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    Don't Worry Darling
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    3,7
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    Miliejolie
    Miliejolie

    4 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2022
    Olivia Wilde signe une réalisation époustouflante. Pleine de clins d'œil cinématographiques (les plans zénithaux à la Almodóvar par exemple).L'esthétique est folle de précision, aussi racée qu'un Tim Burton ou un Aronofski, et le scénario est percutant. Florence Pugh et Harry Styles sont étonnants de transformation physique et j'ai vraiment apprécié leur jeu d'acteurs. Pour moi une totale réussite.
    Melanie
    Melanie

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2022
    Excellente surprise. Suspense tout le long du film. Florence Pugh est étincelante et le twist est bien maîtrisé.
    Emeline Simon
    Emeline Simon

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2022
    Florence Pugh est incroyable. Harry Styles est une belle découverte. L'histoire est brillante et très intéressante. La fin surprend. Incroyable.
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2022
    Après la lecture de deux adolescentes en quête d’un projet amoureux dans « Booksmart », Olivia Wilde quitte Netflix pour le grand écran. Son second long-métrage possède alors tous les arguments pour nous donner rendez-vous au centre d’un supposé thriller dans les années 50, garni d’un casting aussi précieux qu’original. Et à travers les tourments du projet, le film semble révéler une volonté de débattre sur la place d’une femme au centre d’une communauté, loin d’être aussi banale que dans « Midsommar ». L’actrice en tête d’affiche témoigne ainsi d’une implication remarque, juste assez pour que le récit n’agonise pas de ses multiples sabotages, car l’œuvre souffre de son concept et de sa narration, qui ne sait pas comment distiller des indices sur un lieu mystérieux ou son angoisse.

    Une fête s’ouvre sur des personnages ivres de leur condition et de leur amour. Le couple Chambers évolue dans une zone pavillonnaire, où chaque mètre carré est dupliqué, rappelant ce fameux rêve américain d’antan. Reléguons légèrement les soucis de ségrégation et il s’agit d’une modeste vie pour des hommes matinaux et des femmes qui jouissent de leur temps libre aux tâches ménagères et aux cocktails de commérages, jusqu’au retour de leur compagnon. Ces quelques minutes de routine suffisent à interpeller le spectateur, afin qu’il questionne la flamboyance de cette oasis de paix, ou presque. Quelque chose cloche inévitablement et si on a au moins été une fois confronté à ce genre de tambouille de science-fiction, « Black Mirror » et « Westwolrd » pour les séries ou « The Truman Show » et « Alice au Pays des Merveilles » pour les films, il serait vain de s’accrocher au twist qui s’annonce. Il n’est donc pas surprenant, ni subtil de nous balader en nommant son protagoniste Alice (Florence Pugh), qui a pour amie proche une certaine Bunny (Olivia Wilde).

    Sachant cela, il est compliqué de pleinement s’investir dans le parcours de l’héroïne, qu'on aura très vite fait de brosser le portrait et les limites de sa communauté, aussi toxique que sa relation avec Jack (Harry Styles), une sorte de mâle alpha, uniquement caractérisé par des scènes qui tente en vain de justifier son amour. De même, la figure christique de Frank (Chris Pine) se révèle presque hors-sujet, à force d’exister dans une voix-off qui joue la carte de l’hypnose et de la suggestion, chose que le film ne parvient jamais à s’armer pour convaincre son audience. Des jeux de miroir et d'hallucinations nous ferons alors patienter, mais le procédé est suffisamment répétitif pour qu’on lâche rapidement l’affaire. Seul le décor subsiste et pourrait résonner dans le traumatisme, qui berce Alice et sa fuite interminable, sans idée de mise en scène, à part nous donner le sentiment de vertige lorsque la caméra suit une trajectoire circulaire autour de l’héroïne, preuve que la détresse vient d’ailleurs.

