La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume : Critique presse
La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume
Note moyenne
3,1
23 titres de presse
CNews
Filmsactu
La Voix du Nord
Le Journal du Geek
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Mad Movies
Ouest France
Première
Ecran Large
Franceinfo Culture
GQ
L'Obs
Le Journal du Dimanche
Le Point
Libération
Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Monde
Les Echos
Positif
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
CNews
par La rédaction
Ce premier volet permet d’installer les personnages principaux, et de construire les bases d’une intrigue principale qui, si elle est bien menée, pourrait faire de cette nouvelle série de films une nouvelle réussite.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Filmsactu
par Maxime Chao
La Planète des Singes Le Nouveau Royaume est une vraie réussite et même une belle surprise également (...). Le film a su trouver un nouveau souffle, creuser le lore là où il le faut, et surtout continuer à nous questionner sur la cohabitation presque impossible entre deux espèces qui veulent être le dominant.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas de doute, la franchise culte relancée en 2011 ne perd rien de sa puissante force évocatrice. Et se double d’un grand spectacle auxquels des effets spéciaux à la pointe donnent une ampleur inédite.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Entre héritage et renouveau, La Planète des Singes : Nouveau Royaume s’illustre comme une honnête poursuite des aventures de César. Nouveaux personnages, nouveaux enjeux, mais même attention portée sur la politique, le film de Wes Ball réunit tous les ingrédients d’une épopée post-apocalyptique d’envergure.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Renaud Baronian
Si le film met un peu trop de temps à se mettre en place, il fait ensuite carrément le job dans le genre pur divertissement : décors naturels somptueux, interprétation au top des comédiens filmés avec la technique de la Performance Capture (...), effets spéciaux incroyablement bluffants. Un grand spectacle…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Arnaud Combe
Entre blockbuster et récit initiatique, La Planète des singes : le Nouveau Royaume offre un terrain fertile pour explorer les enjeux complexes de l’héritage de César et par extension celui de la saga.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Wes Ball semble avoir trouvé un point d'entrée viable en reléguant à un lointain passé les combats de César, et en laissant des tyrans s'approprier son glorieux héritage. En résulte une fable bien plus politique que ce qu'on avait anticipé...
Ouest France
par Gaël Golhen
Tour à tour récit initiatique (...), grand film d’aventures multipliant les scènes d’action ébouriffantes et, pour finir, film d’infiltration nerveux (...), ce Nouveau royaume rappelle qu’à l’origine, le film de 1968 était autant une réflexion contemporaine (mélangeant les références au Vietnam et à l’utilisation du nucléaire), qu’une véritable série B, fun et excitante.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Pierre Lunn
Finie la métaphore, place à l’action. A la fois récit initiatique (...), grand film d’aventure multipliant les scènes ébouriffantes et film d’infiltration nerveux (...), ce Nouveau Royaume rappelle au fond que le film de 1968 était autant une réflexion politique qu’une véritable série B, fun et excitante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Antoine Desrues
Malgré son jeune héros encore innocent, La Planète des singes : Le Nouveau royaume convoque une science-fiction post-apocalyptique toujours aussi désenchantée. Un blockbuster élégant sur l’entropie inévitable de nos sociétés et de leurs idéologies.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’ascension de la falaise par César est un beau moment, et, malgré un récit linéaire, on ne s’ennuie jamais sur les 2 h 25 du film. Le Nouveau royaume ne brille pas de mille feux, perd un peu de la substance d’un sujet aux nombreuses ramifications, mais reste efficace.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
À l'exception de quelques images, comme celle de Noa découvrant un grand télescope abandonné, le film de Wes Ball manque cruellement d'audace et d'émotion, l'une des composantes essentielles dans la réussite de la franchise jusque-là.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Isabelle Danel
Le récit, efficace même si un peu réchauffé, porte un message écologique de bon aloi et ménage quelques effets sur l’instinct et les idées bien ancrées à travers un personnage d’humaine (Freya Allan) aux desseins retors. La mise en scène, toujours très spectaculaire, nous entraîne dans la découverte d’univers grandioses bâtis sur des ruines et d’impressionnantes scènes d’attaque et de destruction.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Wes Ball continue d’enrichir et de réinventer la mythologie avec un opus visuellement splendide, qui revêt la forme d’un road-movie d’apprentissage avec un héros devant endurer des épreuves pour grandir. Pour poursuivre la réflexion sur la condition humaine, le cinéaste adopte le point de vue du singe porteur de valeurs comme la bonté, la sagesse, la solidarité et le vivre-ensemble. En dépit d’un rythme en dents de scie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Philippe Guedj, Jean-Luc Wachthausen
Réalisation classique et ample (...), traitement sobre, ébauche de réflexion anthropologique… À défaut de révolution, la saga simiesque connaît une évolution positive avec ce divertissement plus que décent qui détonne (un peu) dans la morne jungle des blockbusters primaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Si la série de blockbusters avait jusque-là convaincu, son dernier volet, servi par des effets spéciaux monumentaux, perd en consistance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Cédric Coppola
À défaut d’être le meilleur film de la franchise, le dixième long-métrage autour de La Planète des singes vaut par sa capacité à faire référence à des conflits actuels.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Parce qu’il ne questionne plus la présence et l’apparence de ces êtres hybrides, censés nous émouvoir, le film bascule dans un idéal de table rase très proche d’Avatar, avec lequel il partage son kitsch "écolo tribal", son idéologie familialiste et sa passion vidéoludique du monde ouvert, à explorer jusqu’à plus soif […].
