The Demon Inside
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75 critiques spectateurs

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Cinéphiles 44
Cinéphiles 44

1 412 abonnés 4 266 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 25 juin 2020
“The Demon Inside” suit un jeune veuf schizophrène qui soupçonne son fils d’être possédé par un démon. Un prêtre exorciste au passé trouble va tenter de désenvoûter l’enfant. Autour d’eux, une psychologue tente de résonner le père en lui expliquant que tout ça est irréel. Ce film d’épouvante de Pearry Reginald Teo manque d’intérêt à cause d’un sujet épuisé et de performances moyennes d’acteurs qui expriment pourtant leur bonne volonté. L’idée initiale était pourtant intéressante, mais assister à un exorcisme à travers le trou d’une serrure ou se prendre les nombreux flashs d’un appareil dans les yeux, finit par épuiser.
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Dylan T
Dylan T

1 critique Suivre son activité

3,0
Publiée le 25 juin 2020
Malgré une critique plutôt négative, le film dégage une atmosphère typique des films d'horreur, angoissante et stressante de par sa musique, ses décors et certains personnages. Le film nous plonge dès le début dans ce qu'est l'exorcisme et la façon dont le démon s'empare de notre corps en nous explicitant les différentes phases de la possession. Ce film exploite l'exorcisme d'une façon inédite permettant de se dégager des scènes basiques de ce genre déjà vues et revues, ici, en exploitant la maladie de la schizophrénie et son rapport religieux avec le diable. Cependant, une fin qui vous laissera dans l'attente de plus d'explications, certains ressentiront même de l'incompréhension les laissant donc proposer leurs théories plausibles quant à l'explication du film. Un film qui vaut tout de même le coup d'être vu, grands fans de paranormal resteront sur leurs faims, une bonne expérience tout de même.
Alice025
Alice025

1 697 abonnés 1 376 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 24 juin 2020
Réouverture des cinémas enfin, mais pas grand chose en nouveauté. Je me suis laissée tenter par ce film d'horreur et sans grande surprise, il se révèle être d'une médiocrité extrême.
Encore une histoire d'exorcisme mais mal réalisée où l'on sent que ce film a petit budget a sans doute essayer de nous faire peur par des moyens qui laissent à désirer, se demandant même si l'on a pas oublié nos lunettes 3D pour la séance...
Les acteurs ne volent pas haut non plus, et l'effet retournement de situation vers la fin laisse également de marbre car on est complètement détaché.
Heureuse de retourner au cinéma, mais ce genre de film ne m'avait pas vraiment manqué...

http://cinephile-critique.over-blog.com
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 23 juin 2020
Le pop corn était bon le film était claqué. J'ai perdu 1h30 et 6€70. Film indépendant ne doit pas être synonyme de manque d'inspiration.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 23 juin 2020
La bande annonce annoncée un film plutôt pas mal qui s'annonçait à faire peur. Le film à été long au démarrage, plus on avance dans le film, plus c'est bizarre et les effets spéciaux sont mal réalisés, le démon mal fabriqué. La seule chose bien de ce film est le retournement de situation à la fin du film que j'ai vraiment bien aimé car on ne s'attend pas à sa même si on a quelque doute.
kyu f
kyu f

99 abonnés 456 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 22 juin 2020
premier film apres 3 mois de fermeture au cinéma , et quelle film ! pour moi s n'a rien du film de possesion banal .il ma foutu une de ces peur ! les scenes sont maitrisé , stressante et original . les acteurs sont bon et le gamin se débrouille plutôt bien ! je n'ai pas grand chose a reprocher a ce film . il est génial et pur un fil de posséssion il est super ! je ne comprend pas en quoi il est si mauvais , a voir !
𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈

146 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 22 juin 2020
Les effets d'ombres du monstre sont bien fait, j'ai trouvé ça bien flippant. Robert Kazinsky est très bon dans son rôle de père prêt à tout pour son fils. Le reste est décevant, le début était pourtant prometteur avec une ambiance prenante, mais la fin est complètement sans intérêt. C'est d'une nullité ! Je sais même pas quoi en penser, je serais toujours pas vous dire sur qui à fait quoi ? pourquoi ? Dommage également qu'on est pas vraiment pu assister à l'exorcisme...
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 15 juin 2020
Daube intégrale: mal filmé, mal écrit, mal joué. Combien de navets essaient encore de copier l'Exorciste original sans tomber dans le nanar irrécupérable. C'est tellement mauvais que je me demande QUI peut financer ce genre de projet.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 24 mai 2020
Alors ceux qui n'aiment pas, je veut pas jugé, je pense juste qu'à un moment donné il faut arrêter de voué un culte au très vieux et poussiéreux l'EXORCISTE, en effet il est bien (enfin perso je me fend la gueule du début à la fin) , c'est un thème déjà vu mais difficile à réinventer, là j'ai vraiment kiffé l'ambiance le côté psycho très perturbant et le turn over de la fin. Si vous le trouvez nul, très chère amis je vous mets au défi de réinventer le genre...
lilou ben
lilou ben

