluffé. C'est parfait. in ne sent quasiment plus le numérique. C'est correctement réalisé. Un peu lent mais pas catastrophique. Pour l'histoire, c'est pas mal mais la fin gâche un peu le film pour moi: spoiler:
1) le barrage n'est pas très haut dans les 3 mètres, une grande partie du bunker est très au dessus de l'eau donc casser le barrage ne devrait inonder qu'une petite partie. Et donc laisser plein d'arme hors de l'eau. Donc ouvrir le bunker est stupide.
2) Tout ça pour ça. Juste pour un clé de décodage pour communiqué par satellite. eeuhh le monde communiquai avec des technologies beaucoup plus simple, sans cryptage, par onde radio ou télégraphe. Utiliser les ondes radios, comme utilisé dans beaucoup de de films post-apocalyptique, est beaucoup plus efficace pour touché une majorité d'humains(pas forcément dans des bunkers vu que Mae ne semble pas affecté par le virus). Surtout que les singes sont loin d'avoir maîtrisé l'électronique. De plus ce système ne semble fonctionné qu'entre base américaine. J'avoue que je m'attendais plutôt que cette clé serve à activer une arme nucléaire pour tuer les singes par une humanité poussé au désespoir se disant quant éliminant les singes ils élimineraient également le virus. Ce qui serait en phase avec les films des années 60/70.
3) La morale. Les singe ne sont pas mieux que les hommes. Ils feront le même parcours que les humains et cela leur explosera au visage.
Dommage car l'histoire est sans doute la partie qui a coûté le moins cher. Je leur laisse quand même le bénéfice du doute pour les suites. Peut-être c'est effectivement la clé pour lancé les missiles et ils communiquent dès lors spécifiquement avec les autres bases de missiles pour coordonner les attaques. A voir dans la suite
Plusieurs années, la Fox devenue Century Studio sous les joux de Disney, dès l'annonce de la reprise de la saga il était certains que "l'ambiance Mickey" allait être remise en cause car, depuis maintenant 2 ans, nombre de saga, relancée ou se poursuivant et devenue "propriété" de celle-ci ont eu tendance à se prendre un mur. Là il est claire que le mur n'est pas visuel, la motion capture crée toujours autant d'épatement, d'émerveillement et les multiples environnements post-apocalyptique avec cette "méga nature" reprenant ses pleins droits sont justes sublimes. De plus, Wes Ball (trilogie "Labyrinthe"...) réalisant ce nouvel opus, j'aurais clairement pu m'imaginé tout un armada scénaristique (histoire), musical et donc visuel. spoiler: Il n'en aura finalement rien été. Ce dernier parvient comme ses prédécesseurs (Rupert Wyatt & Matt Reeves) à sublimer le numérique et mettre sur pied d'impressionnants plan aériens comme terrestre, mais celui-ci fait un surplace XXL de plus d'1h avant que les premières actions n'arrivent pour revenir à l'allure de croisière. Les développements philosophiques de la dernière trilogie sont balayés, les relations entre primates sont rapidement vues et leur quotidien n'apporte rien de "croustillant" au récit. Seul la scène introductive fut percutante et mise en boîte tel "Le Labyrinthe". La jeune humaine elle aussi n'apporta rien de conséquent, les humains en "liberté" puis chassés ont été comme espérer, un référencement tonitruant aux films originaux mais à savoir pourquoi, ils disparaissent des radars l'instant suivant. Enfin, la demeure du soit disant roi, meneur ou plutôt dictateur "Proximus", tel un empereur Romain, assoiffé d'un savoir et d'un possible trésor technologique qu'il ne sait d'avance, pas utiliser, est encore plus une incohérence au scénario. William H. Macy ("Jurassic Park 3"...), seul humain au portillon n'à lui aussi, servit à rien, jouant les compteurs d'histoire antique pour les primates, "chercheur", mais de quoi, pour qui... Une présence au cast inutile. Le final fut percutant (inondation du bunker, duel final en bord de falaise) et maîtrisé au la main par Ball mais voilà, 2h30 de quasi longueurs audios, longueurs verbales 3 à 4 scènes d'envergures rapidement noyées sous la joute des mots. Ce nouveau chapitre, signé Disney, en grande partie raté pour le "père adaptant" du "Labyrinthe", annonciateur d'une nouvelle trilogie ou saga, ne pouvait pas mieux louper sa lancée.
