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Stephan M.
40 abonnés
113 critiques
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4,5
Publiée le 9 mai 2024
je suis un fan de la sage des années 70 et tous ce qui a été fait ensuite, sauf la version de Tim Burton qui est le moins bon de tous sans être un navet
depuis La Planète des singes : Les Origines, le choix avait été de s'éloigné de la version des années 70 et bien avec La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume, j'ai été surpris de voir comment ce film reprend des petits éléments visuels, sonores et quelques scènes de rappels de La Planète des singes de 1968 de manière trés intelligente qui font vraiment plaisir aux fans de la vieille saga 70s comme moi, mais le scénario reste dans une autre approche avec ses propres surprises
Tous est réussis dans ce film, l'histoire n'est pas du tout prévisible, l'environnement trés varié, impressionnant et trés beau, beaucoup plus que les deux derniers épisodes,
le rythme m'a beaucoup plu, des moments d'actions, mais aussi des moments qui creusent plutôt très bien les personnages ce qui rend tous cela complexe dans le bon sens du terme, ce qui fait que il est difficile de se dire qui est le plus dangereux pour l'avenir de cette planéte
on constate une vrai évolution de la vie des singes et comment ils fabrique leur propre religion comme nous avons fabriqués les notres,
le personnage de l'humaine Nova est trés mystérieux jusqu'à la fin du film au vu de ce qu'elle est par rapport aux autres humains primitifs
on ressort de ce film avec beaucoup de question et surtout la possibilité d'une suite trés ouverte je suis ressortie du cinéma en n'imaginant plus pistes de suite, j'adore cela
donc ce film relance de façon magistral cette licence, l'après César et le personnage de Noah fonctionne très bien
c'est la saga la plus existante que nous ayons actuellement
Très très déçue par ce film alors que j'avais beaucoup aimé les précédents. Ce film est ennuyeux, lent. Trop de longueurs. Scénario bof. Le seul intérêt est la fin qui suscite de l'intérêt. Je vous le déconseille.
Un excellent nouvel opus qui pose de très bonnes bases pour une trilogie qui s'annonce à la hauteur de la précédente ! Visuellement c'est irréprochable. Les personnages sont attachants, l'émotion est présente, on retrouve la sensibilité des précédents opus, 'es personnages et leurs dilemmes sont intéressants, la fin promet une suite qui s'annonce géniale.
Quelle triste génération pouvons-nous observer, élevée dans la culture de l'instantanéité et du plaisir fugace, habituée à l'abondance et à l'exigence du "tout, tout de suite". Une génération d'impatients, incapables de suspendre le temps ne serait-ce que pour la durée d'un film, engloutis par leurs vies vides et superficielles. Une génération habituée aux extrêmes, incapables de faire preuve de discernement, de réflexion, ou de nuance. Tout ou rien, jamais entre les deux.
Ca me fait mal de partager nos salles avec ceux qui sont assoiffés d'instantanéité, dont l'esprit a été pollué par des années passées sur les réseaux sociaux. À les lire, le film devrait se réduire à vingt minutes, en se contentant des dix premières et des dix dernières. Pressés, ils sont incapables de s'immerger dans un univers, de laisser les personnages et l'univers se construire. Ils veulent tout, tout de suite, sans effort. Les critiques fusent, toutes sur le même ton : 'Manque de rythme', 'Début trop long', 'Scènes étirées'. Sommes-nous vraiment tombés si bas dans l'art de la critique ? Êtes-vous des adorateurs de la médiocrité réchauffée au micro-ondes ?
Pourtant, ce film inaugure une nouvelle trilogie qui s'annonce exceptionnelle, posant des bases solides, des personnages percutants et un univers captivant. Son début nous plonge lentement mais agréablement dans un monde nouveau, 300 ans après l'ère de César. Un monde où il faut réapprendre les règles, comprendre le fonctionnement. Personnellement, j'aurais même souhaité une immersion plus profonde.
Cette trilogie débute par une introduction douce et insouciante, avant de nous embarquer dans des péripéties captivantes et rythmées, pour finalement nous surprendre avec un dénouement aussi inattendu que saisissant, nous laissant avides de découvrir la grandeur que les suites promettent.
