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Francois Descols
8 abonnés
58 critiques
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4,5
Publiée le 2 août 2021
Film subtil : une adolescente de 14 ans a le cancer et sa vie est tourneboulée. Acteurs formidables, mise en scène rythmée... l'actrice principale a des faux airs de Jean Seberg avec ce mélange solaire et tristesse.
Histoire particulière et pas drôle au final et ou la narration peu être énervante. Difficile également de croire a cette histoire mais il reste quand même quelques très belles scènes.
Ça s'en sort un peu mieux que la plus part des Nabet actuellement à l'écran mais quand même le sujet et le film est déprimant c'est triste , c'est lourd ..ça respire pas la joie de vivre bref si vous voulez dépirimer allez voir se film !!! Ce qui m'exaspère le plus ce sont les critiques complaisante , absolument pas objectives et totalement orientée ...à gerber !
Une réalisation toute en finesse et singulière qui nous fait partager les émotions d'une adolescente face à sa maladie et ses premiers émois amoureux. Une attachante Milla dans une famille qui ne l'est pas moins en étant confrontée à la situation de leur fille et son amoureux plus que décalé. A voir, en appréciant le jeu des acteurs qui n'en font pas trop et sont plus que crédibles.
Milla n'est pas une adolescente comme les autres...elle porte des perruques. Son père psychiatre a l'ordonnance facile et sa mère croule sous les médicaments. Elle rencontre un jeune garçon en rupture familiale et comble le temps qu'on lui donne en tombant amoureuse. Vu le sujet le film aurait pu sombrer dans le pathos mais ça n'est pas le cas, c'est un modèle d'équilibre qui alterne humour et émotions. Même si la dernière scène est très émouvante elle n'efface pas à la sortie de la séance le souvenir de la folie douce qui irrigue celles d'avant. Un joli film.
Un film bouleversant. Une ode à la vie. La révélation d'une grande actrice Eliza Scanlen. Les films australiens ne sont pas nombreux à trouver le chemin des salles françaises, ne manquez pas celui-ci.
Sur un sujet qui aurait pu conduire à la mièvrerie ou l'académisme, le film propose un récit épuré voire décalé, avec une mise en scène remarquable, quelque part entre Cassavetes et Jane Campion. Les interprètes sont en outre très justes, avec une mention pour la grande Essie Davis dans le rôle de la mère.
Je ne vais pas souvent au cinéma, mais là avec ce film, je sais pourquoi je paye pour voir un film. Pour moi c est un chef d œuvre. Premièrement les acteurs sont excellents. Eliza scanlen est vraiment hors du commun. Secundo il y a énormément d émotion dans ce film: on sourit, on est au bord des larmes,...troisièmement l histoire est magnifique, quatrièmement les plans sont vraiment d une beauté...quel film!!!!! Un cinq étoile
Œuvre sublime de par sa superbe mise en scène, travaillée et singulière, le traitement original et subtil du sujet, son émotion juste et bouleversante et ses acteur.trice.s parfait.e.s.
Peut-être faites vous partie des spectateurs qui acceptent, voire qui apprécient, que, dans un film qui traite d'un sujet très dur, le réalisateur ou la réalisatrice se croit obligé.e, dans le but, sans doute, d'adoucir le propos, de glisser quelques scènes abracadabrantesques censées faire rire mais qui, pour moi, aboutissent à donner au film un côté totalement artificiel ? Ce n'est pas mon cas, du tout ! J'aurais été d'accord pour des scènes amenant une certaine forme d'humour mais pas pour des pseudo gags totalement grotesques auxquels il n'est pas possible de croire une seule seconde. Au bout du compte, si on se félicite que "Milla" ne tombe pas dans le pathos, on regrette l'absence totale d'émotion dégagée par ce sujet très fort.
Beau film, authentique et sensible, où l'on suit la jeune Milla qui se jette à corps perdu dans une relation amoureuse. Belle BO. Dommage que l'ensemble soit trop longuet à mon goût, j'avais du mal à rester captivée dans la deuxième partie de film.
Après le Tibet, l’Australie avec le film de Shannon Murphy. Avec le cinoche, on voyage et sans pass-sanitaire ! Cette fois, on s’intéresse à un premier film qui nous plonge dans une comédie dramatique pas toujours parfaitement maîtrisée mais qui ne manque pas d’intérêt. Ces 118 minutes – sans doute 20 minutes de trop… un défaut récurrent pour un 1er long… ou trop long -, se laissent voir sans déplaisir. Milla n’est pas une adolescente comme les autres et quand elle tombe amoureuse pour la première fois, c’est toute sa vie et celle de son entourage qui s’en retrouvent bouleversées. A découvrir dans les salles qui auront le courage de le programmer à partir du 28 juillet prochain… Pas vraiment un film pour l’été. Pour être honnête, tout n’est pas lisible dans ce drame poignant qui a bien du mal à ne pas succomber à l’écueil du pathos. Le larmoyant ne submerge l’histoire qu’à l’extrême fin, hélas sans surprise. On est surtout séduit par les incessantes transformations physiques et psychiques de la jeune héroïne dont on comprend aisément le déséquilibre. Par contre, les 3 autres personnages principaux sont tous plus aussi instables les uns que les autres. C’est sans aucun doute un peu so much comme on dit au pays des kangourous – A ce propos, les plans de coupe réguliers sur la nature sauvage et les joyeux cacatoès qui agrémentent les jardins, sont parfaitement superflus. Et encore, on échappe aux wombats, aux jabirus et autres échidnés -. La jeune réalisatrice aurait mieux fait de resserrer son propos et d’éviter quelques ellipses dérangeantes. Bon, des défauts, mais tout un petit monde à suivre. Eliza Scanlen, jeune australienne de 22 ans, déjà repérée dans Les Filles du Dr March, incarne avec infiniment de force et de passion cette ado tourmentée à la fois par ses premières amours et sa maladie en phase terminale. Belle interprétation dans un rôle aux multiples facettes qu’elle assume avec beaucoup de justesse. L’inconnu Toby Wallace ne s’en sort pas trop mal face à l’ouragan Scanlen, malgré un certain manque de charisme. Les parents, Essie Davis et Ben Mendelshon, sont tout simplement épatants. Je l’ai dit, il faut encourager le jeune cinéma et se réjouir de voir des films qui nous viennent de l’autre bout du monde. A voir de toute façon pour la performance d’Eliza Scanlen.
Un mélodrame au soleil poignant. Quelques semaines après avoir vu Babyteeth je garde un souvenir ému de l'œuvre alors que si ne nie pas la puissance du dénouement, le visionnage m'avait parfois agacé par son manque de nuance, ses personnages tous dysfonctionnels résultants en des orientations scénaristiques questionnables. La scène de la fête et celle de la plage sont sublimes.