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    L'Homme des vallées perdues
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    this is my movies
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    700 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2016
    Si le film demeure encore aujourd'hui un classique, c'est avant tout parce qu'il a fait des petits parmi les plus représentant du genre (Leone, Peckinpah et Eastwood) qui ont tous été fortement influencés et/ou marqués par ce western classique. Cette pureté formelle et idéologique s'accompagne toutefois d'une reconstitution soignée mais aussi incroyablement viscérale, tant au niveau des costumes (élimés), des décors (dépouillés) voire des coutumes du Far West mais aussi avec une représentation assez frontale de la violence. Si A. Ladd n'a pas un charisme intense et que son interprétation est assez fade, il est bien épaulé et l'arrivée du bad guy (J. Palance, dont la silhouette inspirera le "Phil Defer" de Morris) équilibre les choses. C'est donc un film vu à travers les yeux d'un enfant de 10 ans (ce qui en explique la naïveté parfois touchante) mais ce point de vue permet différentes lectures du film, un western parfois très sombre et qui présente certains personnages assez ambigus qui évolueront parfois dans des directions surprenantes. La mise en scène de G. Stevens met en valeur les paysages et il iconise à merveille son personnage principal, véritable incarnation du héros justicier au passé trouble, surgit de nul part pour aider les gens honnêtes. Une matrice du western aux résonances multiples et qui s'avère donc indispensable pour tous les fans du genre. D'autres critiques sur
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 avril 2021
    Œuvre d’un très grand classicisme, L’Homme des vallées perdues (Shane en V.O.) est un western qui a assez mal vieilli. Si son récit a laissé une certaine trace dans le cinéma américain comme le prouve des films comme Pale Rider, le cavalier solitaire de Clint Eastwood spoiler: (on y retrouve le thème du cavalier issu de nulle part venu aider une famille qu’on tente d’exproprier et le rapport de l’enfant à ce héros se retrouvera dans celui de la jeune fille amoureuse du Pasteur allant même jusqu’à reproduire plus ou moins la séquence finale)
    ou Cavale sans issue de Robert Harmon (qui se présentait comme un remake moderne du film de George Stevens), son traitement est extrêmement bavard et peut provoquer aujourd’hui un peu d'ennui. Les fanatiques de western classique pourront y trouver un certain plaisir mais la majorité du public du XXIème siècle risquera de trouver L’Homme des vallées perdues comme étant une œuvre assez démodée et soporifique.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    273 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2022
    Avec un schéma narratif qui sera repris jusqu'à plus soif par presque tous ceux qui se coltineront au western dans les cinquante années qui suivront, cet Homme des Vallées Perdues (encore un épatant titre français...) joue une partition assez intelligente sur le virilisme à l'américaine et la hiérarchie sociale, offrant à Alan Ladd (parmi d'autres) un rôle de choix, sans oublier l'une des premières apparitions à l'écran de l'inquiétant Jack Palance. Il y a bien un peu de naïveté et quelques facilités dans tout cela, mais la mise en scène est par moments épatante de dynamisme (des scènes de bagarre formidablement gérées).
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Parmi tous les westerns classiques, presque aucun n'a traité de la relation entre l'adulte et l'enfant. C'est l'occasion que saisit Stevens pour parler de ce thème et des influences mutuelles entre Ladd et De Wilde. L'un est désabusé et l'autre envieux et voulant devenir le meilleur tireur. Le petit garçon est alors le témoin des évènements, découvrant alors le vrai monde auquel il est confronté, dans lequel les adultes luttent en vain. L'enfant étant le plus proche du héros, Stevens a aussi ajouté à cette symbolique le chien, meilleur ami de l'homme, prêt à suivre le petit garçon accompagnant son idole. Pour approcher de plus près à cette identification, Stevens a adopté à sa caméra une position particulière : en effet la totalité des plans sont filmés à taille d'enfant, exposant les physionomies complètes et privilégiant à fond la perspective. A certaines occasions, la caméra semble se glisser dans le décor pour capturer discrètement les images. Il n y a pas de miévrerie dans ce film, pourtant le décor et les personnages pouvaient l'inviter : des méchants manichéens ( superbe et impressionnante interprétation de Palance ), une famille opprimée, une musique typiquement hollywoodienne... Le film garde une maturité et une solidité excellente. En témoignent les séquences de bagarre, qui exploitent au maximum la tension par leur mise en scène parfaite.
    yannick R.
    yannick R.

