Magnifique terrible le seul truc qui manque c’est que j’aurai penssé que les singes serait beaucoup plus avancé technologiquement comme dans celui de 1968 mais vraiment c’est reussi c’est la véritable planete des singes méme si la saga de cesar et un chef d’oeuvre cette nouvelle trilogie peut nous surprendre!!!
Le film "La Planète des singes : Le Nouveau Royaume", réalisé par Wes Ball et sorti en 2024, se positionne comme un maillon intrigant dans la longue chaîne de cette saga cinématographique emblématique. L'ambition narrative de Ball est indéniable, tentant d'insuffler une nouvelle vie dans un univers déjà bien exploité, trois cents ans après les événements marquants de "Suprématie".
Au cœur de ce chapitre, Noa, un jeune chimpanzé élevé dans un clan isolé, découvre un monde plus grand et complexe lorsqu'il est contraint de quitter son foyer après une attaque dévastatrice. Le film navigue entre des séquences d'aventure épiques et des moments introspectifs, peignant un portrait de la lutte pour le pouvoir et de la quête identitaire. La performance captivante d'Owen Teague, qui joue Noa, apporte une profondeur notable au film, soutenue par des effets spéciaux qui continuent de repousser les limites de ce que le cinéma peut réaliser en termes de réalisme animalier.
Cependant, le film souffre parfois d'un excès de zèle dans sa complexité narrative. Les nombreux nouveaux personnages et les sous-intrigues parfois peu explorées peuvent laisser le spectateur perplexe quant à leur pertinence par rapport à l'histoire principale. De plus, bien que le film tente d'aborder des thèmes tels que l'héritage et la manipulation des croyances, ces éléments semblent par moments submergés par l'action continue et les scènes spectaculaires.
La réalisation de Wes Ball est robuste, avec une utilisation efficace des décors naturels qui ajoutent à l'authenticité de l'environnement post-apocalyptique. La musique de John Paesano, alliée à la photographie de Gyula Pados, enrichit l'atmosphère tendue et dramatique du film, plaçant le spectateur au cœur d'une lutte de survie.
"Le Nouveau Royaume" excelle dans la façon dont il visualise et orchestre ses scènes d'action, qui sont sans aucun doute le point fort du film. Ces moments sont captivants et montrent le meilleur de ce que la technologie cinématographique moderne a à offrir. Toutefois, le film aurait bénéficié d'une exploration plus approfondie des relations entre les personnages et de leurs motivations, ce qui aurait offert une expérience plus riche et émotionnellement engagée.
En définitive, "La Planète des singes : Le Nouveau Royaume" est une addition respectable à la franchise, apportant des innovations visuelles tout en restant fidèle à l'esprit des films précédents. Malgré ses ambitions parfois trop grandes pour sa propre structure narrative, le film demeure un divertissement solide qui ravira les fans de la série et attirera sans doute un nouveau public.
Excellent, les plans, les décors et les nouveaux personnages sont remarquables. Le scénario est original et nous tient du début à la fin, toujours énormément de clins au film original de 68 avec la chasse des humains, les croix près du pont, la plage, la poupée et bien d'autres, bref un gros kiff comme les précédents même si César nous manque
Que dire de ce nouveau film la planète des singes encore une fois cet univers me fascine c’est fou je ne m’attendais pas à grand chose au tout début de l’annonce d’un nouveau film de cet univers mais plus je voyais les bandes annonces plus ce film me donnait envie la CGI est juste épatante les décors sont fous vraiment des films qui ne déçoivent jamais je recommande fortement et je retournerais le voir
"Qu’est-ce que le singe peut apprendre de l’Homme et que peut apprendre l’Homme du singe ? Il s’agit d’une boucle de réflexion sans fin pour une franchise qui ne semble pas avoir dit son dernier mot. La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume est le premier volet d’une nouvelle histoire sous la tutelle de Disney. Une initiative qui divertit à peine, à force de rallonger son exposition et à freiner ses envolées dramatiques. Un début de trilogie qui inquiète, mais qui colmate les brèches avec un savoir-faire esthétique, durement acquis et revendiqué sans réserve."
"L’espèce dominante reste celui qui tient le bâton électrique à la main et on n’attendra pas très longtemps pour que ce rappel pousse Noa dans une quête initiatique. Il est un fils et un ami qui doit prouver sa valeur, tout en apprenant à connaître ses nouveaux ennemis. Il ne tarde pas à croiser la route d’un gardien de la mémoire de César, à présent devenu une légende scandée avec vigueur, mais sans connaissance de cause. Les valeurs de ce patriarche révolutionnaire manquent d’être immortalisées dans les livres, alors chacun se console avec sa vision altérée de la justice. Tout l’enjeu de Noa sera de questionner ces valeurs au sein des mœurs qu’il découvre peu à peu lors de sa mission de sauvetage. Arraché à ses terres et ses rituels, son peuple attend donc qu’il vienne les secourir d’un déluge qui s’annonce imminent."
