Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Music (...) nous fonce dessus comme un astre sorti de son orbite, avec sa géographie instable, sa temporalité semée de gouffres, son opacité signifiante, ses clartés aveuglantes, sa parole raréfiée et sa fiction hors de toute rhétorique narrative.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Dans Music, Angela Schanelec va encore plus loin dans l’ellipse, un art qu’elle a déployé dans ses précédents longs-métrages. Plutôt que de résumer le drame, un exercice qui serait vain, il est plus stimulant d’en déceler les pistes, nombreuses, qui s’offrent au spectateur, ouvrant l’imaginaire et nous invitant à profiter du spectacle de chaque plan.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Angela Schanelec adapte Œdipe roi dans une version très libre de la tragédie grecque. La distance est telle, et la mise en scène si brouillonne, qu’il est difficile d’en reconnaitre l’histoire, mais aussi de comprendre quelles étaient ses intentions.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le film n’est pas que contemplation, il entend nous faire réentendre la part fatidique des vies entrechoquées, emportées par une notion qui ne nous est plus très familière, le destin, dès lors que nous ne croyons plus que des dieux ou démons en animent les réactions en chaîne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Angela Schanelec cherche à élaborer un nouveau langage cinématographique, à briser les règles de la narration par des ellipses brutales, comme si on assistait à un concert de musique sérielle.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La caméra dessine des espaces de jeu et de corps qui suggèrent le drame sans verser dans la morale culpabilisatrice. C’est d’une beauté froide, parfois théorique, mais c’est du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Pur film de festival, savourant sa distance avec le commun des spectateurs, Music épate autant qu’il agace.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
La réalisatrice allemande de Nachmittag, d’habitude talentueuse, signe là un film bien trop allusif. À part deux morceaux chantés par Aliocha Schneider (le frère de Niels) sur une belle musique triste de Doug Tielli, rien ne se détache.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Music (...) nous fonce dessus comme un astre sorti de son orbite, avec sa géographie instable, sa temporalité semée de gouffres, son opacité signifiante, ses clartés aveuglantes, sa parole raréfiée et sa fiction hors de toute rhétorique narrative.
Le Monde
Dans Music, Angela Schanelec va encore plus loin dans l’ellipse, un art qu’elle a déployé dans ses précédents longs-métrages. Plutôt que de résumer le drame, un exercice qui serait vain, il est plus stimulant d’en déceler les pistes, nombreuses, qui s’offrent au spectateur, ouvrant l’imaginaire et nous invitant à profiter du spectacle de chaque plan.
Les Fiches du Cinéma
Angela Schanelec adapte Œdipe roi dans une version très libre de la tragédie grecque. La distance est telle, et la mise en scène si brouillonne, qu’il est difficile d’en reconnaitre l’histoire, mais aussi de comprendre quelles étaient ses intentions.
Libération
Le film n’est pas que contemplation, il entend nous faire réentendre la part fatidique des vies entrechoquées, emportées par une notion qui ne nous est plus très familière, le destin, dès lors que nous ne croyons plus que des dieux ou démons en animent les réactions en chaîne.
Paris Match
Angela Schanelec cherche à élaborer un nouveau langage cinématographique, à briser les règles de la narration par des ellipses brutales, comme si on assistait à un concert de musique sérielle.
L'Obs
La caméra dessine des espaces de jeu et de corps qui suggèrent le drame sans verser dans la morale culpabilisatrice. C’est d’une beauté froide, parfois théorique, mais c’est du cinéma.
Première
Pur film de festival, savourant sa distance avec le commun des spectateurs, Music épate autant qu’il agace.
Télérama
La réalisatrice allemande de Nachmittag, d’habitude talentueuse, signe là un film bien trop allusif. À part deux morceaux chantés par Aliocha Schneider (le frère de Niels) sur une belle musique triste de Doug Tielli, rien ne se détache.