    106 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2018
    Un super western avec un grand Alan Ladd, tout en intériorité dans le rôle de Shane, héros complexe renonçant à l'amour, venu de nulle part et y retournant à la fin et un Jack Palance parfait en tueur inquiétant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 juillet 2014
    Pour mon deuxième western, j'ai mis la main sur "L'homme des vallées perdues" (1953), film réputé mythique et dont l'aura n'est plus à démentir. Eh bien, j'en suis ressorti agréablement surpris après ma pseudo-déception de "La rivière rouge" avec John Wayne.
    Tout d'abord, il faut préciser que George Stevens adapte le roman à succès de Jack Schaefer intitulé "Shane". Grâce à "Shane"/"L'homme des vallées perdues", le metteur en scène, qui était sur la pente descendante, se refait une petite place au soleil. Ses quatre derniers films sont "Géant" (avec l'inoubliable James Dean), "Le journal d'Anne Frank" (qui lui permet de renouer avec l'horreur de la guerre), "La plus grande histoire jamais contée" (en compagnie de Charlton Heston) puis "Las Vegas, un couple" (avec la reine E. Taylor). "Géant" marqua ainsi l'apogée de deux grandes figures du septième art (Stevens et Dean).
    Histoire de "L'homme des vallées perdues" : une famille de petit propriétaire s'allie à un étranger venu de nulle part (Shane) pour lutter contre le remembrement des terres. Le scénario, dans ses méandres bien rattachés entre-eux, rend un vibrant hommage aux pionniers venus s'installer dans le Wyoming. Les colons (ici, la famille) font face aux ranchers cupides et avares. Dans le rôle du grand patron, Emile Meyer (revu chez Kubrick dans "Les sentiers de la gloire") est convaincant à souhait car il défend son opinion avec âpreté et toute la rage qu'il a de vouloir gagner ce combat à tout prix. Un rôle sur-mesure qui permet justement d'asseoir le contexte social de la fin de la Guerre de Sécession. Contexte renforcé aussi par la famille qui veut garder son lopin de terre pour pouvoir survivre. Van Heflin (une figure du western des 50's : "Tomahawk", "Trois heures dix pour Yuma"...) impeccable, Jean Arthur (faisant un come-back remarqué, elle avait joué avec Capra et Hawks au tout début du parlant) parfaite et Brandon De Wilde (qu'on retrouvera dans "L'ange de la violence" de Frankenheimer), à la limite du supportable, incarnent cette famille modèle bouleversée par l'arrivée inopinée de l'étranger Shane campé à merveille par un Alan Ladd (déjà remarqué dans "Citizen kane", "Tueur à gages" et "Le dalhia bleu" !!), certes très théâtral mais qui en impose du début à la fin. Ladd, qui non seulement apporte le grain de folie mais qui reste bien terre-à-terre dans l'évolution de son personnage. Lorsqu'Emile Meyer se rend compte de la difficulté de faire déguerpir tous ces petits fermiers, il prend la décision d'engager un tueur à gage, qui n'est autre que Jack Palance (consacré, il tournera dans "Le grand couteau" d'Aldrich, "Le mépris"...). Un de ces seconds couteaux en or, inoubliable et mémorable. Une véritable trogne de vallée perdue ! Super Jack !!!
    Cette ossature (gentil-méchant-étranger-tueur à gage), bien que manichéenne dans l'ensemble, permet au western de se trouver un peu, et même plus : d'ancrer une typologie de scénario complexe dans des rapports psychologiques trouvés (fermiers vs propriétaires, un étranger un peu héros qui remplace le père, et son autre penchant avec le tueur à gage incarné brillamment par un Palance dans toute sa splendeur). Notons aussi la présence de Ben Johnson, autre vétéran du genre : "Le prisonnier du désert", "Les Cheyennes", "La horde sauvage"... !!
    De plus, ce pur produit western nous montre de superbes beaux paysages rattachés à une image en Technicolor parfaite et millimétrée du début à la fin. Très beau travail Loyal Griggs !! Présent sur "Les dix commandements" et "Du sang dans le désert" d'Anthony Mann notamment. Cette photographie, appuyée d'une musique onctueuse et moderne de Victor Young (auteur pour de grands classiques du cinéma : "Pour qui sonne le glas" avec Gary Cooper, "Rio Grande", "L'homme tranquille"...), nous met dans l'ambiance voulue par George Stevens. Le metteur en scène fait avancer son métrage, un coup dans la nuit et un coup de jour, de manière à nous imprégner de cette ambiance, nouvelle et novatrice, dans un montage parfaitement maîtrisée servant à merveille le scénario. Bingo George !!
    Dans ce western, la violence, mise au grand jour par le réalisateur, paraît aujourd'hui réductrice malgré de très beaux corps-à-corps et d'un duel final exemplaire. Tous mes chapeaux, Maître Stevens !
    Pourquoi je considère "Shane"/"L'homme des vallées perdues" comme un western mythique ? Pour toutes les raisons invoqués ci-dessus, mais aussi car il s'agit d'une première dans l'histoire du western : des codes, dans l'idée, sont balancés, et seront repris par les plus grands ensuite. Premier exemple : Shane arrivant mystérieusement (annonciateur de "L'homme des hautes plaines") et se déplaçant au milieu de la caméra sur un plan large (préfigurant "Et pour quelques dollars de plus"). Et ce n'est pas tout. La noirceur des personnages, à commencer bien sûr par l'énigmatique Jack Palance, l'autre chasseur de primes. On ne le voit que très rarement, et pourtant, c'est son visage qu'on retient une fois le film terminé. Un peu à la Lee Van Cleef, je trouve. Je termine par le final. Énigmatique, suscitant les débats (voir sa référence dans le "Négociateur" avec Samuel L. Jackson), profondément mystérieux (on ne sait rien d'Alan Ladd, ni ses motivations à rester avec la famille), ce nouveau genre de cowboy s'en va en laissant ses règles dans un Far West dépassé par les événements. Un nouveau type de personnage est dessiné par Maître Stevens nous montrant l'aura sur lequel repose encore le film, 64 ans encore après sa sortie ! Si ça, ça n'est pas du mythique... !
    L'un des tous meilleurs western de l'histoire du septième art. Une œuvre à part entière, assurément !
    Spectateurs, envoûtons nous...
    A noter : le rôle de Jack Palance permis à Morris et Goscinny de créer l'un des méchants de la saga "Lucky Luke", Phil Defer.
    videoman29
    videoman29

