Derniers Avis : L'Histoire sans fin - Page 7

L’histoire sans fin : Une fable fantastique incroyable et créative au possible. Une aventure poétique et fascinante dans un univers au delà de l’imagination. Vraiment, ce petit bijou fait partie des films cultes des années 80. Car vraiment, ce film est remplit de qualité. Déjà la plus grande, c’est ça réalisation et ses effets spéciaux justes sensass avec une créativité de tous les instants. Et visuellement et artistiquement, l’univers est magnifique et nous fait voyage dans un monde sans limite, un monde assez médiévale fantastique et on est direct dedans. Et je dis à le re souligné, les effets spéciaux sont géniaux, même pour l’époque et de nos jours, il y en a qui fondent même pire : respect. Donc avec un univers aussi riche, on se devait d’avoir un scénario à la hauteur et il y ait. C’est encore une fois très créatif et original, l’aventure est palpitante, on rencontre beaucoup de personnages intéressants et on est a fond avec le petit garçon qui lis car c’est un petit qui va trouver un livre qui fait vivre directement l’histoire, ou le lecteur est le héros, et moi je dis, c’est ça la magie d’un livre. De plus, la bo du film est parfaitement en adéquation avec l’univers et elle est assez épique il faut le dire. Et pour finir, les acteurs sont vraiment bons. De tout façon, tous est excellent dans le film, il y a rien a jeter, a voir absolument.

Il faut reconnaitre le côté magique de l'histoire. Ce petit garçon qui a son double (à tel point que lorsqu'on a le livre, le vrai, dans la main, le texte est écrit avec deux couleurs pour différencier qui parle) se débrouille très bien. Le hic vient des personnages qu'il rencontre qui sont parfois futiles et laids.

Comme pas mal de films des années 80, ça a vieilli ! Tout est kitsch au possible : des personnages secondaires inutiles à la coupe de cheveux du héros en passant par les effets spéciaux ridicules ou bien encore la platitude affligeante des dialogues. Mais voilà, on a vieilli avec le métrage et il faut donc le voir avec des yeux d’enfant !

C’est comme dans un conte. Voilà trente ans de cela, Wolfgang Petersen portait à l’écran le roman de Michael Ende, "L’Histoire sans fin". Au sein d’une période particulièrement fertile en films de fantasy, celui-ci fait figure d’exception : l’un de ces films qui ont quelque chose de plus. Mais, le film a-t-il encore sa place aujourd’hui ? Le craquement sinistre du placard dont la porte s’ouvre d’elle-même fait plus peur que le monstre, une fois sorti; les rêves que l’ont fait d’un événement sont toujours plus merveilleux que l’événement lui-même. C’est là la force de l’imagination (cette sœur ennemie de la fiction narrative). Car, enfin, quel artiste peut espérer concurrencer les frissons de l’espoir et de la peur ? Non content d’y prétendre, "L’Histoire sans fin" se dote du plus terrible méchant qu’on puisse imaginer : le Néant. Ce Néant qui menace de détruire à jamais Fantasia, le pays de l’imaginaire-roi et qui n’est pas autre chose que l’absence d’espoir, de rêve, de créativité chez les humains. Et comment représenter avec justesse un tel Néant ? Car c’était là le véritable enjeu du film. Si les glaçantes descriptions, dignes de Jérôme Bosch, y pourvoient sans peine dans le livre de Michael Ende, qu’en est-il de l’image, par essence tenue de donner corps aux visions de l’imagination ? Le chaos et la mort sont le lot du Néant du livre; la tristesse et le désespoir, de celui du film. Et cette résignation, cette mélancolie, sont le véritable ennemi, un antagoniste au moins aussi puissant à Fantasia que dans le monde réel, hors de la salle de cinéma, en cette année 1984 (et aujourd’hui, certainement…). Aux démonstrations grotesques, "L’Histoire sans fin" préfère l’écriture précise de ses personnages, leur physionomie, avec au premier plan Noah Hathaway, qui porte le film sur ses épaules. Pour film à effets qu’il soit, "L’Histoire sans fin" préfère toucher à une caractéristique fondamentale de son auditoire : le besoin de merveilleux, et la perception inconsciente du fait que, dans le combat entre ce Néant et l’imagination, il y va de bien plus que du simple destin d’une contrée de fantasy. Pourtant enfant des années 1980, celles de l’avènement du «vivre vite» triomphant, "L'Histoire sans fin" résiste, oppose au désespoir ambiant un récit soigné qui prend son temps, un bestiaire fourni. Mais, ce Néant lui donne des airs de film à thèse, de conte moral, voir de sagesse ancestrale obligatoirement perdante face à la modernité, consciente de sa propre ringardise, et de sa propre obsolescence. Ce n’est pas pour cela que le film baisse les bras; ce qui faisait, en 1984, figure de pose ringarde assumée (malgré la qualité non démentie de ses effets spéciaux) fonctionne tout autant aujourd’hui. Il suffit au film d’avoir confiance en lui-même. "L’Histoire sans fin" constitue, aujourd’hui encore, le legs précieux de la tradition du conte oral, ce miroir parfois profondément fantastique qui nous parle pourtant d’un nous profond bien réel. Par son titre même, "L’Histoire sans fin" dit tout d’emblée : que le conte perdure, et perdurera toujours. Ce faisant, le film fait appel à une donnée essentielle de l’art du conteur : une soif de merveilleux inextinguible, qui constitue l’un des fondements du cinéma et qui donne à "L’Histoire sans fin" une place de choix qui lui revient et lui reviendra toujours

