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Hugo LOPEZ
3 critiques
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1,0
Publiée le 29 mars 2022
On rentre très facilement dans le film et dans le vif du sujet. Très vite, on se pose beaucoup de questions. Malheureusement ce potentiel n’est pas du tout exploité, il n’y a aucune surprise, aucun rebondissement. Le film aurait pu durer 5h. On tourne en rond du début à la fin... Aucun intérêt
Film psychologique, qui nous montre différentes facettes de la personnalité de l'espèce humaine et de la manipulation. Suspens et beau jeu des acteurs, belle danse d'émotions. J'ai adoré
Il faut de tous pour faire un monde, J'ai été pris par la jalousie et la colère en première partie à cause de Melinda, puis l'incompréhension à cause Vic. Je m'attendais à un autre final par contre mais j'ai adorer.
J'ai trouvé ce film assez "immersif", je ne me suis pas ennuyé, et l'histoire m'a plu.
Toutefois, il y a des passages que je trouve "inutiles" ou qui auraient pu être travaillés différemment afin d'accentuer le dénouement de l'histoire.
Il y a aussi des "simplicités scénaristiques" spoiler: (le porte-feuille planqué avec les escargots, ou encore l'accident de voiture dans la forêt à la fin) , je trouve ça trop simple, mais c'est aussi ce qui permet de mettre un point final au film de manière brutale (ce qui ne me deplaît pas), donc là dessus, chacun son avis.
Les acteurs (Ben Affleck et Ana de Armas) sont je trouve des acteurs de qualité.
Des longueurs certes, mais pas déçue du jeu de ces 2 têtes d'affiche, grandioses et noirs, un amour impossible , mais un amour tout de même, qui ne vous laisse pas indifférent.
Adrian Lyne a sûrement été cryogénisé pendant 20 ans, car il propose toujours la même chose que ce qui a fait son succès dans les années 90. Le scénario fortement improbable nous fait osciller entre grotesque et ennui. L'interprétation sauve un peu l'ensemble : son rôle permet à Ben Affleck de convaincre malgré un jeu monolithique (son personnage est supposé être insensible, cartésien à tendance psychopathe), Ana de Armas est convaincante et sexy même s'il est difficile de trouver des circonstances atténuantes à son personnage de nymphomane égocentrique. Distrayant mais datant d'un autre siècle...