Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
La beauté du film se tient en premier lieu dans cette manière du cinéaste à œuvrer pour une simplicité et une raréfaction de l'action et faire de ces espaces extérieurs les lieux même de l'intimité. (...) "A l'abordage" est un film plein de grâce, une grâce tenant aussi bien à son économie qu'à sa beauté formelle et narrative.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Télérama
par Jérémie Couston
En symbiose avec ses personnages, qu’il observe et filme avec ce subtil mélange de retenue et d’empathie dont il est coutumier, le réalisateur d’Un monde sans femmes signe une nouvelle comédie solaire et joyeusement mélancolique sur les « galériens » de la carte du Tendre. Le charme est ténu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Le bien que peut faire aujourd’hui l’échappée dans la Drôme estivale d’À l’abordage a directement à voir avec sa temporalité, si éloignée de celle que nous subissons depuis des mois : il s’agit de considérer le cinéma comme une intensification du présent dans la jouissance souveraine de l’espace.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par La Rédaction
Un ravissant marivaudage.
L'Humanité
par Amaïllia Bordet
Un film solaire, humain et spontané.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
A distance des idées reçues mais tout près de ses personnages, Brac filme la semaine de deux lascars de La Courneuve (formidables Eric Nantchouang et Salif Cissé) et d’un fils à maman dans un camping de la Drôme où ils atterrissent pour les beaux yeux d’une fille draguée à Paris. Attachant et rassembleur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Cécile Jaurès
De cette rencontre improbable naîtra une belle amitié et c’est bien là tout la magie d’À l’abordage, porté par une troupe de comédiens débutants formidables : assurer qu’au-delà des différences sociales, culturelles ou politiques, les grands adolescents partagent au final les mêmes aspirations (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Un film plein de grâce, d'une douceur infinie.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un petit bijou en forme de comédie estivale qui s'amuse des différences sociales sans céder à la démagogie ou à la caricature. Aux discours appuyés, le réalisateur a le bon goût de préférer l'humour et la tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Guillaume Brac nous parle d'un pays lointain dont on se dit qu'il pourrait être le nôtre.
Le Parisien
par La Rédaction
Cette chronique sur le désir, les amours pas toujours réciproques et le choc de cultures est portée par un humour plein de tendresse et de jeunes comédiens au jeu très naturel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Ce film original et profond révèle plusieurs jeunes acteurs prometteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
On ne sait, face à cette comédie solaire, s’il faut louer d’abord l’excellence de l’interprétation, la qualité d’écriture, ou l’élégance de la mise en scène. Peu importe, tout y est !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Dans A l’Abordage, les appartenances sociales des personnages tendent à s’estomper au contact de l’eau et du soleil sans tout à fait jamais disparaître, condamnées à ressurgir subrepticement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Le cinéaste Guillaume Brac signe un nouveau très beau film d’été qui semble clore un cycle, celui des espoirs déçus et des amours de saison.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une comédie estivale délicieuse.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
[Un] pic de bonheur solaire.
Ouest France
par La Rédaction
La fiction retrace, par petites touches pleines de justesse et délicatesse, les tribulations de ce trio qui va explorer la carte du Tendre mais pas que : la jeune fille, objet de toutes les attentions, accueille plutôt bien son prétendant, avant de jouer les capricieuses.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Yann Tobin
[Un] feel-good estival, sorte de variation sur son moyen métrage fondateur, "Un monde sans femmes" (2011).
Première
par Thomas Baurez
Brac n’est pas Kechiche, il ne cherche pas à sonder jusqu’à épuisement la fièvre qui régit les corps entre eux. Il est plus chaste, c’est un observateur qui intervient très peu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Guillaume Brac signe un beau récit de vacances, généreux, sensible, mais socialement très naïf.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Guillaume Brac tente d’échapper aux influences Rohmer/Rozier, mais son cinéma y revient ostensiblement, pour n’en garder que les apparences. Globalement ennuyeux, finalement assez vain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
La beauté du film se tient en premier lieu dans cette manière du cinéaste à œuvrer pour une simplicité et une raréfaction de l'action et faire de ces espaces extérieurs les lieux même de l'intimité. (...) "A l'abordage" est un film plein de grâce, une grâce tenant aussi bien à son économie qu'à sa beauté formelle et narrative.