super film!
j'avais 9,10 ans quand je l'ai vu au cinéma et j'en garde un très bon souvenir.je n'ai pas lu le livre,donc,je ne peut pas comparer,mais c'est film magique,qui fait rêver,les effets spéciaux étaient très bien pour l'époque.

Les animations sont un peu passées, tout comme l'histoire, mais cela reste amusant pour les enfants. J'avais aimé à l'époque. Les enfants jouent bien et l'histoire est une vraie aventure. Bref, c'est pas mal.

Oh que dire si ce n'est qu'il s'agit d'un film culte de mon époque, qui m'a fait réver, avec des personnages sortis de légendes, tous merveilleux, autour de Bastien.

"Reach the stars, fly a fantasy" ..."L'Histoire sans fin", voilà une belle invitation au voyage et à l'aventure pour peu que l'on est gardé sa précieuse âme d'enfant. Le pari d'adapter ce roman si riche sur grand écran était grand mais Wolfgang Petersen a relevé le défi haut-la-main et nous livre là une petite perle culte, qui a fait rêver de nombreux enfants et ce n'est pas fini j'espère bien. L'histoire aborde une thématique non inédite; Bastien, petit garçon de 10 ans qui a perdu sa mère et pour qui la vie est difficile. Alors il se réfugie et s'évade dans ses livres et en particulier dans un où cette fois, ce sera lui le héros. Alors Atreyu, petit héros brave nous emmène avec lui à Fantasia ... Thème "basique" mais parsemé de métaphores intéressantes comme le marais de la mélancolie où si l'on s'arrête d'avancer, on meurt, ou le fait que Bastien doive s'abandonner pleinement au livre sans plus toucher terre, autant d'idées très poétiques bien illustrées. C'est une aventure comme on les a aimé enfant et comme on les aimera toujours, avec des créatures attachantes; Falkor (qui ne rêvait pas tout gosse de faire une balade à dos de Falkor ?), le Golem, Moorlah, des lieux énigmatiques, de beaux sentiments tel que le courage, la confiance, l'amitié, ... et de l'émotion; la mort d'Artax est particulièrement mémorable. C'est un film plein de promesses, certes pas avec des effets spéciaux à couper le souffle, on est en 1984; pour autant bien qu'ils aient vieillis, les décors, les costumes, les couleurs sont magnifiques et arrivent toujours à me transporter dans ce monde magique et poétique, ce qui fait en parti tout le charme du film, on y croit. Ajouté à cela la superbe B.O par Limhal, une perle. Un bien bel hommage donc à la formidable imagination de l'enfance. Onirique à souhait.

