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    Halloween Ends
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    2,0
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    319 critiques spectateurs

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    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    691 abonnés 3 014 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 octobre 2022
    Halloween Ends n’est que dispersions, éparpillements, mises en réseau de toute une saga qui ne sait comment s’achever puisque du Mal nous ne saurions conjurer la présence. Et sur ce point, le long métrage se montre lâche, incapable d’incarner par l’image ce qu’il doit déléguer au verbiage incessant d’une voix off assurée par Jamie Lee Curtis. David Gordon Green ne semble plus avoir confiance dans la puissance significative de ses plans ; le chaos du deuxième opus l’a égaré ; le voilà écartelé entre des directions divergentes qui se rassemblent mal, à la façon des retournements de situation abracadabrantesques des opus originaux.

    Pour autant, la thématique abordée passionne : si le premier volet représentait la renaissance du Mal par le souvenir indélébile mêlant traumatisme, fascination et racolage médiatique, si le deuxième interrogeait la place du Mal et de la violence dans une société qu’elle contribue à unifier et donc à rassembler, cette clausule investit la contamination du Mal, sa propension à déteindre sur des corps et des esprits fragilisés par les circonstances. De victime, la ville mute en bourreau harceleur qui crée elle-même ses propres monstres, à l’instar du clown tueur inventé par Stephen King qui résulte du passé industriel de la small town. Nous regretterons cependant que le processus de transformation se montre aussi balourd, Myers mutant en grand-père soucieux de transmettre son art au petit-fils symbolique qu’il n’a jamais eu. Aucune subtilité ne construit l’évolution de Corey, avatar du héros cher au cinéma de John Carpenter, auquel le réalisateur rend ici hommage par de multiples clins d’œil – pensons au plan sur la voiture lancée à toute allure, inspiré de Christine (1983). L’ironie tragique de Gordon Green n’a plus droit de cité, remplacée par des notes feel good épouvantables qui donnent d’abord l’impression de fausseté consciente – nous attendons alors leur éclatement – mais qui se confirment à terme. L’ultime plan sur le masque ne dit rien, du point de vue de sa mise en scène, sur le « changement de forme » qu’évoque Laurie.

    C’est dire qu’il ne fallait pas clore Halloween puisque son principe même, à savoir la diffusion du Mal, ne saurait s’achever. Une œuvre forcément décevante mais que les sinuosités labyrinthiques du scénario rendent intrigante et, à l’instar des deux opus précédents, originale.
    InCaudaVenenum
    InCaudaVenenum

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 octobre 2022
    Boulgouuuurrrr les lecteurs! Le film commence au bout d'une heure. L'histoire n'a aucun sens... Une demi étoile pour tous les efforts déployés par les techniciens qui ont fait le film. John tu as deconné là. La bise
    Adikat
    Adikat

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 octobre 2022
    Très déçu de ce dernier volet. Le film commence au bout d'1h et quelque avec une histoire sans vraiment de sens à mon goût. La fin laisse réellement à désiré.. Un film aussi mythique avec son personnage emblématique et charismatique ne peux mourir aussi facilement.
    En bref, je suis extrêmement déçu de découvrir une fin pareil.
    Je ne vous le conseil pas au cinéma, vous ne ratez rien. Attendez un peu pour le trouver sur un site streaming.

