AlloCiné
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Note moyenne
2,0
2006 notes
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Votre avis sur Halloween Ends ?
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Assez bonne conclusion... Même si le film ne se concentre pas uniquement sur le personnage de Michael Myers mais plus sur Corey le nouveau souffre douleur de la ville suite à un tragique accident impliquant la mort d'un enfant la nuit d Halloween... Je pensais ainsi assister à la naissance d'un nouveau croque-mitaine avec Corey qui basculerai vers le côté obscur... Mais je me suis un peu planté... Dommage... Quelques bonnes scènes bien gores comme on les aime... Une fin enfin à cette saga qui perdure... Peut être que le film met trop l accent sur la relation amoureuse entre Corey et la fille dont on se fou complètement... Mise à part cela j'ai plutôt bien aimé...
Très fan de la saga, je ne m'attendais pas à une fin aussi plate et misérable... à ce niveau là, c'est un attentat !
(Spoil) Un scénario aussi soporifique que farfelu : Michael Myers qui a un ami, qu'on aperçoit au bout de 3/4 d'heure de film, et surtout un Michael Myers qu'on ne voit réellement que les 10 dernière minutes du film... tout ça pour finir comme ca ??!
Une insulte aux fans ! Franchement ! À limite faire une pétition pour refaire un Halloween Ends ! Horrible
(Spoil) Un scénario aussi soporifique que farfelu : Michael Myers qui a un ami, qu'on aperçoit au bout de 3/4 d'heure de film, et surtout un Michael Myers qu'on ne voit réellement que les 10 dernière minutes du film... tout ça pour finir comme ca ??!
Une insulte aux fans ! Franchement ! À limite faire une pétition pour refaire un Halloween Ends ! Horrible
Michael Myers, ou le hobo d'Haddonfield fait son come-back pour en finir, comme le nom du film l'indique. L'intrigue de Corey est plutôt pas mal dans le but de ramener Michael. Par contre, il est beaucoup trop présent et il ne laisse pas place au réel et légendaire croquemitaine, ce qui en fait une faiblesse. La majeur partie du temps se consacrera à
spoiler:
la relation qu'il entretient avec Allyson
. Ils l'ont montré, on l'a compris, maintenant ça suffit.
La mise en place 4 ans après les premiers évènements dans la nuit d'Halloween en 2018 était une très bonne idée, mais malheureusement mal exploité (et/ou sous-exploité). On aurait pu s'attendre à une réelle traque entre la proie et le prédateur, mais rien de tout ça. Certes il s'agit bien d'un affrontement final, mais sur l'intégralité du film, il est mal proportionné et mal équilibré... Quel dommage. Halloween Ends aurait pu sauver la réputation de Kills.
Ce que je trouve osé et culotté, c'est d'avoir spoiler: réellement mis un terme à Michael en le broyant. À ce niveau là, on pourra pas faire une suite bouseux comme Resurrection avec une mise en scène de sa propre mort.
On peut passer un bon moment devant Ends.
. Ils l'ont montré, on l'a compris, maintenant ça suffit.
La mise en place 4 ans après les premiers évènements dans la nuit d'Halloween en 2018 était une très bonne idée, mais malheureusement mal exploité (et/ou sous-exploité). On aurait pu s'attendre à une réelle traque entre la proie et le prédateur, mais rien de tout ça. Certes il s'agit bien d'un affrontement final, mais sur l'intégralité du film, il est mal proportionné et mal équilibré... Quel dommage. Halloween Ends aurait pu sauver la réputation de Kills.
Ce que je trouve osé et culotté, c'est d'avoir spoiler: réellement mis un terme à Michael en le broyant. À ce niveau là, on pourra pas faire une suite bouseux comme Resurrection avec une mise en scène de sa propre mort.
On peut passer un bon moment devant Ends.
Décevant.
Choix osé qui décevra les amoureux de la saga. Film long au démarrage qui ne démarre jamais vraiment d’ailleurs.
Mais où est le croque mitaine ? Myers n’est qu’une légende dans cet opus que l’on aperçoit 5 mins… L’idée est originale mais était elle réellement bonne pour clôturer cette saga ?
Le personnage de Corey reste tout de même intéressant.
Choix osé qui décevra les amoureux de la saga. Film long au démarrage qui ne démarre jamais vraiment d’ailleurs.
Mais où est le croque mitaine ? Myers n’est qu’une légende dans cet opus que l’on aperçoit 5 mins… L’idée est originale mais était elle réellement bonne pour clôturer cette saga ?
Le personnage de Corey reste tout de même intéressant.
