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Pierre C.
15 abonnés
138 critiques
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4,0
Publiée le 14 juin 2023
Don’t worry dude, that’s a quite good movie you’re going to watch. Un épisode de Black Mirror version longue et avec un beau casting, et en un peu moins dark. Scénario amusant, presque déjà vu. A la Stepford wives version remixé. Les visions de madame sont parfois troublantes et effrayantes ce qui contraste avec le beau monde qui nous est présenté. Un bon film qui fait rêver ou cauchemarder.
Tout partait bien. Je m’apprêtais à découvrir une intrigue passionnante qui me captait de plus en plus. La lumière, la photo, les décors, les costumes, les personnages, tout éclatait de mille couleurs vintage. Le malaise avançait à petit pas de velours, je pressentais l’anguille sous roche dans ce monde qui se revendiquait trop parfait avec ce gourou troublant en la personne de Frank (Chris Pine). Tout comme Alice, le spectateur ne savait rien des activités précises de son mari et celles des autres hommes. La rébellion semblait inéluctable pour Alice qui fouinait, qui se questionnait sans cesse. Alice au pays des illusions, enfermée dans un monde factice et totalitaire. Bref, le film dégage une belle énergie.
Puis vient la bascule qui aurait pu être éloquente mais malheureusement, Olivia Wilde manque son rendez-vous. Trop confus, je reste planté comme une poule qui a trouvé un couteau dans le désert ! Pas assez d’explication ou survolé ou bâclé. Le dernier quart d’heure me paraît brouillon comme s’il fallait accélérer le mouvement faute d’avoir pris trop son temps. Seules les dernières lignes sont mal écrites et contrastent avec une belle mise en page. Entendu, le propos se veut féministe. Il condamne l’aliénation de la femme sous emprise d’une machine genre Matrix, de plus à leur insu puisque ce sont les hommes - maris ou conjoints en difficultés professionnelles - qui sont à l’origine de cette aliénation. Incapables de pouvoir assumer une belle vie à leur femme, spoiler: ils les invitent dans un monde imaginaire où ils passent pour être des hommes modèles.
En soi, le sujet est abordé de façon originale, il est terrifiant à bien des égards, la copie d’Olivia Wilde était prometteuse, elle est d’une belle facture technique, artistique mais elle n’a pas su maîtriser un scénario trop périlleux qui lui échappait peu à peu. Je salue l’interprétation de Florence Pugh (Alice) qui a su me tenir captivé et qui me permet d’être indulgent dans mon appréciation.
Un fil très curieux, entre Matrix et The Truman Show, dans un monde qui dénonce.... oups je ne peux pas en dire trop, je vous laisse tourner autour de cette enigme qu'Olivia Wilde parvient à divilguer qu'à la fin.
Magnifiques scènes, bons acteurs, belle intrigue et bonne chute. Nous tient en haleine tout du long. Avec ce sentiment angoissant qui vient s'installer petit à petit.
On rêve d'habiter dans cette maison avec du mobilier et une lumière à l'esthétisme parfait, dans ce huis clos où tout est beau. Rien a dire sur la photographie. L'idée du scénario est globalement bonne, mais la réalisation du scénario manque de finesse. On ne sait pas trop où ça nous mène et la fin est bâclée. Une déception globalement malgré le très bon jeu de Florence Pugh qui ressort.
Don't Worry Darling est une sympathique découverte de mon côté. Je trouve que le film est un peu trop tapageur, on sent dès le départ que quelque chose cloche et on peut prévoir dans les grandes lignes la résolution du scénario. C'est peut être un peu trop inspiré des classiques du genre, comme Shutter Islande, Fight Club ou Matrix. Mais pour autant, le tout est fait pour laisser place à une sorte de message féministe à l'oeuvre, encourageant les femmes à se détacher de ce que veulent les hommes. Si on y ajoute les décors et l'ambiance rétro désertique, ça donne de l'identité à un film qui en manque un peu dans son style. Bref, Don't Worry Darling est un peu prévisible mais reste diablement efficace et a un message intéressant, je recommande.
Olivia Wilde passe derrière la caméra pour un thriller d’anticipation de toute classe, plongée dans une communauté des années 50 et on sent rapidement que rien ne se passe comme prévu. Intelligent avec une atmosphère prenante et un décor paradisiaque, ce thriller marque malgré quelques lourdeurs. Une belle surprise au bout du compte.
Mais qu'elle est cette secte et que se cache-t-il derrière ? Olivia Wilde, réalisatrice, nous plonge dans une ambiance de plus en plus intrigante où nous avons plein de non-dits, des apparences et comportements bizarres. Et les acteurs et actrices sont parfait dans leur rôles. Je ne m'attendais pas à voir Harry Styles et Chris Pine à ce niveau. Tant qu'à Florence Pugh qui a le rôle principal, son évolution à fur et à mesure de sa découverte de la situation, en fait une performance remarquée. Le final est en dessous, dommage.
Un thriller fantastique americain, avec une mise en scène bien faite qui nous rend le film intéressant. Malheureusement il y a également quelques incohérences et la fin n’est pas tres claire, Au final pas mal mais ca aurait pu être beaucoup mieux.
Vraiment déçue, j'avais peur du remake moderne d'une histoire déjà beaucoup filmée, eh bien dans le mille! Reste Florence Pugh, lumineuse, et une belle photo. Pour le reste, rien d'original, du mâché et remâché. Le nouveau The Stephord wives. Un peu d'originalité ferait du bien !