    Peace.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    175 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 septembre 2022
    il est la suite d'Halloween Kills sorti un an auparavant. Initialement prévue pour sortir en 2021, le film est comme son prédécesseur repoussé d'un an à cause de la pandémie de Covid-19. Aux États-Unis, le film sort simultanément au cinéma et sur la plateforme de streaming Peacock
    Halloween Ends met en scène pour la septième et dernière fois Jamie Lee Curtis dans le rôle de son personnage iconique de Scream Queen Laurie Strode. Andi Matichak reprend également son rôle d'Allyson pour la troisième fois, James Jude Courtney reprend lui aussi son rôle de Michael Myers avec, une fois de plus, le retour de Nick Castle pour un caméo. En outre, Kyle Richards retrouve son rôle de Lindsey Wallace après l'avoir interprétée en 1978 dans Halloween : La Nuit des masques puis en 2021 dans Halloween Kills. Will Patton revient lui aussi dans la peau du personnage de l'officier Frank Hawkins. Un nouveau personnage central dans l'intrigue du film fait ici son apparition : Corey Cunningham qui est interprété par Rohan Campbell.
    Conclusion de la trilogie pilotée par David Gordon Green et produit par la société de Jason Blum, Halloween Ends marque une volonté des scénaristes d'apporter un final spectaculaire et émotionnel à la lutte entre Michael Myers et Laurie Strode, commencée il y a quarante-quatre ans. Dans le but d'apporter de la diversité à sa trilogie, le réalisateur déclare que ce chapitre final explore davantage le côté intime de l'histoire et des personnages. L'intrigue du film se déroule quatre ans après les événements d'Halloween Kills et raconte le parcours de Laurie Strode pour se reconstruire une vie normale après la mort de sa fille. Alors qu'elle essaie de ne plus être obnubilée par Michael Myers, celle-ci va devoir faire face une nouvelle fois à l'horreur d'une nuit d'Halloween.
    Le tournage doit initialement commencer quelques mois après celui d'Halloween Kills mais le réalisateur David Gordon Green déclare que le tournage d'Halloween Kills était si intense et ambitieux qu'il a préféré se donner du temps avant de commencer le tournage du dernier volet
    Le tournage commence finalement quelques jours plus tard, le 25 janvier 2022 à Savannah, en Géorgie. Le 22 février 2022, l'actrice Jamie Lee Curtis annonce sur les réseaux sociaux avoir terminé de réaliser toutes ses scènes pour le film et en profite pour faire ses adieux, avec le cœur lourd, à toutes les rencontres que cette nouvelle trilogie lui a permis de faire, aussi professionnellement qu'humainement. Le tournage principal du film se clôture le 9 mars 2022
    John Carpenter se confie sur la possibilité de produire une suite à Halloween Ends
    les aventures de michael myers ne sont fini vivement la suite
    Napoléon
    Napoléon

    144 abonnés 1 565 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2022
    Une conclusion qui réunie sans surprise toutes les idées de la saga. On a l'impression de voir un énième remake. Néanmoins le personnage de Corey est extrêmement intéressant et est le point fort du film. En effet, son personnage représente l'aliénation d'une société violente, individualiste, sans coeur, une société où le mal engendre le mal. Mais malheureusement, cette lecture est très mal exploitée et se conclue lamentablement. On aurait aimé que l'idée aille jusqu'au bout.
    Cinememories
    Cinememories

    483 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 octobre 2022
    Cela fait maintenant quatre ans que David Gordon Green s’est lancé dans une entreprise aussi périlleuse que stimulante, donner une seconde vie à une franchise particulièrement marquée par les méandres de la série B. En lui accordant des libertés sur la figure du légendaire croquemitaine masqué de John Carpenter, l’incantation aura au moins réussi à capter cette aura malveillante qui plane sur Haddonfield, à défaut d’en tirer l’efficacité souhaitée des scènes de massacres, sans âmes ni haine. Le mal est donc bien désincarné et ce n’est pas le chamboule-tout psychotique et collectif du volet précédent qui nous l’a fait découvrir. Le changement de perspective avait tout pour plaire, mais ce rendez-vous manqué débouche inévitablement sur une conclusion qui sonne comme une nouvelle fausse bonne idée, quitte à mettre de côté l’épique, la sororité du premier volet de la trilogie, ainsi que la continuité avec l’hyperbole de son périple, Kills.