Boulgouuuurrrr les lecteurs! Le film commence au bout d'une heure. L'histoire n'a aucun sens... Une demi étoile pour tous les efforts déployés par les techniciens qui ont fait le film. John tu as deconné là. La bise
Enfin c'est le dernier, il était tant ! Laurie Stode réussi enfin a tuer Michael Myers ouf !!! 43 ans que le film Halloween existe quand meme ! Au revoir.
Très bonne conclusion mais voici quelques trucs que j'ai trouver dommage
spoiler: 1) que l'on voit très peu Michael Myers 2) que Michael tue seulement 3 personnes et que les autres meurtre soit commis par Corey 3) que le fameux combat entre Michael et Laurie était court 4) que Lindsey et Hawkins soient peu présent 5) pourquoi Michael est revenu 4 ans après ? J'aurais aimé avoir une explication logique
Apart ça le reste était bien et certaines idée était originaux
spoiler: 1) que l'on voit très peu Michael Myers 2) que Michael tue seulement 3 personnes et que les autres meurtre soit commis par Corey 3) que le fameux combat entre Michael et Laurie était court 4) que Lindsey et Hawkins soient peu présent 5) pourquoi Michael est revenu 4 ans après ? J'aurais aimé avoir une explication logique
Apart ça le reste était bien et certaines idée était originaux
HALLOWEEN ENDS met brillamment un point final à légende du croque mitaine entamé il y a 44 ans. Par une mise en scène étonnante et familière bien plus travaillée que le précédent opus (Kills). John Carpenter à l'écriture et la composition ; David Gordon Green à la réalisation réussissent à surprendre le spectateur. Ce film parle de plusieurs sujets intéressant le regard des autres / le cycle de la violence et à ma grande surprise de l'idée que j'ai développée de mon précédent film « L'IMITATEUR » que « Les monstres engendrent les monstres ». Aujourd'hui il ne s'agit plus de savoir si Myers est un monstre car il en est un, mais de savoir si la société est devenue un monstre à cause de lui. Par des plans de caméras soignés Halloween Ends rend hommage au chef d’œuvre de 1978 (Reflets, jeux d'ombres, silhouettes) le croque mitaine est omniprésent nous ne le voyons pas mais il là. La scream queens Jamie Lee Curtis affronte ses démons avec passion, rappelons que avant Ellen Ripley (Alien) avant sarah connor (Terminator), Laurie Strode est une des premières femmes de fiction à rivaliser tant sur le point de la puissance du personnage (Simple mais puissant) que sur le point central qu'elle à autour de la saga (sans Laurie pas de Myers, Sans Myers pas de Laurie) C'est l’essence du genre du « Slasher ».
Shawn777
La "suite" directe du premier film de 2018 n'était vraiment pas mal du tout, "Halloween Kills" était raté mais alors là, on touche vraiment le fond avec troisième opus des "Halloween" réalisé par David Gordon Green, qui est par ailleurs le treizième de la franchise. Et dans cette franchises, des mauvais épisodes, il y en a un paquet (je pense par exemple au cycle Jamie Lloyd, qui constitue les quatrième, cinquième et sixième opus, qui est particulièrement raté), et pourtant, celui-ci fait partie des pires ! Nous retrouvons Laurie qui s'est décidée à ne plus se cacher et à habiter en banlieue, normalement. Tout va bien jusqu'à ce que sa petite-fille s'entiche d'un mec un peu louche, Corey, ayant accidentellement tué un gamin qu'il gardait. Pas de Michael Myers jusque là mais c'est là où le film part justement en vrille puisque
spoiler:
Corey devient, en quelques sortes, le disciple de Michael, après l'avoir rencontré dans les égouts
. On dirait une parodie ? Je sais. Déjà que je trouvais que le précédent opus se payait bien notre tête mais nous atteignons ici des sommets ! Alors je sais qu'au bout du treizième film, il est important de se renouveler et de ne pas présenter toujours la même chose aux spectateurs. Mais d'un autre côté, si pour faire un film est aussi vide et peu inspiré, pourquoi faire deux suites à "Halloween" de 2018 qui se suffisait amplement à lui-même ! Film anniversaire parfait qui marquait le retour de la saga sur grand écran pour un ultime affrontement entre Laurie et Michael. Alors que là, c'est un affrontement qui s'étire sur trois films. Déjà que le deuxième film se trainait en longueur (tout en singeant ou en plagiant "Halloween II" de 1981 d'ailleurs) mais là, on a vraiment l'impression que toute l'histoire autour de Corey n'est là que pour meubler. Elle n'a en effet aucun intérêt, n'est absolument pas cohérente avec le reste de la saga, spoiler: et notamment concernant la relation qu'il entretient avec Michael
, ni même avec le reste du film finalement et est de plus expédiée en deux secondes (alors qu'elle prend plus des trois quarts de film). Le film donne en effet cette impression d'être complètement paumé, d'avoir la fin dans les cartons depuis longtemps, mais ne pas trop savoir quoi caser avant pour atteindre difficilement les une heure et quarante-cinq minutes de film. Alors, sur les points positifs, nous retiendrons malgré tout le gore qui s'en donne ici à cœur joie avec des meurtres originaux et bien mis en scènes. Et puis nous retiendrons également la fin, spoiler: pour l'affrontement entre Laurie et Michael qui n'est pas trop mal et puis également car, après la destruction complètement du corps de Michael, on espère que la franchise sera définitivement enterrée
. Bon voilà, on tombe donc dans un ridicule sans nom, lorsqu'on ne s'ennuie pas, avec cet "Halloween Ends" qui est donc, dans son ensemble, très mauvais.
