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Votre avis sur Arthur the King ?
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Magnifique histoire et super bien tourné ce film est émouvant touchant et vous allez verser des larmes c’est sur 😢❤️
C'est bien mais pourquoi avoir choisit Mark Wahlberg ? J'aurais vu plein d'autres acteurs que lui jouer ce film.
C'est l'histoire de Michael Light chef d'équipe d'une équipe de course d'aventure extrême qui réunit une équipe pour la dernière fois à cause de son âge.
Sur le parcours, ils vont rencontrer un chien qui va les sauver et ils vont se lier d'amitié avec lui et vont comprendre que la loyauté est tout ce qui compte.
Histoire/scénario : un scénario original, vu que je ne savais déjà pas que ce genre de sport existait et que le film est tiré d'une histoire vraie.
Acteurs : on retrouve :
– Mark Walberg que j'adore et qui dans ce film a une espèce de barbe bien dégueulasse, pas la peine de vous citer de film où il a joué parce qu'il y en a tellement.
— Simu Liu qui a joué dans Jackpot, que j'ai vu, il n'y a pas longtemps, mais que je n'ai jamais vu ailleurs.
– Nathalie Emmanuel qui a joué dans les Die hart qui n'était pas vraiment géniale.
Les autres, je ne les ai jamais vus, mais dans l'ensemble, ils se débrouillent tous plutôt bien.
Effets spéciaux/décors : pas d'effets spéciaux grandioses, mais de très beaux décors extérieurs.
Bande son/VF : la VF est bonne avec les doubleurs des acteurs et rien du côté bande son.
Je ne voulais pas regarder ce film parce que je savais que j'allais chialer à cause du chien, parce qu'il arrive toujours quelque chose au chien et c'est le cas, mais je ne vous en dis pas plus.
Et je me suis rendu compte que j'étais encore plus sensible qu'avant à la détresse animale.
1 h 50 de très bon film à voir au moins une fois.
Sur le parcours, ils vont rencontrer un chien qui va les sauver et ils vont se lier d'amitié avec lui et vont comprendre que la loyauté est tout ce qui compte.
Histoire/scénario : un scénario original, vu que je ne savais déjà pas que ce genre de sport existait et que le film est tiré d'une histoire vraie.
Acteurs : on retrouve :
– Mark Walberg que j'adore et qui dans ce film a une espèce de barbe bien dégueulasse, pas la peine de vous citer de film où il a joué parce qu'il y en a tellement.
— Simu Liu qui a joué dans Jackpot, que j'ai vu, il n'y a pas longtemps, mais que je n'ai jamais vu ailleurs.
– Nathalie Emmanuel qui a joué dans les Die hart qui n'était pas vraiment géniale.
Les autres, je ne les ai jamais vus, mais dans l'ensemble, ils se débrouillent tous plutôt bien.
Effets spéciaux/décors : pas d'effets spéciaux grandioses, mais de très beaux décors extérieurs.
Bande son/VF : la VF est bonne avec les doubleurs des acteurs et rien du côté bande son.
Je ne voulais pas regarder ce film parce que je savais que j'allais chialer à cause du chien, parce qu'il arrive toujours quelque chose au chien et c'est le cas, mais je ne vous en dis pas plus.
Et je me suis rendu compte que j'étais encore plus sensible qu'avant à la détresse animale.
1 h 50 de très bon film à voir au moins une fois.
Une belle histoire émouvante sur fond de dépassements. De bons acteurs au scénario assez dépouillé qui relate une histoire vraie. L'ensemble plaira en partie aux sportifs et à la famille. 3.5/5 !
stallonefan62
Magnifique film d'aventure, pleine d'émotions, de tensions, de suspenses et de bravoures !! Mark Walhberg y est une nouvelle fois fantastique !!
Deux histoires finalement.