    Comment pouvons-nous retrouver nos personnages, suite à un tel massacre, dans une longue nuit qui n’en finissait plus ? Fatalement amochés, mais surtout vidés de leur substance guerrière. La logique de ce parti-pris témoigne d’un recul nécessaire, laissant alors le cinéaste et son équipe sonder les conséquences et les représailles d’habitants, qui sont devenus des monstres à leur tour et non à leur insu. Malheureusement, cette idée s’envole aussi rapidement qu’un enfant tombé de son nid, car l’ouverture viendra provoquer le spectateur, qui n’a plus que la peur pour le transcender. Le désir de violence passe par un acte violent à son égard et il fallait une touche des lus explicites, afin de nous replonger dans le bain. Blumhouse nous a habitué à mieux, sans forcément prendre son audience pour des loques, mais ici, le couperet est si peu aiguisé qu’il laisse plus de traces qu’il n’en faut sur son passage. Flashbacks et récapitulatifs sur voix-off se révèlent alors très insupportables.

    Ce qui suit n’est pas non plus subtil et vadrouille sans point de vue, afin de noyer Laurie Strode (Jamie Lee Curtis) et Allyson (Andi Matichak) dans un environnement toujours aussi toxique. Quant aux autres survivants, ne comptez pas sur nombre d’absences dans ce troisième acte fauché et qui essaye maladroitement de surfer sur l’ambiance du « Sang du Sorcier ». La désertion soudaine de Michel Myers laisse alors un vide qu’il faut combler et l’axe du pas si timide Correy (Rohan Campbell) semble bien s’acquitter de la tâche, avant que l’on fonce tête baissée dans les codes balisés du slasher, que l’on souhaitait initialement démanteler. La seconde partie de l’intrigue rembobine donc tout ce qu’il y a de convenu et nous le sert sans prétention et sans intensité. Ni les mises à mort des personnages détestables, ni la mise en scène, ni les héros, ni la musique parviendront à convoquer une réaction décente du public, pleinement engagé dans un marathon sanglant et qui n’attend qu’on lui offre sa dernière part du gâteau. Autant annoncé que son goût est fade, car mélangée à son lot de frustrations, la saga des Strode et de Myers est loin d’atteindre son repos espéré. En insistant sur la vieillesse d’un genre à l’agonie, le film se transforme, malgré lui, en un proto-nanar, qui n’a plus rien à faire des final girls et préfère camper derrière la résilience, comme accomplissement absolu et indéfectible.

    On y hurle bêtement à la vengeance, avec la certitude de capitaliser sur un ultime affrontement mythologique, pourtant, « Halloween Ends » sonne creux après avoir rapidement épuisé ses cartouches. Il n’échappe pas à ses symptômes, qu’il a traînés depuis sa résurrection en 2018, mais ne laisse pas pourtant un souvenir impérissable, car sa quête mystique de la haine colle parfaitement avec le sujet. Dommage que l’on se soit uniquement contenter de l’étouffer avec une artificialité, qui rime avec des métaphores et allégories du mal. Ce qui est sûr en tout cas, c’est que la relecture est loin de s’en inspirer dans sa narration, qui continue de décevoir. Gordon Green est donc loin de rassurer pour tenir la trilogie de « L’Exorciste » qui s’annonce.
    kersakof
    kersakof

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juillet 2022
    Vraiment nul .. histoire dénuée de sens, c'est plat, a part prendre plaisir à le voir tuer quelques personnes je le déconseille.
    Floki
    Floki

    7 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 novembre 2022
    C'est très, très très long à démarrer. C'est mieux que Halloween Kills dans le jeu d'acteur, mais ça reste du même niveau pour le reste, en gros, c'est moyen.

    spoiler: Meyer qui transfert "le mal" dans le gamin pour qu'il tue a sa place (et en plus, il récupère même les pouvoirs, c'est génial n'est ce pas ?) j'trouve pas ça terrible. On ne sait même pas pourquoi Myers fait ça ? Pourquoi il a besoin d'un "acolyte" ??? Depuis quand Myers fait ami-ami avec un type ? Depuis quand il a besoin d'être a 2 pour tuer des gens ?? C'est débile. Et c'est sans parler de la petite scène ou Corey se bat avec Myers et il arrive a le mettre au sol et a lui enlever son masque ! Alors que Myers a une force surhumaine, enfin bon, sûrement la vieillesse hin.


