un film anarchiste qui ne peut plaire qu'à ceux qui adhèrent à ces idées , mais en fermant les yeux car le film est le meilleur navet de l'année , très mal filmé je suis sûr que des amateurs font mieux avec leurs portables, des images volontairement "tremblées"qui rend la lecture désagréable ,et surtout filmé en permanence dans un entrepôt , pas une image de paysage , c'est glauque au mauvais sens du terme , il y aussi un mort dans l'histoire qui rend le film dramatique mais pas aux yeux de tous, c'est prétexte à faire rire ( pour la photo de groupe dans l'histoire ) , si c'est pour une ambiance à la HARAKIRI c'est raté .l'idée d'une société meilleure avec des idées gauchistes de base très anarchiste , c'est une utopie qu'on nous ressert en réchauffé ,le problème c'est les propos du réalisateur en fin de séance qui déclare que il balancerait bien des pavés sur des flics mais qu'il se retient de peur d'aller en prison ,comme beaucoup il a oublié que les policiers sont garants de notre sécurité et c'est aussi des pères de familles ,le discourt est violent et va l'encontre de valeurs ,il se réjouit aussi de la possibilité d'avoir près de 40 procès pour toute sorte de diffamation , mais que cela lui ferait de la publicité ,donc il est tranquille de ce côté là .Devant ce film ennuyeux qui est tout simplement opportuniste FUYEZ
Ça fait du bien de rêver! Cette fable jubilatoire n'a pas de prétention à la réalité, mais nous permet pendant une heure et demie de rire aux déboires de ces hommes autrefois puissants et aussi égoīstes que satisfaits d'eux-mêmes. La bande de libertaires qui les met au boulot reste finalement assez bienveillante, malgré l'imposition d'une rude discipline (boulets aux pieds pendant les heures de travail et course à pied pour se maintenir en forme). Un film à petits moyens, mais qui vaut bien de jouer dans la cour des grands.
Un film engagé qui oeuvre pour réveiller l'engagement politique des spectateurs ; Une fiction qui propose une sortie de crise actuelle, elle, bien réelle.
Une fable bien menée, qui pose la question de la violence dans toute sa complexité…entre la violence du système capitaliste, violence sournoise et destructrice des êtres humains et de la planète, violence le plus souvent "légale" , mais pas toujours(!) et la violence de celles et ceux qui se lèvent pour tenter de renverser la table, laquelle fait le plus de mal, de dégâts, laquelle nous place au bord de l'extinction ? Un film qui nous oblige à regarder les choses en face, à voir absolument !
Basta Capital, un film de Pierre Zellner, Produit par Les Films du pavé Un petit ovni, actuellement en avant premières, porte sur l'écran un film, impertinent et vif. Suite au décès d'un militant à Bure, un groupe d'activistes décide de capturer des représentants du CAC 40, réunis à Paris. Pour faire pression sur Macron, afin d'en finir avec le capitalisme. Chose faite, les prisonniers doivent vivre pendant un an dans le dénuement et le travail. Un courrier est envoyé à Macron pour diffusion à la télévision et pour organiser un référendum. La prestation de Macron à la télévision est un moment d'anthologie. Ce film militant bénéficiant d'un budget participatif et d'acteurs bénévoles est aussi du cinéma : rebondissements, tension des relations humaines, art du cadrage, l'ensemble donne une saveur certaine au film. Le coup de théâtre de la fin nous laisse dans l'ambiguité du devenir de la société française, voire du monde. Un film qui provoque le débat. Niurka Règle