Télérama
En symbiose avec ses personnages, qu’il observe et filme avec ce subtil mélange de retenue et d’empathie dont il est coutumier, le réalisateur d’Un monde sans femmes signe une nouvelle comédie solaire et joyeusement mélancolique sur les « galériens » de la carte du Tendre. Le charme est ténu.
Cahiers du Cinéma
Le bien que peut faire aujourd’hui l’échappée dans la Drôme estivale d’À l’abordage a directement à voir avec sa temporalité, si éloignée de celle que nous subissons depuis des mois : il s’agit de considérer le cinéma comme une intensification du présent dans la jouissance souveraine de l’espace.
Elle
Un ravissant marivaudage.
L'Humanité
Un film solaire, humain et spontané.
L'Obs
A distance des idées reçues mais tout près de ses personnages, Brac filme la semaine de deux lascars de La Courneuve (formidables Eric Nantchouang et Salif Cissé) et d’un fils à maman dans un camping de la Drôme où ils atterrissent pour les beaux yeux d’une fille draguée à Paris. Attachant et rassembleur.
La Croix
De cette rencontre improbable naîtra une belle amitié et c’est bien là tout la magie d’À l’abordage, porté par une troupe de comédiens débutants formidables : assurer qu’au-delà des différences sociales, culturelles ou politiques, les grands adolescents partagent au final les mêmes aspirations (...).
La Septième Obsession
Un film plein de grâce, d'une douceur infinie.
Le Journal du Dimanche
Un petit bijou en forme de comédie estivale qui s'amuse des différences sociales sans céder à la démagogie ou à la caricature. Aux discours appuyés, le réalisateur a le bon goût de préférer l'humour et la tendresse.
Le Monde
Guillaume Brac nous parle d'un pays lointain dont on se dit qu'il pourrait être le nôtre.
Le Parisien
Cette chronique sur le désir, les amours pas toujours réciproques et le choc de cultures est portée par un humour plein de tendresse et de jeunes comédiens au jeu très naturel.
Les Echos
Ce film original et profond révèle plusieurs jeunes acteurs prometteurs.
Les Fiches du Cinéma
On ne sait, face à cette comédie solaire, s’il faut louer d’abord l’excellence de l’interprétation, la qualité d’écriture, ou l’élégance de la mise en scène. Peu importe, tout y est !
Les Inrockuptibles
Dans A l’Abordage, les appartenances sociales des personnages tendent à s’estomper au contact de l’eau et du soleil sans tout à fait jamais disparaître, condamnées à ressurgir subrepticement.
Libération
Le cinéaste Guillaume Brac signe un nouveau très beau film d’été qui semble clore un cycle, celui des espoirs déçus et des amours de saison.
Marianne
Une comédie estivale délicieuse.
Marie Claire
[Un] pic de bonheur solaire.
Ouest France
La fiction retrace, par petites touches pleines de justesse et délicatesse, les tribulations de ce trio qui va explorer la carte du Tendre mais pas que : la jeune fille, objet de toutes les attentions, accueille plutôt bien son prétendant, avant de jouer les capricieuses.
Positif
[Un] feel-good estival, sorte de variation sur son moyen métrage fondateur, "Un monde sans femmes" (2011).
Première
Brac n’est pas Kechiche, il ne cherche pas à sonder jusqu’à épuisement la fièvre qui régit les corps entre eux. Il est plus chaste, c’est un observateur qui intervient très peu.
Critikat.com
Guillaume Brac signe un beau récit de vacances, généreux, sensible, mais socialement très naïf.
aVoir-aLire.com
Guillaume Brac tente d’échapper aux influences Rohmer/Rozier, mais son cinéma y revient ostensiblement, pour n’en garder que les apparences. Globalement ennuyeux, finalement assez vain.