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Un visiteur
4,0
Publiée le 4 août 2007
une histoire maintes et maintes fois reprise et c'est là le plaisir de voir l'original car ils nous dispensent de beaucoup de bavardage dans les autres films et les situations sont plus drôle. Audrey Hepburn est parfaite et l'on sent que Gregory Peck a eu plaisir a tourné ce film.
Ces vacances romaines sont un peu suranées, un peu désuettes, dans une Rome d'antan avec une Audrey Hepburn toujours aussi fragile et un Grégory Peck bien planté, tout droit dans ses bottes de journaliste et qui pourtant va plier ! Cependant, on en redemande toujours de ces chevauchées en Vespa, de ces escapades nocturnes, de ces histoires d'amour, même si elles se terminent mal, vague à l'âme ! Rome, Roma, porte 25, Joyce, gate 25, get it ?
Deux bijous dans ce film : Rome et Audrey Hepburn. La beauté de Rome est parfaitement restituée à l'écran, illuminé par la pétillante Audrey, qui interprète (presque) son propre rôle : celui d'une princesse. La scène de la "Bouche de la Vérité" est hilarante !
C'est un très beau film. gregory peck et Audrey hepburn sont définitivement des figures incontournables de l'âge d'or hollywoodien, et nous le prouvent une fois de plus.
Cette escapade hors du quotidien ne vous laissera pas indifférents! Audrey Hepburn est très désirable dans ce film. Son interprétation de princesse avide de liberté vous charmera sans aucun doute.
Alors oui, ça a beaucoup vieilli si vous voulez savoir. Le film démarre plutôt lentement et Wyler, tout grand cinéaste qu'il fut, n'est ni Hawks, ni Wylder, ni Lubitsch quand il s'agit de comédie romantique (où le rythme est primordial). De plus, Rome (que je connais bien) est un réduite à son aspect carte postale. Mais une fois lancé, ce film garde un charme certain. Le tandem Hepburn-Peck est litteralement magique et Eddie Albert est excellent (comme souvent d'ailleurs). Et Wyler (plus à l'aise dans le domaine dramatique) nous evite le hapy-end hollywoodien de circonstance en faveur d'une fin douce-amère bien plus interéssante.
1953. Époque déjà lointaine où les jeunes filles avaient les cheveux tirés en arrière et couvraient leur taille si fine de robes à fleurs démesurément longues !
La princesse Anna (A. Hepburn) na pas failli à la règle pour cette mode dalors. Lassée dun protocole de cour et à la manière de Cendrillon, elle sautorise une escapade sur dautres voies non plus royales, mais romaines. La rencontre avec Joe Bradley (G. Peck) sachemine sur une romance gentillette, ce prince charmant désargenté navoue pas son emploi de journaliste, nayant dautre richesse que ses amis. Ici le carrosse se nomme : Vespa, et promène ce couple autant attiré lun envers lautre que par les beautés de la capitale italienne. Un Figaro local contribuera par son talent à donner à la princesse un nouveau look pour cette demoiselle des fifties.
Restera pour les années futures, une réalisation cinématographique marquée par les oscars reçus. La ville de Rome aura prêté ses studios Cinecitta ainsi que son qualificatif déternelle à cette histoire damour pour le cinéma. Cest par ce film que lauteur de ces lignes aura découvert le 7ème art.