    244 abonnés 1 832 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2018
    « L'homme des vallées perdues » est un western de construction un peu trop classique, tourné en 1952 par le réalisateur George Stevens (« Géant », « Le journal d'Anne Frank »). Apparemment, ce film a rencontré un immense succès aux États-Unis... mais n'a jamais réellement trouvé sa place sur les grands écrans Européens. La faute, sans doute, à son incroyable manque de réalisme. On ne croit pas une seconde à cette histoire de justicier, trop « beau gosse » pour être honnête et qui arrive à point nommé pour sauver une bande de fermiers d'un vilain éleveur sans scrupule. L'ensemble est tellement manichéen qu'on a parfois l'impression de regarder un épisode de « La petite maison dans la prairie »... Je n'ai rien contre cette adorable vieille série mais c'est un peu juste pour faire un western de qualité. Dommage !
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 649 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2023
    George Stevens, a de mon point de vue realise trois films de premier ordre dont " une place au soleil" et " geant" ses deux chefs d'oeuvre. " Shane", " l'homme des vallees perdues" ( titre sous lequel il est distribue en France) est considere par W Allen comme son film americain prefere.

    C'est le scenario qui constitue sa partie la plus reussie ( un homme venu de nulle part prend fait et cause pour un groupe de fermiers sous le regard d'un enfant).

    La photo n'est pas a la hauteur, les decors sont minimalistes et le casting est domine par Alan Ladd ( qui considerait " shane" comme son film prefere) Van Heifling ici dans une de ses meilleures prestations.

    Le personnage de Shane est le pere ideal, sublime par cet enfant qui apprend la vie par cet exemple de droiture et de loyaute. Heros presque christique, il inspirera bon nombre de films tres connus ( notamment de certains westerns de Clint eastwood).

    " shane" est moins apprecie en france qu'aux usa, mais il reste neammoins un classique du cinema du patrimoine qu'aucun aficionado ne laissera passer.

    Pour la petite histoire, Ladd une fois sa carriere derriere lui sombrera dans l'alcool et decedera prematurement a l'instar de l'acteur intetpretant l'enfant ( deces a trente ans dans un accident de voiture).
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2018
    Prototype du western au héros solitaire et mystérieux défendant la veuve et l'orphelin, qui inspira notamment Clint Eastwood pour son Pale rider, L'homme des vallées perdues est un film de grande qualité, souvent considéré comme l'un des chefs-d'œuvre du genre. Dans cette histoire où la psychologie individuelle des protagonistes a toute sa place, les acteurs sont tous excellents, le terrifiant Jack Palance (dans un rôle pourtant relativement secondaire) en tête. La musique de Victor Young est très belle.
    Tietie008
    Tietie008