1 abonné 10 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 21 avril 2020
Un film qui démarre très très longtemps au bout de 40 minutes une fin incompréhensible rester sur sa soif.....on ne comprend pas la fin du filme. La vrai version le père ou lenfant possédé ? Tres long a démarré et pas ouff....il ya mieux...
Yann C
Yann C

12 abonnés 90 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 16 avril 2020
Très très moyen,on savait ce qu'il allait se passer c'est cousu de fils blancs,on essaye de faire des jumpscares, là aussi mal fait avec des sons très fort,le film est long et le scénar est vide,tu te dis que ça devient intéressant car tu sais qu'il ya un truc qui cloche,ses visions sont pas logiques donc forcément...La fin du film?on saute dix ans sans explication et on comprend rien, qu'est ce qu'il est devenu ?
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 3 avril 2020
Pearry Reginald Teo nous propose un énième film sur les possessions démoniaques qui avouons-le ne révolutionne pas le genre. En effet, même si ce dernier a souhaité passer par une approche différente, la majorité des scènes ne parviennent pas à nous convaincre pour la simple et bonne raison qu'elles sont soit prévisibles, soit trop classiques pour être appréciées. Les personnages quant à eux nous offre une prestation qu'on peut jugée de correcte sans être non plus exceptionelle. Par contre, on sent que le réalisateur a souhaité se démarquer et apporter une touche d'originalité en utilisant un filtre de couleur lors de chaque apparition, il est vrai que ça peut apporter au film une certaine tension supplémentaire mais ça peut également faire l'inverse en nous préparant à l'avance à ce qu'il va se passer. Venons-en à présent à l'ambiance, heureusement elle parvient à remonter un peu le niveau. Elle est sans nul doute, l'élément le plus remarquable dans cette réalisation avec ses décors quelques peu loufoques -on dirait même qu'ils sont sortis tout droit d'incantation vaudou-, s'ajoute à ça, une photographie assez sombre et on se retrouve dans une atmopshère gothique et maitrisée. Sur ces bonnes notes, j'osais espérer que le scénario satisferait mes attentes mais ça a eu l'effet inverse, nous avons droit à la place au même discours biblique, à la même intrigue que dans tous les films traitant du sujet, ce qui peut finalement s'avérer lassant. Quoi qu'il en soit, même si « The demon inside » a quelques qualités, ce n'est cependant pas suffisant pour me satisfaire entièrement, on reste bien trop sur les sentiers battus...
laurentcmoi
laurentcmoi

18 abonnés 242 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 31 mars 2020
Comment peut-on encore sortir ce genre de nanar de nos jours. Un scénario on ne peut plus simplet et une mise en scène vite faite mal faite. Ne parlons pas des quelques effets spéciaux ridicules et du jeu des acteurs très mauvais. On se croirait revenu dans les années 80 et encore à cette époque on faisait déjà mieux..
RedArrow
RedArrow

1 692 abonnés 1 542 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 25 mars 2020
Encore un énième banal film de possession ou une des rares propositions à avoir quelque chose de neuf à apporter au sujet ? Eh bien, bonne nouvelle, "The Assent" se rapproche de la seconde catégorie en n'ayant non pas des idées franchement révolutionnaires sur cette thématique surnaturelle mais en choisissant plutôt, disons, un autre angle afin de l'aborder. Cela suffit-il pour autant à en faire un bon film ? Dur d'être affirmatif sur ce point...

Luttant contre sa schizophrénie patente, un père élève seul son fils dans une maison isolée. Lâchée par sa fidèle babysitter qui lui permettait d'exercer ses activités de mécanicien, l'homme se retrouve dos au mur pour conserver la garde de son enfant, d'autant plus que ce dernier se met à présenter les mêmes symptômes que la maladie de son père, voire de bien plus étranges encore...
En parallèle, un vieux prêtre exorciste sort de prison, bien décidé à prendre sa revanche sur un démon surpuissant...