Je vous en prie, accordez-vous 2 heures et 20 minutes de votre journée, abandonnez votre téléphone, et appréciez pour une fois la patience et la curiosité. Quant aux autres, qui préfèrent s'user la cervelle dans leur marais de banalités sur TikTok et Netflix, qu'ils continuent à perdre leur temps à s'abrutir, mais qu'ils ne salissent pas ce film sous prétexte que leur propre vacuité les rend incapables d'en percevoir la beauté.
Et quand je parle de génération, je ne vise pas spécifiquement les jeunes. J'ai moi-même 24 ans. Je parle de nous tous, jeunes et moins jeunes, tous égarés dans cette quête frénétique de l'instantané et du plaisir facile. Honte à vous.
Bonne séance à ceux qui oseront s'accorder du temps pour eux.
Mais que c'est long. Ennuyeux, je me suis même endormi. Beaucoup de blabla pour ne rien dire. A éviter où plutôt à fuir. C'est le prix exorbitant qui m'a fait rester jusqu'à la fin, sinon, je serais parti au bout d'1/4 d'heure
Le film la planète des singes le nouveau royaume et un chef-d'oeuvre il fait référence au premier plante des singes de 1970 et l'un des troi premier plante des singes l'origine. Il est bien tourné. Il montre bien les différences entre les signes et il a voulu montre que les hommes sont différents.
Très bon film. Bien réalisé. Je n'ai absolument pas vu le temps passer. Le film est dans la lignée des précédents films de la saga. Bref, un film à voir.
Au fur et à mesure des épisodes ont gagné en spectacle et en technique ce que l’on perd en contenu. Certes ce dernier opus est visuellement impressionnant mais pour le reste c’est très creux. L’air du temps ?
7 ans après l’opus de Matt Reeves, on déterre cette licence pour raconter quoi? Ce qu’est devenu Nora? Le fils de César? Non rien de tout ça. On suit de tout nouveau personnage, dont on se fiche un peu.. ça prend pas tellement. Les effets sont de bons dans l’ensemble mais le film de 2017 n’a rien à jalouser. C’est une énorme déception, la réalisation est fade, le scénario creux et sans réel intérêt. Quelques clin d’œil à la trilogie de base mais rien de plus. Le design des « singes » fera penser à quelques inspirations de SDA (le gorille style Uruk-Hai , les éclaireurs avec le même masque que l’artificier, l’un à la même peau de bête aux épaules d’un des monteurs de wargs…) Un divertissement oubliable et pas même nécessaire à un fan de la licence.
Nouveau film après cette mythique trilogie et se situant des générations après César, « Le Nouveau Royaume » s'avère assez réussi en terme de scénario et de divertissement. Ici, les singes dominent et ont évolué, tandis que les humains sont pourchassés et ont régressé pour la plupart. Vu en Imax, les effets spéciaux et les paysages sont somptueux, offrant ainsi du grand spectacle. À travers l'histoire de Noa, accompagné d'une jeune humaine, nous allons prendre part à ce nouveau monde dont les rivalités sont plus que jamais présentes et ainsi pouvoir voir ce que César a laissé derrière lui. Action, dynamisme, rapport de force et émotion, des ingrédients qui relancent avec intérêt cette franchise dont on ne voit pas le temps passer.
Passer derrière l'excellente trilogie de Matt Reeves et Rupert Wyatt était une gageure. Au lieu de programmer la suivante juste après le récit biblique de César, le pôle de scénariste choisit de faire un bon dans le temps afin de redémarrer sur de nouvelles bases tout en se rapprochant un peu plus du tout premier film sorti en 1968. Autrement dit nous téléporter au moment où les rôles entre hommes et singes sont inversés afin de se reposer sur une autre dynamique donc une autre dramaturgie. Ce premier chapitre ne retrouve pas l'élégance et l'envergure de ses trois prédécesseurs.
Si les deux derniers opus signés Reeves, L'affrontement et Suprématie, ne sont pas près de vieillir, cela tient essentiellement aux renvois à l'Histoire qu'aux emprunts à différents genres comme le western, le film de guerre ou la tragédie. La finesse d'écriture offrait deux aventures parfaitement ficelées à la force d'évocation immédiate (et durable). En comparaison, Le Nouveau Royaume fait office d'essai ou de premier jet dont plusieurs points manquent cruellement de substance. L'introduction parvient à nous acclimater à Noa ainsi qu'à son clan mais pour ce qui est du hors-champ, c'est un peu nébuleux. Comment les choses fonctionnent, quid des humains, on ne peut pas dire que l'intrigue aborde vraiment ces sujets. Concernant le voyage de son héros, c'est plus limpide ce qui n'empêche pas de trouver ce nouveau long-métrage un peu longuet et surtout peu inspiré.