    24 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2021
    Un classique du western, avec un mystérieux voyageur, Alan Ladd, qui va se faire le défenseur de petits fermiers en prise avec un gros propriétaire terrien. A noter que le tueur, joué par Jack Palance, fit date et que le jeune Jackie, joué par Brandon de Wilde, vit en Shane un père de substitution !
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 août 2018
    Un chef d'oeuvre. Un classique. Un grand western. Un magnifique film. La beauté du far west . Un petit bijou.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 novembre 2023
    L'affiche de Shane n'attire guère. Et pourtant ce western a de vrai qualité et se détache un peu des classiques d'un genre qui est encore à son sommet de popularité. Par son aspect psychologique, le film se démarque du western classique, bien que sur la forme, la mise en scène ne révolutionne rien. Cette figure d'un étranger au passé trouble qui va décider de venir en aide aux paysans opprimés était également novatrice, et sera largement reprise par Leone, Eastwood, Siegel... Dans un style plus marqué et sombre. George Stevens propose tout de même un film intéressant et assez important dans le genre.
    Guillaume182
    Guillaume182

    130 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2014
    Un film réputé mythique et que certains n'hésite pas à décrire comme le plus grand western de tous les temps, ça vous met la puce à l'oreille.

    Dés le début, pourtant il y a des défauts qui frappent aux yeux et aux oreilles, oui, oui.

    Trop de couleurs fortes, trop de musiques et un scénario assez prévisible, au final.

    Une narration qui tourne un peu en rond au bout d'un moment et puis les décors studios sont vraiment trop évidents.

    Tout ça pour un résultat un peu kitsch.

    Cela dit, le film se laisse apprécier, nous redécouvrons une certaine Amérique, celle des pionniers avec son lot de fermier, de gentils et méchants cowboys.

    La vie des hommes dans un pays qui se livre à eux.

    Et une jolie petite histoire: Un Cowboy solitaire vient en aide à une famille de fermier harceler par un grand propriétaire. Le cowboy se lie d'amitié avec le fils du fermier...

    C'est touchant.

    Un bon western.
    Housecoat
    Housecoat

    121 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2018
    Western légendaire de l'âge d'or d'Hollywood, L'Homme des vallées perdues est iconique pour son attention porté sur les populations justes qui formeront l'Amérique d'aujourd'hui par leur ténacité et leur solidarité à protéger leur terre face à un exploitant sans scrupule. Le héros, Shane, incarné avec charisme par Alan Ladd, donne son titre au film mais n'est que témoin des événements. Il concourra pour le même idéal que les fermiers qui n'aspirent qu'à une vie tranquille dans la vallée, valorisé par George Stevens par l'effort, la prise de position et les choix justes qui seront déterminants dans l'avenir de la terre nouvelle que deviendra les Etats-Unis. Enseignant judicieusement les valeurs à garder, c'est l'individu sans avenir qui n'aura rien à perdre et rien à gagner qui devra prendre les responsabilités douloureuses sur lui tel un héros messianique pour permettre aux justes de continuer sur leur voie. Un grand western où ce sont les sacrifices et les épreuves qui font l'homme, plus que le revolver d'une époque révolue.
    chrisbal
    chrisbal

    15 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 octobre 2023
    Avec "L'homme des vallées perdues", Georges Stevens réalise un énième western sur l'opposition entre grands éleveurs et petits fermiers.
    Van Heflin tient le rôle du fermier tenace agissant pour l'honneur et pour gagner le respect de sa famille et Alan Ladd celui du cowboy solitaire à la Clint Eastwood (à moins que cela ne soit l'inverse...) venant en aide à ce dernier, tandis que Ben Johnson, qui fait le méchant comme souvent, est cette fois-ci détrôné par Jack Palance qui décroche la palme du tueur sans scrupule (les 2 étant à la solde du redoutable Ryker).
    C'est Brandon De Wilde qui observe tout ce beau monde avec la naïveté de son jeune âge, appuyant encore un peu plus le côté manichéen du propos.
    Les scènes de bagarre sont musclées (on a presqu'un avant goût du duo Terence Hill et Bud Spencer dans le saloon), les duels sont bien mis en scène et la photographie, oscarisée, assure le spectacle, compensant une certaine faiblesse du scénario (et même par moment un certain manque de rythme).
    Enfin, pour la petite histoire, le personnage interprété par Elisha Cook Jr est doublé en français par Louis De Funès : marrant!
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