ça m'a plut. mais j'ai pas aimé quand le cheval est mort dans le sable mouvant. FalKor est trop mignon!
Les aventures extra. Othilie 9 ans et 1/2.

Très marqué années 80 avec ses marionnettes et ses matte paintings d'époque, le film a bien vieilli. Ce voyage du héros, en somme très classique, est devenu culte aux fils des années grâce à son univers magique et poétique, son ambiance mélancolique (avec certains passages tristes) et bien sur son inoubliable bande originale. Un joli conte fantastique qui a marqué mon enfance. Dans la veine d'un "Alice au pays des merveilles" ou "Willow", réservé aux nostalgiques. (Bien)

Une superbe aventure dans laquelle on bascule entre la réalité et le rêve.Le casting est très bon et la chanson du générique est juste géniale.
Etant fan de ce film depuis mon enfance je le suis toujours autant malgré les années passées.
De plus les personnages sont très attachants,avec une préférence pour moi pour l'escargot,Falcor,Atreyu et Artax.

Que de bons souvenirs ! Une bonne musique, des personnages attachants, une histoire originale. Par contre, avec le temps, je trouve qu'il a énormément vieilli.

un film de fantasy qui a malheureusement mal vieili. Le manque de rythme est là : dans la première partie du film, on voit Bastien, souffre-douleur de son école, se faire harceler par ses camarades, ensuite le début de la lecture, on voit juste des créatures et des pierres qui papotent. Ensuite, seconde partie, la quéte d'Atreyu, avec un Bastien qui pleure pour un rien. Personellement, les suites sont mieux. dans celui là, bastien n'entre dans le livre qu'a la fin du film alors qu'ils auraient du le faire rentrer dès le début ! la scène du dragon dans la vile à la fin est un peu inutile : lorsque Bastien effraye ses bourreaux de camarades avec le dragon, et sont censés avoir compris, mais vu qu'ils continuent à le harceler dans ses suites ! Sinon, le film reste assez sympa.

Je ne cesserai jamais d'aimer ce film, qui a le même âge que moi !! Les scènes se déroulant dans la vie réelles ne sont pas d'une folle originalité, mais une fois parti dans Fantasia, ce film est un chef d'oeuvre de poésie et de fantastique, avec une galerie de personnages tous aussi travaillés et attachants les uns que les autres. On rit, on tremble, on pleure, qu'on ai 10 ans ou 40 ans. Les effets spéciaux n'ont pas tant vieilli, l'histoire est belle et magique avec des notions de bien et de mal, de courage et de rêves aux résonances toujours actuelles.
Par contre, pour ne pas perdre cette magie, il est interdit de regarder le II et le III qui sont de vrais navets!!

L'Histoire Sans Fin est un conte initiatique qui a bercé la jeunesse de toute une génération de bambins en leurs rappelant le pouvoir immense de l'imagination. Aujourd'hui, les effets spéciaux du film paraitront sans doute un peu dépassés pour les jeunes spectateurs habitués aux images de synthèses. Ils font pourtant partie de ce qui se fait de mieux en animatronique. Un autre avantage de ce film est qu'il ne prend jamais les enfants pour des idiots et n'hésite pas à aborder des thèmes durs (le passage dans le marécage de la mélancolie a traumatisé plus d'un gosse). Cet aspect sera malheureusement absent des deux suites. En bref, un bon petit film générationnel qui n'a rien perdu de sont intérêt trente ans plus tard pour peu qu'on ait un brin d'imagination.