Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Puissant et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Loin d’un énième package «banlieue-deal-misère-violence», O Fim do mundo sert une partition froide, acérée, ne sombrant dans aucune lourdeur et jouant de l’humour avec suffisamment de distance pour ne rien désamorcer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par François Forestier
C’est du cinéma d’écorché vif, sensible et chaleureux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Le réel, plutôt que de se déployer librement, se réfugie dans la convention narrative. C’est d’autant plus dommage que, dès qu’il oublie un instant de fictionnaliser, le film s’imbibe des nuits fauves du quartier et décèle sa fin prochaine dans le kaléidoscope de ses lueurs mourantes.
Première
par Thomas Baurez
Le récit assez convenu finit malheureusement par se retourner contre le propos supposé du film, présentant ce territoire maudit comme un coupe-gorge où la population n’a pas d’autres choix que de s’entretuer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Michel Bezbakh
Peu ancré géographiquement, le film pèche aussi par son traitement des personnages : on est près de leurs corps, mais ils semblent loin. Reste le plaisir de découvrir des figures inhabituelles au cinéma, et d’écouter leur créole capverdien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Puissant et fascinant.
Libération
Loin d’un énième package «banlieue-deal-misère-violence», O Fim do mundo sert une partition froide, acérée, ne sombrant dans aucune lourdeur et jouant de l’humour avec suffisamment de distance pour ne rien désamorcer.
L'Obs
C’est du cinéma d’écorché vif, sensible et chaleureux.
Cahiers du Cinéma
Le réel, plutôt que de se déployer librement, se réfugie dans la convention narrative. C’est d’autant plus dommage que, dès qu’il oublie un instant de fictionnaliser, le film s’imbibe des nuits fauves du quartier et décèle sa fin prochaine dans le kaléidoscope de ses lueurs mourantes.
Première
Le récit assez convenu finit malheureusement par se retourner contre le propos supposé du film, présentant ce territoire maudit comme un coupe-gorge où la population n’a pas d’autres choix que de s’entretuer.
Télérama
Peu ancré géographiquement, le film pèche aussi par son traitement des personnages : on est près de leurs corps, mais ils semblent loin. Reste le plaisir de découvrir des figures inhabituelles au cinéma, et d’écouter leur créole capverdien.