    Le plastique, le synthétique et le renversement du patriarcat sont tristement survolés, tandis que l’on observe solennellement des outils factices du quotidien, qui manquent de la tuer Alice à la tâche. « Don't Worry Darling » a en cela d'intéressant, un regard moqueur sur cette nostalgie truquée du vintage et d’une tout autre époque précédente la nôtre. Cette pop culture fantasmée est une machinerie aussi grande que sa bêtise, lorsqu'elle est allègrement vampirisée avec dédain. Malheureusement, il ne s'agit que d'un axe secondaire, qui aimerait tendre vers le viscéral, mais s'écrase sous le poids de la culpabilité et celui d'une mauvaise complicité.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    348 abonnés 661 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 septembre 2022
    Extrêmement déçu par ce film qui promettait beaucoup (beau casting, belle bande annonce ) et accouche d'une histoire à dormir debout et qui fait pâle figure à côté de ses modèles "The Truman Show" et "The Stepford wives" . A ranger pas trop loin de NOPE pour le contenu très crypté sensé mettre nos neurones en éveil mais qui au final semble bien ridicule.
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 838 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2022
    "Don't worry darling" repose sur un scénario recherché où la communauté n'est pas un vain mot. Tandis que les hommes partent travailler, les femmes sont de bonnes ménagères, le tout dans une harmonie parfaire car les membres n'hésitent pas à se retrouver entre eux pour des soirées bien arrosées. Seulement, quand Alice commence à avoir des vision et qu'elle s'aventure dans le désert californien en quête de réponses, l'harmonie apparente va vite virer au règlement de compte. Olivia Wilde fait preuve d'une aisance à mélanger les genres (thriller, SF...) en s'appuyant sur l'excellente Florence Pugh (que je ne connaissais pas). Le coté kitsch des années 50 est remarquable mais le film a du mal à tenir sur la distance, la faute à trop d'incohérences. Une expérience cinématographique intéressante que je conseille quand même.
    _janoT_ l
    _janoT_ l

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2022
    Don't worry Darling est un thriller tres agréable à regarder. Il tire un peu en longueur ( une vingtaine de minutes aurait pu être retiré sans que cela change vraiment le film), mais la tension ainsi que le climax font vraiment l'affaire.Je recommande donc d'aller voir ce film et malgré les avertissements en entrée du cinéma, n'attendez pas du film qu'il fasse peur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 septembre 2022
    Ce film n’est pas si mal.
    Pour son deuxième film, Olivia Wilde nous parle d’Alice, une femme ayant une vie rêvée (elle est riche, elle a une belle maison, un mari qu’elle aime, une belle bagnole..) (dans une ville assez spéciale) dans les bonnes vieilles années rétro. Son mari part travailler dans une agence (qui n’est autre que ceux qui ont fondé cet endroit utopique).
    Mais seulement voilà, elle va commencer à devenir parano à propos de cette mystérieuse agence. En enquêtant un peu, elle va commencer à découvrir des choses.

    Ben oui. Franchement, c’était pas désagréable. Visuellement, c’est plutôt joli, et le casting, c’est quand même de la qualité !!
    La musique est pas si mal. Le film dans l’ensemble est hypnotisant, mystérieux et par moment un peu angoissant.
    C’est un petit mélange de The Truman Show et de The Stepford Wives.
    Mais bon, niveau scénario, c’est artificiel, parfois un peu lourd et même un peu étrange.
    Et puis le twist final, je pense que les fans de Black Mirror ne seront pas très surpris.

    La vraie faiblesse de ce film est le scénario. Sinon, ça se regarde volontiers. Il est pas si mal.

    La perfection a un prix..
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    178 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2022
    Don't Worry Darling ou Ne t'inquiète pas chérie Le film raconte les mésaventures d'une femme au foyer dans les 1960-1970.
    Le tournage commence le 20 octobre 2020 à Los Angeles. Il est temporairement interrompu pendant deux semaines le 4 novembre après qu'un membre de l'équipe ait été testé positif au Covid-19. Le tournage se conclut le 13 février 2021
    Lors du tournage, des dissensions apparaissent et un conflit a lieu entre Olivia Wilde et Florence Pugh
    En avril 2020, Florence Pugh, Shia LaBeouf et Chris Pine sont annoncés à la distribution du film. Dakota Johnson rejoint le casting le mois suivant. En septembre 2020, Harry Styles est annoncé au casting du film, remplaçant LaBeouf qui a prétendument abandonné le projet en raison d'un conflit d'agenda. Cependant, il est rapporté plus tard que LaBeouf a été renvoyé par Wilde en raison de son mauvais comportement et de conflits avec les acteurs et l'équipe du film, ce que l'acteur dément
    la musique est composé par john powell
    un bon film
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