Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Eaux profondes tire sa beauté mortifère du fait qu’il n’est plus que la trace ou l’écho assourdi d’un rêve lointain. Ne renvoyant que les reflets d’un monde en forme de mirage nauséeux et les images mortes d’une esthétique réduite à une poignée de signaux et de motifs archaïques le film tire de son anachronie même son plus beau mouvement : celui d’un cauchemar immobile et d’une œuvre tout entière rendue à sa part de ténèbres.
Le Figaro
par Constance Jamet
Maître du thriller érotique, Adrian Lyne revient avec cette adaptation clinique et inégale de Patricia Highsmith.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Mad Movies
par Vincent Malausa
Eaux profondes ne cherche en rien à singer les tics de son époque, mais vaut plutôt comme beau film de fantômes et chant du crépuscule pour son auteur. C'est dans sa dimension entêtante et dans l'inertie même de son mouvement - qui donne l'impression que le récit ne commence jamais vraiment, et qu'il n'a pas vraiment de fin - que le film puise sa part de noire séduction.
Première
par Frédéric Foubert
Ça n’empêche pas Eaux profondes, comme Infidèle avant lui, de s’égarer dans des péripéties parfois tellement outrées qu’elles en deviennent grotesques, en particulier dans un dernier quart d’heure en roue libre. Mais la véritable attraction du film, ce sont ses deux têtes d’affiche, phénoménales.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Émilie Leoni
Ben Affeck et Ana de Armas livrent une partition troublante dans ce thriller érotique tiré du roman de Patricia Highsmith et ponctué de longueurs regrettables.
Ecran Large
par Simon Riaux
Eaux Profondes flirte avec l'auto-parodie, et nous assène de si vigoureux gags involontaires que son potentiel de revisionnage ne doit pas être sous-estimé. Mais hélas, son scénario bien trop long, et la mise en scène en déroute de son réalisateur l'alourdissent trop pour ne pas assommer.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Renaud Baronian
Inversant les rôles par rapport au film de Deville, et face à un Ben Affleck qui semble un peu perdu, c’est elle qui incarne la folle ambiguïté du roman. Dommage que le film, à la traîne de sa prestation, n’atteigne jamais son niveau d’excellence…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Lyne tricote une intrigue exactement comme si depuis les nineties, le monde n’avait pas changé, le couple hétéronormé ne s’était pas remis en cause et les gens ne possédaient pas d’ordinateur chez eux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Adrian Lyne (Liaison fatale, 9 semaines 1/2) peine à instiller du mystère dans ce thriller psychologique, hélas plus plat et cousu de fil blanc que sulfureux.
Critikat.com
par Corentin Lê
Les velléités de Lyne ne paraissent pas tout à fait adaptées aux caractéristiques de Ben Affleck, acteur-gastéropode dont l’imposante stature fait de ce thriller érotique un film sans tension ni érotisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
LCI
par Delphine De Freitas
Pour sa première réalisation en 20 ans, Adrian Lyne signe un film faussement sulfureux qui peine à garder la tête hors de l’eau. Mais aura au moins évité le naufrage en salles.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Cahiers du Cinéma
Eaux profondes tire sa beauté mortifère du fait qu’il n’est plus que la trace ou l’écho assourdi d’un rêve lointain. Ne renvoyant que les reflets d’un monde en forme de mirage nauséeux et les images mortes d’une esthétique réduite à une poignée de signaux et de motifs archaïques le film tire de son anachronie même son plus beau mouvement : celui d’un cauchemar immobile et d’une œuvre tout entière rendue à sa part de ténèbres.
Le Figaro
Maître du thriller érotique, Adrian Lyne revient avec cette adaptation clinique et inégale de Patricia Highsmith.
Mad Movies
Eaux profondes ne cherche en rien à singer les tics de son époque, mais vaut plutôt comme beau film de fantômes et chant du crépuscule pour son auteur. C'est dans sa dimension entêtante et dans l'inertie même de son mouvement - qui donne l'impression que le récit ne commence jamais vraiment, et qu'il n'a pas vraiment de fin - que le film puise sa part de noire séduction.
Première
Ça n’empêche pas Eaux profondes, comme Infidèle avant lui, de s’égarer dans des péripéties parfois tellement outrées qu’elles en deviennent grotesques, en particulier dans un dernier quart d’heure en roue libre. Mais la véritable attraction du film, ce sont ses deux têtes d’affiche, phénoménales.
Télé Loisirs
Ben Affeck et Ana de Armas livrent une partition troublante dans ce thriller érotique tiré du roman de Patricia Highsmith et ponctué de longueurs regrettables.
Ecran Large
Eaux Profondes flirte avec l'auto-parodie, et nous assène de si vigoureux gags involontaires que son potentiel de revisionnage ne doit pas être sous-estimé. Mais hélas, son scénario bien trop long, et la mise en scène en déroute de son réalisateur l'alourdissent trop pour ne pas assommer.
Le Parisien
Inversant les rôles par rapport au film de Deville, et face à un Ben Affleck qui semble un peu perdu, c’est elle qui incarne la folle ambiguïté du roman. Dommage que le film, à la traîne de sa prestation, n’atteigne jamais son niveau d’excellence…
Les Inrockuptibles
Lyne tricote une intrigue exactement comme si depuis les nineties, le monde n’avait pas changé, le couple hétéronormé ne s’était pas remis en cause et les gens ne possédaient pas d’ordinateur chez eux.
Télé 7 Jours
Adrian Lyne (Liaison fatale, 9 semaines 1/2) peine à instiller du mystère dans ce thriller psychologique, hélas plus plat et cousu de fil blanc que sulfureux.
Critikat.com
Les velléités de Lyne ne paraissent pas tout à fait adaptées aux caractéristiques de Ben Affleck, acteur-gastéropode dont l’imposante stature fait de ce thriller érotique un film sans tension ni érotisme.
LCI
Pour sa première réalisation en 20 ans, Adrian Lyne signe un film faussement sulfureux qui peine à garder la tête hors de l’eau. Mais aura au moins évité le naufrage en salles.