D’une part, il y a cette compétition de trekking dans laquelle un homme a tout misé pour prouver qu’il est le meilleur avec son équipe. Je veux parler de Michael joué par Mark Wahlberg. Un homme déterminé, super confiant et très endurant dans la vie comme dans la compétition. Le début du film nous montre au cœur de l’effort, de superbes paysages sur terre comme sur l’eau. On devine parfaitement l’adrénaline qui pousse le groupe à se surpasser.
Puis vient l’histoire du chien abandonné qui croise la route du groupe. Et là, Michael va littéralement avoir un coup de foudre pour cet animal au point de faire passer la compétition au second plan. Baptisé Arthur, cet animal semble avoir beaucoup d’intelligence et de sentiments pour les membres du groupe. C’est incroyable et à la limite peu crédible un attachement si rapide.
Alors pourquoi avoir fait une histoire avec ces 2 sujets bien différents. Parce que c’est basé sur une histoire vraie et c’est ce qui donne de la force au film. Un film bien construit et bien interprété mais qui fait passer les acteurs au second plan, mon seul regret. Car oui, le héros du film c’est bien Arthur.
Un film très dynamique, sans temps mort, très nature et donc sans effet spéciaux (ça change) et construit autour d’une belle histoire d’amour. Sympathique et touchant sont les bons qualificatifs pour ce film.
D’une part, il y a cette compétition de trekking dans laquelle un homme a tout misé pour prouver qu’il est le meilleur avec son équipe. Je veux parler de Michael joué par Mark Wahlberg. Un homme déterminé, super confiant et très endurant dans la vie comme dans la compétition. Le début du film nous montre au cœur de l’effort, de superbes paysages sur terre comme sur l’eau. On devine parfaitement l’adrénaline qui pousse le groupe à se surpasser.
Puis vient l’histoire du chien abandonné qui croise la route du groupe. Et là, Michael va littéralement avoir un coup de foudre pour cet animal au point de faire passer la compétition au second plan. Baptisé Arthur, cet animal semble avoir beaucoup d’intelligence et de sentiments pour les membres du groupe. C’est incroyable et à la limite peu crédible un attachement si rapide.
Alors pourquoi avoir fait une histoire avec ces 2 sujets bien différents. Parce que c’est basé sur une histoire vraie et c’est ce qui donne de la force au film. Un film bien construit et bien interprété mais qui fait passer les acteurs au second plan, mon seul regret. Car oui, le héros du film c’est bien Arthur.
Un film très dynamique, sans temps mort, très nature et donc sans effet spéciaux (ça change) et construit autour d’une belle histoire d’amour. Sympathique et touchant sont les bons qualificatifs pour ce film.
Voilà une aventure qui prend aux tripes et qui mous emmène dans l’épreuve la plus difficile au monde, celle du cercle très fermé des Iron men, les sportifs d’élites. Tirée d'une histoire vraie, un de ces hommes d'exceptions tente de reconstituer une équipe pour participer à la prochaine course à travers l’Amérique du sud. Dur, caractériel, l'homme à la réputation d’être un mauvais chef d’équipe et échoue souvent. Même si la photographie et les panoramas sont magnifiques, la course manque peut être d'intensité à l’écran, trop de raccourcis visuels.... La rencontre de ce chien est la bienvenue et apporte de la fraîcheur dans le suivi de ces épreuves finalement sans surprise. Un mélange de sentiments humains et de compétitions acharné offrent de belles d’émotions.C'est une belle aventure à suivre pour les amoureux de la nature et des voyages..
Scénario ultra linéaire qui tient littéralement sur un grain de riz et absolument sans surprise. Sans compter le sponsoring Arcterix partout ultra grossier. Malgré le fait que ce soit une superbe histoire vraie avec 30 excellentes dernières minutes, le film en lui même est long et pas très authentique dans sa réalisation.. Dommage
Il est dommage de ne pas avoir connu cette histoire via les médias et autres réseaux sociaux lorsque cette touchante histoire est arrivée en 2018... tout du moins en France. En tout état de cause, cela met en lumière un sport extrême assez peu connu du public et une belle histoire entre l'homme et son plus fidèle compagnon.... et force est de constater que ça marche souvent.