Critikat.com
par Josué Morel
Coincée dans une éternelle boucle de face-à-face, où la menace d’une confrontation est couplée à l'espoir d'une harmonie entre espèces intelligentes, la franchise effleure l’hypothèse sans tout à fait oser franchir le Rubicon : la vraie méchante, c’est la gamine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par J.-F. R.
Le principal défaut du film de Wes Ball réside dans son récit, d’une platitude désarmante. Comme si le scénario s’était ingénié à éviter toute complication dialectique, toute envolée mythologique et réflexion morale pour privilégier de longs et redondants moments de poursuites et d’échanges sentimentaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Dixième volet d'une saga mythique, « Le nouveau royaume » part d'une idée intéressante mais souffre d'une mise en scène peu inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Grégory Valens
Les scènes d'action manquent cruellement du punch et de point de vue ; même la soudaine apparition de la parole chez un personnage qui en semblait dépourvu, instant-clé de la plupart des films précédents, ne crée ici aucun effet de surprise.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
La Planète des singes : Le nouveau royaume est au mieux bavard, au pire confus. Personne ne se souvient de qui était vraiment César, mais tous brandissent son nom dans tous les sens (...). Les rapports de pouvoir des précédents opus se sont mués en enjeux de déformation de la parole de ce prophète, qui n’en était pourtant pas vraiment un.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
Ce premier volet permet d’installer les personnages principaux, et de construire les bases d’une intrigue principale qui, si elle est bien menée, pourrait faire de cette nouvelle série de films une nouvelle réussite.
Filmsactu
La Planète des Singes Le Nouveau Royaume est une vraie réussite et même une belle surprise également (...). Le film a su trouver un nouveau souffle, creuser le lore là où il le faut, et surtout continuer à nous questionner sur la cohabitation presque impossible entre deux espèces qui veulent être le dominant.
La Voix du Nord
Pas de doute, la franchise culte relancée en 2011 ne perd rien de sa puissante force évocatrice. Et se double d’un grand spectacle auxquels des effets spéciaux à la pointe donnent une ampleur inédite.
Le Journal du Geek
Entre héritage et renouveau, La Planète des Singes : Nouveau Royaume s’illustre comme une honnête poursuite des aventures de César. Nouveaux personnages, nouveaux enjeux, mais même attention portée sur la politique, le film de Wes Ball réunit tous les ingrédients d’une épopée post-apocalyptique d’envergure.
Le Parisien
Si le film met un peu trop de temps à se mettre en place, il fait ensuite carrément le job dans le genre pur divertissement : décors naturels somptueux, interprétation au top des comédiens filmés avec la technique de la Performance Capture (...), effets spéciaux incroyablement bluffants. Un grand spectacle…
Les Inrockuptibles
Entre blockbuster et récit initiatique, La Planète des singes : le Nouveau Royaume offre un terrain fertile pour explorer les enjeux complexes de l’héritage de César et par extension celui de la saga.
Mad Movies
Wes Ball semble avoir trouvé un point d'entrée viable en reléguant à un lointain passé les combats de César, et en laissant des tyrans s'approprier son glorieux héritage. En résulte une fable bien plus politique que ce qu'on avait anticipé...
Ouest France
Tour à tour récit initiatique (...), grand film d’aventures multipliant les scènes d’action ébouriffantes et, pour finir, film d’infiltration nerveux (...), ce Nouveau royaume rappelle qu’à l’origine, le film de 1968 était autant une réflexion contemporaine (mélangeant les références au Vietnam et à l’utilisation du nucléaire), qu’une véritable série B, fun et excitante.