    Puis l'histoire entre la môme et Corey, ça sert vraiment a rien au film, c'est long, ennuyant et sans intérêt.

    Au final, sur les 1h50 de film, nous voyons Myers que 10mins... A croire qu'il se fait trop vieux alors il passe le flambeau pour la retraite...
    MATTHIEU COLLIGNON
    MATTHIEU COLLIGNON

    9 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 octobre 2022
    HALLOWEEN ENDS met brillamment un point final à légende du croque mitaine entamé il y a 44 ans. Par une mise en scène étonnante et familière bien plus travaillée que le précédent opus (Kills). John Carpenter à l'écriture et la composition ; David Gordon Green à la réalisation réussissent à surprendre le spectateur. Ce film parle de plusieurs sujets intéressant le regard des autres / le cycle de la violence et à ma grande surprise de l'idée que j'ai développée de mon précédent film « L'IMITATEUR » que « Les monstres engendrent les monstres ». Aujourd'hui il ne s'agit plus de savoir si Myers est un monstre car il en est un, mais de savoir si la société est devenue un monstre à cause de lui. Par des plans de caméras soignés Halloween Ends rend hommage au chef d’œuvre de 1978 (Reflets, jeux d'ombres, silhouettes) le croque mitaine est omniprésent nous ne le voyons pas mais il là. La scream queens Jamie Lee Curtis affronte ses démons avec passion, rappelons que avant Ellen Ripley (Alien) avant sarah connor (Terminator), Laurie Strode est une des premières femmes de fiction à rivaliser tant sur le point de la puissance du personnage (Simple mais puissant) que sur le point central qu'elle à autour de la saga (sans Laurie pas de Myers, Sans Myers pas de Laurie) C'est l’essence du genre du « Slasher ».
    sissi730
    sissi730

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 octobre 2022
    Difficile d'appeler ce film Halloween puisqu'il n'y a quasi aucune mention de la fête et quelque chose comme 10 min de Michael Myers en tout. Un nouveau personnage est introduit et à un moment j'ai cru qu'ils en faisaient le nouveau Michael mais non c'est la fin et c'est très très nul et prévisible. Quel dommage....
    Christophe Faber
    Christophe Faber

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 octobre 2022
    Vraiment nul .. histoire dénuée de sens, c'est plat, a part prendre plaisir à le voir tuer quelques personnes je le déconseille.
    Superheroine
    Superheroine

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 octobre 2022
    Film absolument grotesque et ennuyant. Une honte pour la saga Halloween et un triste hommage à Moustapha Akkad. Un Michael Myers faible et inexistant. Une fin pathétique et risible. Les fans resteront amers. Quasiment 14 euros pour aller voir cette m**de alors que je vais au cinéma une fois par an. Restez chez vous.
    Dm25
    Dm25

    1 abonné 31 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 octobre 2022
    De la peine de voir Jamie Le Curtis venir cachetonner dans ce navet minable...Halloween , il y en aura un et un seul à retenir: le tout premier de Carpenter....
    Au prix où on nous dépouille au cinéma, n'allez pas perdre 10 euros de plus pour ce navet ultime.
    Estonius
    Estonius

    3 381 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2024
    Alors évidemment ceux qui se sont précipités sur le film en espérant voir Michael Myers trucider une pauvre victime innocente tous les 10 minutes sont déçus. Parce que le propos de ce film est complétement ailleurs. Ce film nous décrit la haine, la haine crasse, celle qui condamne sans savoir, avec des mots des brimades et même des coups. Le héros malheureux magnifiquement interprété par Rohan Campbell est victime de cette haine au quotidien c'est cela que raconte le film et ça fait bien plus peur que les meurtres à répétition de Michael Myers. Ceci étant il fallait bien finir en en sacrifiant au mythe mais cette fin est la grosse faiblesse du film
    Fabien S.
    Fabien S.

    551 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2022
    Un très bon film d'horreur. Un grand final bien orchestré et bien maitrisé qui donne des frissons et à glacer le sang.
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