Un très bon film d'aventures qui mêle compétition sportive et amitié entre un homme et un chien. Filmé dans les magnifiques paysages de République dominicaine, le film suit une équipe qui participe au raid aventure. Emmené par Mark Wahlberg, l'équipe se donne à fond pour décrocher la victoire. En chemin ils rencontrent un chien errant qui devient leur mascotte. Un film sportif très réussi et une histoire prenante. A voir ou revoir.
Ce long métrage inspiré d’une histoire vraie raconte le combat d’un coureur qui concours pour les championnats du monde de RAID aventure après son dernier et humiliant et échec.
Lors de cette course, un chien va se trouver sur leur chemin et ils vont s’adapter mutuellement.
Malgré une réalisation très classique, le scénario est plutôt bien écrit, on ne s’ennuie pas, grâce en partie au déroulé de la course séparée en étape.
Surtout la relation qui unit les membres de l’équipe,et ensuite avec le chien sont très bien retranscrites. Il est vrai que le talent de Mark Walhberg aide aussi.
Une véritable surprise que l’on aurait aimé voir passer par case salué de cinéma.
Lors de cette course, un chien va se trouver sur leur chemin et ils vont s’adapter mutuellement.
Malgré une réalisation très classique, le scénario est plutôt bien écrit, on ne s’ennuie pas, grâce en partie au déroulé de la course séparée en étape.
Surtout la relation qui unit les membres de l’équipe,et ensuite avec le chien sont très bien retranscrites. Il est vrai que le talent de Mark Walhberg aide aussi.
Une véritable surprise que l’on aurait aimé voir passer par case salué de cinéma.
Une réalisation soignée au service d'une belle histoire, un parcours sportif, une touche de mélo. Le chien est excellent.
C’est ce qui s’appelle un sacré feel-good movie comme on en voit rarement. De la joie, de la bonne humeur, des belles valeurs et du bonheur prodigués en film! À la lecture du synopsis, on aurait pu s’attendre à une guimauve destinée à faire pleurer dans les chaumières les amoureux des animaux mais il n’en est rien même si l’émotion est au rendez-vous à bien des égards. « Arthur the King » nous narre une incroyable histoire vraie mettant en avant à la fois le sport et la relation entre un homme et un chien. Si le maître étendard de ce type de film reste « Hatchi » qui s’inspirait également de faits réels, ce dernier poussait le curseur des larmes (et du larmoyant) à son paroxysme. Et le faisait bien tant on appréciait pleurer devant l’histoire de ce chien fidèle à son maître incarné par Richard Gere. Mais ici, tout le côté pathos d’une relation préexistante est soigneusement évité pour se focaliser sur l’incroyable relation qui se créé entre ce chien et de ce sportif dont les destinées vont finir par se rejoindre par le plus grand des hasards.
D’un côté et en amont, on découvre une discipline peu connue et très physique : les compétitions de course d’aventures. Un mélange de sports comprenant course, kayak, escalade et vélo en équipe et qui demande beaucoup de préparation et d’abnégation. Contexte difficile, peu de repos et pratiques multiples dans des conditions naturelles parfois capricieuses. Certaines séquences mettant en scène la compétition sont d’ailleurs particulièrement retorses et impressionnantes et permettent de rendre compte de la difficulté, du niveau d’entraînement et du degré de dépassement de soi-même nécessaires et inhérents à une telle aventure. On pense à celle de course sous la pluie mais surtout à celle, presque invraisemblable, de tyrolienne dans les airs avec un vélo pendu au bout du corps. Totalement angoissant tant le danger présent et le calme et la justesse d’exécution obligatoires pour réussir ce tour de force est bien représenté. « Arthur the King » se positionne donc autant comme un film d’aventures exotiques et dépaysant mettant en exergue les sports et les valeurs qu’il véhicule. Et notons qu’ici la compétition est saine et on a rarement vu des sports montrés sous un jour si propre au cinéma et cela fait du bien.