Comme le film le martèlera un peu trop fort d'entrée, "The Assent" -l'assentiment- fait référence à la phase finale d'une possession démoniaque, celle où la victime vaincue par l'entité accède à sa demande de lui offrir son corps. Vu que le long-métrage de Pearry Reginald Teo emprunte son titre à cette décomposition du phénomène de la possession, on peut déjà supposer que celle-ci va être le point crucial d'une intrigue plus roublarde qu'à l'accoutumée mais à quel point et dans quel but ? Là vont être les grandes interrogations d'un film dont on va vite déceler que la véritable nature ne prendra son sens qu'à l'aune d'un incontournable twist final. Et c'est peut-être un peu tout le problème de "The Asset" qui fait sans doute aller un peu loin les interrogations du spectateur durant son déroulement au risque de le décevoir avec une conclusion loin d'être bête mais finalement pas si imprévisible ou folle que souhaitée.

Sutout, avant de parvenir à cette ultime révélation, le film va hélas accumuler certaines maladresses nuisant à préparer l'impact de cette dernière.
Déjà, tout ce qui entoure la crédibilité de la relation père-fils à laquelle on nous introduit ! On ne sait pas trop quelle assistante sociale a jugé bon qu'accorder la garde d'un enfant à un père mentalement instable dans un environnement essentiellement composé de sculptures morbides serait une bonne idée mais il est fort à parier qu'elle se soit trompée d'orientation professionnelle. De même, comment croire un seul instant à la réalité des premiers dialogues sirupeux échangés entre le fils et son paternel ? Ceux-ci défient toute logique de vérité et emmènent cette relation vers celle d'un mauvais téléfilm familial dégoulinant de bons sentiments spoiler: . Et, au milieu de tout ça, le personnage de la baby-sitter est magique : non seulement la jeune femme semble se rendre compte de la bizarrerie de ce foyer (un peu plus prononcée les derniers jours, il est vrai) quand elle est sur le point de le quitter mais elle a la bonne idée d'en parler à un vieux prêtre accusé d'un meurtre pour espérer arranger les choses. À ce propos, pas mal d'autres personnages semblent complètement ignorer les agissements antérieurs de cet homme d'église, le film nous montre pourtant bien en amont que le fait divers dont il est le triste héros a défrayé la chronique par sa nature extraordinaire et, vu la petite ville où paraît se dérouler "The Asset", dur de croire que le père et la baby-sitter n'ont jamais vu un portrait du bonhomme via les médias...

Peut-être que l'on pinaille un peu mais on ne peut nier que "The Assent" a dû mal à rendre vraisemblable tout ce qu'il veut installer. Et le film va même jusqu'à aller se tirer une balle tout seul dans le pied en commettant une erreur impardonnable à mi-parcours: la fin d'une scène très insistante sur un point dévoilera bien trop explicitement qu'une partie non négligeable du mystère global réside dans ce qu'elle veut souligner (les flashbacks finaux le confirmeront)...

Heureusement, "The Assent" n'est pas que maladroit et ses qualités prouvent que ce projet a comme but premier de sortir du lot des films d'exorcisme les plus lambdas.
En ce sens, la noirceur de son atmosphère est la première d'entre elles : non seulement l'essence même de la schizophrénie semble déteindre sur l'entièreté de son ambiance, de ses décors de plus en plus ensevelis sous le poids de ce mal tout comme son personnage principal (ses crises se manifestent esthétiquement avec une sorte de halo de 3D anaglyphe qui se met à l'entourer), mais les visions particulièrement malsaines de créatures arachnides et/ou informes participent à amplifier cette frontière entre la folie et la réelle possession sur laquelle le film prend un malin plaisir à jouer sa partition. Bon, tout ça est évidemment un prétexte à quelques jumpscares un brin faciles mais cela joue plutôt bien avec les attentes d'un spectateur qui n'a plus d'autres choix que de chercher à déceler le moindre mouvement dans chaque zone d'ombre (le gimmick de l'appareil photo assurera toujours une certaine efficacité de ce côté).
L'autre grand point fort de "The Assent" sera justement cette connexion entre la schizophrénie et la possible présence démoniaque, deux visions reliées intimement par les hommes depuis la nuit des temps avant l'intervention de la science, que le film s'amusera à construire en miroir tout au long de sa durée pour nous faire douter sur la véritable teneur des événements jusqu'à, comme attendu, le briser lors du final nous livrant les clés de la véritable lecture à y donner.

En plus de quelques autres atouts, "The Assent" fait partie de ces films de possession qui gagnent d'office notre indulgence par leur volonté affichée de proposer autre chose que le tout-venant du genre. Il est donc fort dommage que de grossières erreurs de parcours ne lui permettent pas de prendre la pleine mesure des ambitions qui l'animaient. En l'état, on ne peut pas rejeter unilatéralement l'intérêt de la proposition mais son manque d'aboutissement la condamne de fait à n'être que mineure...
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 13 mars 2020
Jamais vu un film aussi nul ! Y’a même pas d’histoire ... juste un exorcisme qu’on ne voit même pas ... aucun intérêt ...
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