Première
Finie la métaphore, place à l’action. A la fois récit initiatique (...), grand film d’aventure multipliant les scènes ébouriffantes et film d’infiltration nerveux (...), ce Nouveau Royaume rappelle au fond que le film de 1968 était autant une réflexion politique qu’une véritable série B, fun et excitante.
Ecran Large
Malgré son jeune héros encore innocent, La Planète des singes : Le Nouveau royaume convoque une science-fiction post-apocalyptique toujours aussi désenchantée. Un blockbuster élégant sur l’entropie inévitable de nos sociétés et de leurs idéologies.
Franceinfo Culture
L’ascension de la falaise par César est un beau moment, et, malgré un récit linéaire, on ne s’ennuie jamais sur les 2 h 25 du film. Le Nouveau royaume ne brille pas de mille feux, perd un peu de la substance d’un sujet aux nombreuses ramifications, mais reste efficace.
GQ
À l'exception de quelques images, comme celle de Noa découvrant un grand télescope abandonné, le film de Wes Ball manque cruellement d'audace et d'émotion, l'une des composantes essentielles dans la réussite de la franchise jusque-là.
L'Obs
Le récit, efficace même si un peu réchauffé, porte un message écologique de bon aloi et ménage quelques effets sur l’instinct et les idées bien ancrées à travers un personnage d’humaine (Freya Allan) aux desseins retors. La mise en scène, toujours très spectaculaire, nous entraîne dans la découverte d’univers grandioses bâtis sur des ruines et d’impressionnantes scènes d’attaque et de destruction.
Le Journal du Dimanche
Wes Ball continue d’enrichir et de réinventer la mythologie avec un opus visuellement splendide, qui revêt la forme d’un road-movie d’apprentissage avec un héros devant endurer des épreuves pour grandir. Pour poursuivre la réflexion sur la condition humaine, le cinéaste adopte le point de vue du singe porteur de valeurs comme la bonté, la sagesse, la solidarité et le vivre-ensemble. En dépit d’un rythme en dents de scie.
Le Point
Réalisation classique et ample (...), traitement sobre, ébauche de réflexion anthropologique… À défaut de révolution, la saga simiesque connaît une évolution positive avec ce divertissement plus que décent qui détonne (un peu) dans la morne jungle des blockbusters primaires.
Libération
Si la série de blockbusters avait jusque-là convaincu, son dernier volet, servi par des effets spéciaux monumentaux, perd en consistance.
Sud Ouest
À défaut d’être le meilleur film de la franchise, le dixième long-métrage autour de La Planète des singes vaut par sa capacité à faire référence à des conflits actuels.
Cahiers du Cinéma
Parce qu’il ne questionne plus la présence et l’apparence de ces êtres hybrides, censés nous émouvoir, le film bascule dans un idéal de table rase très proche d’Avatar, avec lequel il partage son kitsch "écolo tribal", son idéologie familialiste et sa passion vidéoludique du monde ouvert, à explorer jusqu’à plus soif […].
Critikat.com
Coincée dans une éternelle boucle de face-à-face, où la menace d’une confrontation est couplée à l'espoir d'une harmonie entre espèces intelligentes, la franchise effleure l’hypothèse sans tout à fait oser franchir le Rubicon : la vraie méchante, c’est la gamine.
Le Monde
Le principal défaut du film de Wes Ball réside dans son récit, d’une platitude désarmante. Comme si le scénario s’était ingénié à éviter toute complication dialectique, toute envolée mythologique et réflexion morale pour privilégier de longs et redondants moments de poursuites et d’échanges sentimentaux.
Les Echos
Dixième volet d'une saga mythique, « Le nouveau royaume » part d'une idée intéressante mais souffre d'une mise en scène peu inspirée.
Positif
Les scènes d'action manquent cruellement du punch et de point de vue ; même la soudaine apparition de la parole chez un personnage qui en semblait dépourvu, instant-clé de la plupart des films précédents, ne crée ici aucun effet de surprise.
Télérama
La Planète des singes : Le nouveau royaume est au mieux bavard, au pire confus. Personne ne se souvient de qui était vraiment César, mais tous brandissent son nom dans tous les sens (...). Les rapports de pouvoir des précédents opus se sont mués en enjeux de déformation de la parole de ce prophète, qui n’en était pourtant pas vraiment un.