"Si on prend un certain plaisir à cogiter sur les valeurs que cultivent les différents protagonistes primates, notamment la réappropriation de l’histoire de l’Homme, on reste encore sur notre faim côté divertissement. La mise en place de ce nouvel univers prend bien trop d’espace pour que Noa et les siens puissent pleinement exister dans cette intrigue, trop soucieuse d’émietter des références très peu subtiles afin d’honorer les fans de la première heure. En ayant joué le jeu à moitié, La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume ne pouvait pas espérer fédérer toute son audience avec aussi peu d’entrain. En espérant que la suite ne tombe pas dans les mêmes travers."
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C’est visuellement très bien fait mais l’histoire est un peu trop classique - même si on peut y voir, en deuxième niveau, une critique des religions et des paroles attribuées à leur prophète par différents courants de pensée -. Quand on voit la tournure prise par cette saga, on a davantage l’impression de voir une série comme « Lost : Les Disparus » que les messages plus frontaux de la saga originelle ou que le film de 2011 « La Planète des singes : les origines » qui était beaucoup plus visible comme un tout, scénaristiquement abouti, et tellement plus rythmé. Ne boudons néanmoins pas notre plaisir tant les effets numériques, présents quasiment à chaque plan, nous laissent bouche bée.
Ce film à gros budget, c'est du lourd. J'aurais mis 5 étoiles si les émotions humaines avaient davantage été exploitées (normal, non ?), et si la fin de l'histoire avait été un peu plus développée, mais c'est peut-être pour préparer une suite à ce sujet. Ce qui est intéressant, au-delà du bon scénario, des décors incroyables, du jeu impeccable des acteurs, c'est toujours cette petite ambiguité : l'homme est-il totalement mauvais ?... idem pour les singes !
Du bon boulot ! Depuis la reprise avec la dernière trilogie exemplaire, on espérait une suite digne de ses prédécesseurs. Et c’est le cas avec un scénario intéressant se déroulant plusieurs centaines d’années plus tard. Les effets spéciaux sont bluffants (on sent l’implication des avancées générées par Avatar 2) d’autant plus quand on apprend que pas un seul rapace n’est réel !!! (Itw Première avril 2024) Le réalisateur prend son temps pour approfondir ses personnages et le montage est bien équilibré. Seul regret : le personnage de Mae est un peu sous-exploité. La suite nous dira si cela était à dessein.
Un divertissement plutôt réussi. On ne voit pas le temps malgré les 2h20. La réalisation est classique et le récit beaucoup moins puissant que la saga précédente, Wes Ball n'est pas Matt Reeves, Noa n'est pas César. On est moins attaché aux personnages et le propos est un peu trop simpliste mais on espère une suite (malgré la fin un peu raté).
Visuellement ce film est très réussi malheureusement le scénario n'est pas abouti. Dommage il offrait de bonnes perspectives mais elles ne sont pas du tout exploitées. On se retrouve donc avec un film très très moyen.
Enfin un excellent film d’action dans le registre fantastique. On avait perdu l’habitude et on croyait que ce genre était perdu, il n’en est rien, voici peut-être le meilleurs opus de la franchise simiesque. Action, suspense, émotion, tragique, dialogues qui ont du sens, scénario lisible, visuels époustouflants, fin incroyable, pas de scènes courtes qui se succèdent dans tous les sens tout est bon et redonne goût au cinéma. Bon alors chacun de se fera son idée bien sûr, mais en attendant vous aurez passé 2 heures fantastiques.
Quel ennui et quel déception ! Est ce que se serai pas le Planète des singes de trop ? Le scénario est incompréhensif, entre les aigles ou l’on ne sait pas ce qu’ils font là, et la logique du film, l’intervention des humains illogique, et les scènes à rallonges, c’est quand même un film d’action à la base.. Il y a juste le côté esthétique qui est sympa, les images sont belles..
"La Planète des Singes"... Quel univers ! Pierre Boule a posé les jolies bases d'une fable SF (même s'il ne reconnaît pas avoir fait de la SF) qui a été repris avec brio par Franklin Schaffner au cinéma en 68, sublimant l'œuvre originale. La suite n'a pas été franchement à la hauteur, les producteurs en voulaient plus en proposant moins. Puis la trilogie avec Andy Serkis est arrivée. L'apogée de la saga. Un approfondissement de l'univers, intelligent et puissant, politique et philosophique. Un belle réussite. Technique et artistique. Alors pourquoi ce ''Kingdom of the Planet of the Apes'' ? Un film incipide, mal écrit, répétitif, une réalisation d'un classicisme navrant, une lenteur agaçante, des acteurs mal dirigés (on voit les acteurs derrière le masque numérique qui jouent en force), des effets visuels très en deçà de ses trois prédécesseurs ; du grand spectacle, certes, mais pour dire quoi ? Où est le propos politique profond et intelligent proposé par le film de 68 et par la trilogie de la genèse ? Le parti pris est bon : étudier les effets du temps sur ces sociétés simiennes. Il y a beaucoup à dire. Et pourtant...