J'ai bien aimé l'histoire malgré que c'est plus la même histoire que le film précédent qui date de 2017 à l'époque l'héros principal se nommé César ici c'est Noa, je trouvais César plus charismatique par rapport à Noa qui s'en sort quand même pas mal sinon les acteurs jouent bien je conseille ce film.
À l’annonce du projet, j’étais assez dubitatif sur l’utilité de faire une suite, car la trilogie précédente est une des rares licences des années 2000 que je trouve maitrisée de bout en bout, avec notamment un dernier épisode frôlant la perfection… Mais le film à la bonne idée de ne pas être une suite directe, et de placer son action plusieurs génération plus tard, et son titre nous proposait d’ailleurs un nouveau départ…
Le film a pour lui d’être visuellement sidérant. Les singes n’ont jamais été aussi criants de vérité avec des expressions faciales bluffantes. De même, le travail sur les décors est impressionnant et propose des plans post apocalyptiques du plus bel effet. A quelques détails près, les effets numériques sont parfaitement intégrés et on est loin de la bouillie visuelle que propose la majorité des blockbusters actuels. Bref, il y a un grand soin apporté au visuel, et on en prend plein les yeux.
Même si César ne sera plus présent, son aura sera continuellement présente, en devenant un symbole christique, qui sera le thème central du film. Ce nouvel opus offre aussi de nombreuses références au film de 1968, que ce soit sur certains plans, objets ou même la musique. Et il prendra même parfois un malin plaisir à en jouer.
Mais, même si la claque visuelle est bien présente et qu’il respecte aussi bien les films passés, son écriture plombe sérieusement l’expérience cinématographique…
En premier lieu, les personnages, dont l’écriture est assez simpliste et manichéenne. On passera sur le choix du prénom de notre héros, Noa, au cas où certains spectateurs passeraient à côté de la métaphore religieuse… Un héros qui, bien sûr, est un gentil chimpanzé, accompagné du sage orang outan, et se battant contre le très méchant gorille… Le personnage de Mae sort tout de même du lot et est certainement le plus intéressant. Et même si on devine son parcours lors des prochains épisodes, elle reste plus ambiguë et nuancée. Pour le reste, on a vraiment la sensation qu’on nous ressert le même casting, ce qui a pour conséquence qu’on a du mal à s’attacher aux personnages, qui d’ailleurs ont un développement au moins aussi prévisible que le scénario.
L’histoire est très convenu, avec cette quête initiatique du héros qui cherche à sauver sa famille. J’avais continuellement une longueur d’avance sur l’histoire, ce qui fait que j’ai rarement été surpris, et le manque d’émotion flagrant du film n’arrangeant rien, et j’ai fini par trouvé le temps long…
Alors, oui, visuellement c’est assez dingue, et le grand spectacle est bien là. Mais pour le coup l’écriture à finit par me sortir du film qui aurait clairement gagné à être raccourci pour se concentrer sur le spectacle, ou alors réellement développer ses personnages…
Ce nouveau "film de singes" mêle tradition et modernité.
Du côté de la tradition, on a les références aux très vieux films,sortis dans les années 1960-1970, et à une série télévisée. Ça, c'est pour le public cinéphile.
Du côté de la modernité, on a une utilisation parfaitement maîtrisée des technologies numériques, liées à la capture de mouvement. Les personnages simiesques sont criants de vérité... et dotés d'une véritable "humanité".
C'est d'ailleurs l'un des propos du film : montrer que certains singes sont capables de plus de sentiments "humains" que les humains eux-mêmes, dont certains défauts sont dénoncés, notamment par les personnages de Noa et Proximus. Ce dernier est en revanche l'incarnation de la "face obscure" du monde simiesque, qui se montre aussi cruel et avide de pouvoir que n'importe quelle dictature humaine. Le film suggère que la solution est à trouver du côté de l'entraide, du dialogue inter-espèces, entre humains, chimpanzés, orangs-outans...
On peut toutefois négliger cet aspect socio-politique pour se concentrer sur le spectacle. L'une des premières séquences, montrant l'initiation d'un trio de jeunes singes, est assez brillamment mise en scène. On retrouve cette habiletéspoiler: dans la mise à sac du village du héros, Noa, avant d'être cueilli, bien plus tard, par la séquence du blockhaus, qui constitue sans doute l'apogée du film.
Ma seule réserve porte sur la durée : presque 2h30. On la sent bien, surtout au début. Il aurait fallu raccourcir un peu, notamment les scènes de transition. Sinon, c'est un très bon spectacle.