Puis, à mi-chemin, ce chien maltraité qui va s’attacher au personnage principal incarné par un Mark Wahlberg (décidément agréable et crédible dans tous types de rôle) entre en jeu. Cet animal plein de ressources mais mal en point va devenir la mascotte impromptue de leur équipe et bien plus encore. Le film vire alors vers le drame animalier avec beaucoup de pudeur et de sobriété. Et sans jamais forcer « Arthur the King » nous prend aux tripes et nous émeut. Jusqu’aux larmes. Les scènes avec ce chien attachant sont belles, simples et d’un naturel confondant. Et ce long-métrage d’une pureté qui confine au sublime de nous porter avec ces belles valeurs, ces bonnes ondes et ces beaux (et non pas bons) sentiments. Il passe vite, nous réchauffe le cœur, nous fait voyager et s’avèrerait presque un antidote à la sinistrose ambiante et à tout état dépressif. Un bien beau film pour une bien belle histoire touchante et pleine de justesse qui donne envie de croire (de nouveau) en l’humanité.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
D’un côté et en amont, on découvre une discipline peu connue et très physique : les compétitions de course d’aventures. Un mélange de sports comprenant course, kayak, escalade et vélo en équipe et qui demande beaucoup de préparation et d’abnégation. Contexte difficile, peu de repos et pratiques multiples dans des conditions naturelles parfois capricieuses. Certaines séquences mettant en scène la compétition sont d’ailleurs particulièrement retorses et impressionnantes et permettent de rendre compte de la difficulté, du niveau d’entraînement et du degré de dépassement de soi-même nécessaires et inhérents à une telle aventure. On pense à celle de course sous la pluie mais surtout à celle, presque invraisemblable, de tyrolienne dans les airs avec un vélo pendu au bout du corps. Totalement angoissant tant le danger présent et le calme et la justesse d’exécution obligatoires pour réussir ce tour de force est bien représenté. « Arthur the King » se positionne donc autant comme un film d’aventures exotiques et dépaysant mettant en exergue les sports et les valeurs qu’il véhicule. Et notons qu’ici la compétition est saine et on a rarement vu des sports montrés sous un jour si propre au cinéma et cela fait du bien.
Puis, à mi-chemin, ce chien maltraité qui va s’attacher au personnage principal incarné par un Mark Wahlberg (décidément agréable et crédible dans tous types de rôle) entre en jeu. Cet animal plein de ressources mais mal en point va devenir la mascotte impromptue de leur équipe et bien plus encore. Le film vire alors vers le drame animalier avec beaucoup de pudeur et de sobriété. Et sans jamais forcer « Arthur the King » nous prend aux tripes et nous émeut. Jusqu’aux larmes. Les scènes avec ce chien attachant sont belles, simples et d’un naturel confondant. Et ce long-métrage d’une pureté qui confine au sublime de nous porter avec ces belles valeurs, ces bonnes ondes et ces beaux (et non pas bons) sentiments. Il passe vite, nous réchauffe le cœur, nous fait voyager et s’avèrerait presque un antidote à la sinistrose ambiante et à tout état dépressif. Un bien beau film pour une bien belle histoire touchante et pleine de justesse qui donne envie de croire (de nouveau) en l’humanité.
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J'ai trouvé la réalisation et le rendu de cette histoire (vraie) vraiment trop mièvre et pétrie de bons sentiments.
"Arthur the King" raconte avec émotion la rencontre bouleversante entre Mikael Lindnord, capitaine suédois de course d'aventure, et un chien errant nommé Arthur. Mark Wahlberg offre une performance touchante, captivant l'essence de cette amitié inattendue dans la jungle équatorienne. Le réalisateur Simon Cellan Jones magnifie cette aventure avec des paysages sublimes, rendant la survie de Mikael et Arthur visuellement et émotionnellement prenante. Bien que l'intrigue suive des schémas narratifs classiques, la sincérité de leur lien et les panoramas époustouflants compensent largement ces prévisibilités. Un film touchant, inspirant et visuellement splendide, à voir pour les amoureux des histoires d’amitié homme-animal.
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