. On dirait une parodie ? Je sais. Déjà que je trouvais que le précédent opus se payait bien notre tête mais nous atteignons ici des sommets ! Alors je sais qu'au bout du treizième film, il est important de se renouveler et de ne pas présenter toujours la même chose aux spectateurs. Mais d'un autre côté, si pour faire un film est aussi vide et peu inspiré, pourquoi faire deux suites à "Halloween" de 2018 qui se suffisait amplement à lui-même ! Film anniversaire parfait qui marquait le retour de la saga sur grand écran pour un ultime affrontement entre Laurie et Michael. Alors que là, c'est un affrontement qui s'étire sur trois films. Déjà que le deuxième film se trainait en longueur (tout en singeant ou en plagiant "Halloween II" de 1981 d'ailleurs) mais là, on a vraiment l'impression que toute l'histoire autour de Corey n'est là que pour meubler. Elle n'a en effet aucun intérêt, n'est absolument pas cohérente avec le reste de la saga, spoiler: et notamment concernant la relation qu'il entretient avec Michael
, ni même avec le reste du film finalement et est de plus expédiée en deux secondes (alors qu'elle prend plus des trois quarts de film). Le film donne en effet cette impression d'être complètement paumé, d'avoir la fin dans les cartons depuis longtemps, mais ne pas trop savoir quoi caser avant pour atteindre difficilement les une heure et quarante-cinq minutes de film. Alors, sur les points positifs, nous retiendrons malgré tout le gore qui s'en donne ici à cœur joie avec des meurtres originaux et bien mis en scènes. Et puis nous retiendrons également la fin, spoiler: pour l'affrontement entre Laurie et Michael qui n'est pas trop mal et puis également car, après la destruction complètement du corps de Michael, on espère que la franchise sera définitivement enterrée
. Bon voilà, on tombe donc dans un ridicule sans nom, lorsqu'on ne s'ennuie pas, avec cet "Halloween Ends" qui est donc, dans son ensemble, très mauvais.
Fêtons le cinéma
Halloween Ends n’est que dispersions, éparpillements, mises en réseau de toute une saga qui ne sait comment s’achever puisque du Mal nous ne saurions conjurer la présence. Et sur ce point, le long métrage se montre lâche, incapable d’incarner par l’image ce qu’il doit déléguer au verbiage incessant d’une voix off assurée par Jamie Lee Curtis. David Gordon Green ne semble plus avoir confiance dans la puissance significative de ses plans ; le chaos du deuxième opus l’a égaré ; le voilà écartelé entre des directions divergentes qui se rassemblent mal, à la façon des retournements de situation abracadabrantesques des opus originaux.
Pour autant, la thématique abordée passionne : si le premier volet représentait la renaissance du Mal par le souvenir indélébile mêlant traumatisme, fascination et racolage médiatique, si le deuxième interrogeait la place du Mal et de la violence dans une société qu’elle contribue à unifier et donc à rassembler, cette clausule investit la contamination du Mal, sa propension à déteindre sur des corps et des esprits fragilisés par les circonstances. De victime, la ville mute en bourreau harceleur qui crée elle-même ses propres monstres, à l’instar du clown tueur inventé par Stephen King qui résulte du passé industriel de la small town. Nous regretterons cependant que le processus de transformation se montre aussi balourd, Myers mutant en grand-père soucieux de transmettre son art au petit-fils symbolique qu’il n’a jamais eu. Aucune subtilité ne construit l’évolution de Corey, avatar du héros cher au cinéma de John Carpenter, auquel le réalisateur rend ici hommage par de multiples clins d’œil – pensons au plan sur la voiture lancée à toute allure, inspiré de Christine (1983). L’ironie tragique de Gordon Green n’a plus droit de cité, remplacée par des notes feel good épouvantables qui donnent d’abord l’impression de fausseté consciente – nous attendons alors leur éclatement – mais qui se confirment à terme. L’ultime plan sur le masque ne dit rien, du point de vue de sa mise en scène, sur le « changement de forme » qu’évoque Laurie.