Wes Ball et son équipe de scénariste (comprenant les deux vétérans Rick Jaffa et Amanda Silver) font en plus des choix scénaristiques hasardeux, en bâclant les personnages les plus intéressants du film à savoir Raka et Trevathan. Wes Ball n'est pas Matt Reeves, les séquences les plus spectaculaires sont en net retrait par rapport aux sommets épiques atteints sur la précédente trilogie. Reste la thématique de l'héritage posée de manière assez noire, Le Nouveau Royaume observant les ravages du temps sur les actions passées, dont le sens est oublié sinon déformé. Et une facture technique toujours très impressionnante, dans le haut du panier des super-productions. On peut aussi apprécier le fait que l'histoire conserve le ton doux-amer de précédents volets et le petit zeste d'humour qui ne vient jamais faire obstacle aux enjeux plus dramatiques. Une retour par la petite porte et une déception. Mais si ce nouveau cycle suit la progression de l'ancien, le prochain devrait remonter la barre. C'est à espérer.
Fabuleux ! on est dans une réalité virtuelle, mais très soucieuse de réalisme et totalement crédible. Très bien joué, des décors somptueux. L'inversion des rôles entre singes et humains est toujours fascinante, elle nous apprend beaucoup sur nous-mêmes, je ne m'en lasse pas. Les scènes d'action soutiennent l'intérêt en permanence, rappellent la violence toujours présente dans un monde déstructuré, mais avec aussi des séquences d'émotion et d'amitié très émouvantes, sans tomber dans la mièvrerie, en montrant que l'intérêt personnel n'est jamais bien loin...
Plusieurs générations se sont succédé après le règne de César et les singes ont définitivement pris le pouvoir. Les humains quant à eux, ont régressé au point de revenir à l’état sauvage…
Après deux trilogies (de 1968 à 1973 puis de 2011 à 2017), il semblerait bien que la célèbre franchise inspirée du roman éponyme de Pierre Boulle soit de retour pour une nouvelle salve d’aventures simiesques. Pour autant, on est en droit de se demander ce que peut bien nous apporter de nouveau ce nouvel opus, tant on a l’impression que tout a déjà été dit et redit à son sujet. D’ailleurs, tout au long du film, on a cette désagréable impression de redite, avec toujours ce même schéma narratif (un chimpanzé trouve conseil auprès d’un vieux sage (l’orang-outan), avant d’être la proie d’un terrible gorille et comme dans La Planète des singes - Suprématie (2017) où Nova était secourue par César, cette fois-ci, c’est Mae qui trouve de l’aide auprès de Noa).
Pour le reste, La Planète des singes - Le Nouveau Royaume (2024) donne l’impression de n’être que du réchauffé, le tout, contrebalancé par de remarquables CGI (quand Dame-Nature reprend ses droits sur la civilisation et ce bunker qui avait tant à nous raconter, mais qui finalement ne sera que peu évoqué). Quelques invraisemblables ici et là que l’on peine à comprendre spoiler: (comment se fait-il que le bunker s’illumine comme le Château de Versailles à la simple utilisation d’un interrupteur, alors qu’il est censé être en sommeil / à l’abandon depuis des décennies ou alors comment expliquer qu’il puisse y avoir d’un côté des humains revenus à l’âge de pierre et d’autres, vivant à l’ère 2.0 dans un abri-souterrain, comme s’il s’agissait de deux civilisations diamétralement opposées, vivants dans deux univers parallèles alors que ça n’est pas le cas).
A côté de ça, le film ne justifie en aucun cas ses 2h30, beaucoup trop de blabla et un ventre mou en milieu de parcours, avant de nous sortir de notre léthargie lors des 30 dernières minutes du film, mais c’est trop tard, le mal est fait, on se sera ennuyé pendant les ¾ du film. Ça n’augure rien de bon pour la suite…