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Hektorpekor
1 critique
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0,5
Publiée le 29 novembre 2020
Un film opportuniste qui ne tient que grâce à son sujet… La mise en scène et l'interpretation sont de plus plombées par cette volonté d'entretenir l'ambiguité entre doc et fiction, même si certains détails cocasses sauvent un peu l'ensemble…
Un scenario complètement irréaliste et délirant. En admettant le kidnapping comme possible, au premier appel téléphonique le lieu aurait été géolocalisé. Au fur et à mesure que l'histoire avance le délire augmente. Bref comment perdre une soirée.
J'ai pu le voir en avant-première j'ai vraiment beaucoup ri, c'est un film qui fait du bien et qui donne envie de continuer à se battre pour un monde un peu plus censé !
Ça fait du bien de rêver! Cette fable jubilatoire n'a pas de prétention à la réalité, mais nous permet pendant une heure et demie de rire aux déboires de ces hommes autrefois puissants et aussi égoīstes que satisfaits d'eux-mêmes. La bande de libertaires qui les met au boulot reste finalement assez bienveillante, malgré l'imposition d'une rude discipline (boulets aux pieds pendant les heures de travail et course à pied pour se maintenir en forme). Un film à petits moyens, mais qui vaut bien de jouer dans la cour des grands.
Basta has an imaginative script that takes seriously the instincts that many of us have--that of soaking the rich and punishing the most greedy capitalists--without removing itself from a serious political analysis. In particular, Macron's first televised speech after the "coup" and the fake cable news debate are delightful, serious, and worth watching again and again. Beyond the script, the movie has a French artisan touch--the acting, the set,spoiler: and the cartoon at the end all show that a talented crew made a very special piece of art. Bravo
Basta Capital, un film de Pierre Zellner, Produit par Les Films du pavé Un petit ovni, actuellement en avant premières, porte sur l'écran un film, impertinent et vif. Suite au décès d'un militant à Bure, un groupe d'activistes décide de capturer des représentants du CAC 40, réunis à Paris. Pour faire pression sur Macron, afin d'en finir avec le capitalisme. Chose faite, les prisonniers doivent vivre pendant un an dans le dénuement et le travail. Un courrier est envoyé à Macron pour diffusion à la télévision et pour organiser un référendum. La prestation de Macron à la télévision est un moment d'anthologie. Ce film militant bénéficiant d'un budget participatif et d'acteurs bénévoles est aussi du cinéma : rebondissements, tension des relations humaines, art du cadrage, l'ensemble donne une saveur certaine au film. Le coup de théâtre de la fin nous laisse dans l'ambiguité du devenir de la société française, voire du monde. Un film qui provoque le débat. Niurka Règle
J´ai rarement vu un film aussi abject et pourtant, je suis loin de porter les idées capitalistes dans mon coeur. Mais ce qui nous est donné ici à voir est tout simplement à dégueuler. Nous voici en présence de crapauds qui veulent se faire aussi gros que les boeufs du CAC 40. Ils reproduisent avec une jouissance non dissimulée les mêmes schémas de domination et d'humiliation qu'ils leur reprochent et deviennent tout simplement des tortionnaires. On en vient à prendre leurs victimes en pitié. S'ils veulent changer le système, qu'ils en créent un nouveau, sans reproduire les mêmes schémas de domination qu'ils réprouvent. Le message du film n'est pas clair, la perspective de changement inexistante, so what?