C’est dire qu’il ne fallait pas clore Halloween puisque son principe même, à savoir la diffusion du Mal, ne saurait s’achever. Une œuvre forcément décevante mais que les sinuosités labyrinthiques du scénario rendent intrigante et, à l’instar des deux opus précédents, originale.
Pour autant, la thématique abordée passionne : si le premier volet représentait la renaissance du Mal par le souvenir indélébile mêlant traumatisme, fascination et racolage médiatique, si le deuxième interrogeait la place du Mal et de la violence dans une société qu’elle contribue à unifier et donc à rassembler, cette clausule investit la contamination du Mal, sa propension à déteindre sur des corps et des esprits fragilisés par les circonstances. De victime, la ville mute en bourreau harceleur qui crée elle-même ses propres monstres, à l’instar du clown tueur inventé par Stephen King qui résulte du passé industriel de la small town. Nous regretterons cependant que le processus de transformation se montre aussi balourd, Myers mutant en grand-père soucieux de transmettre son art au petit-fils symbolique qu’il n’a jamais eu. Aucune subtilité ne construit l’évolution de Corey, avatar du héros cher au cinéma de John Carpenter, auquel le réalisateur rend ici hommage par de multiples clins d’œil – pensons au plan sur la voiture lancée à toute allure, inspiré de Christine (1983). L’ironie tragique de Gordon Green n’a plus droit de cité, remplacée par des notes feel good épouvantables qui donnent d’abord l’impression de fausseté consciente – nous attendons alors leur éclatement – mais qui se confirment à terme. L’ultime plan sur le masque ne dit rien, du point de vue de sa mise en scène, sur le « changement de forme » qu’évoque Laurie.
C’est dire qu’il ne fallait pas clore Halloween puisque son principe même, à savoir la diffusion du Mal, ne saurait s’achever. Une œuvre forcément décevante mais que les sinuosités labyrinthiques du scénario rendent intrigante et, à l’instar des deux opus précédents, originale.
Je ne vais rien dévoiler du film car je suis un très grand fan depuis des années et que je n'aimerais pas que l'on me spoile mais pour moi halloween end est le plus réussi de la trilogie et à mon sens le plus surprenant et cette bataille finale mondieux cette bataille finale juste une pure merveille merci pour tout Jamie Lee curtis merci ^^
On voit Michael myers juste 15 minutes. Dégoûté pour une fin pas à la hauteur d’Halloween Kills. On s’est attardé sur Corey plutôt que sur la fin dés personnage principaux comme Michael myers.
Le film qui doit faire la grande messe d'Halloween et nous attirer dans la salle sombre pour bouffer du POP Corn se termine et finalement dans ces circonstances heureusement. Une comédie burlesque sans queue ni tête, au scénario improbable à la limite du grand foutage de gueule, une vrai arnaque pour tout les amoureux de la franchise...oublié le suspens, l'angoisse, C'est un psycho drame infantile où un décérébré dont on se fout, est en mal d'une romance impossible pour vous résumé cette comédie où Michael Myers n'apparaît que cinq minutes pour un combat finale avec une retraité où le ridicule est au sommet de son art (on rigole pour le coup vraiment). Ce film est une vrai bullshits et moi l'enfant qui paye sa place pour un tour de train fantôme de fête foraine en carton pate complètement pourri. Bon manège si cela vous tente. Pour moi rien, ni personne n'est à sauver, tous complice et conscient du désastre imaginé pour nous faire passer à la caisse et le reste à la broyeuse d'une casse auto.
Franchement l’ambiance bien énigmatique nous met l’eau à la bouche mais il ne devanceras pas Halloween kills ..l’histoire a ni queue ni tête ça n’est même pas une suite en soit je suis vraiment déçus du film je vais m’arrêtez la pour ne pas spoil mais le personnage du jeune homme à lunette (pour ceux qui ont vus) et de trop on perd le fil conducteur
Nul. Le scénario est inexistant, ce n'est absolument pas un Halloween la fin est décevante comme le reste du film d'ailleurs
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