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Santu2b
264 abonnés
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2,0
Publiée le 21 février 2019
Malgré le tendre souvenir d'enfance qu'il rappelle à beaucoup, "L'histoire sans fin" est un film qui a très mal vieilli. Après le succès de son "Bateau", Wolfgang Petersen signe son premier film américain en 1984 dans lequel un garçon s'échappe dans un monde imaginaire à l'aide d'un livre. Il est commun de dire que ce film est divisé en deux parties : l'une américaine et remplie de clichés, située dans la vie réelle et l'autre, germanique, située dans un conte. Dans cette seconde partie qui emprunte beaucoup au "Seigneur des anneaux", il est difficile de succomber aux charmes de cette galerie de personnages en carton-pâte. "L'histoire sans fin" n'a pas seulement vieilli au niveau visuel, mais aussi au niveau sonore et conceptuel. En témoigne cette bande-son entre le New wave et le disco, post années 1970 à laquelle on n'adhèrera pas. Et un scénario finalement assez classique et léger, ainsi que ce côté tire-larmes assez appuyé. Un film qui n'aura pas résisté au temps.
L'histoire sans fin est une jolie fable, même s'il faut admettre qu'elle a pris un sacré coup de vieux depuis maintenant 30 ans. Je ne fais malheureusement pas partie de la génération pour qui ce film est absolument culte, même si je peux comprendre ce statut. Pour autant, je suis loin d'être en admiration devant ce film. J'ai trouvé les acteurs assez moyens (surtout les enfants). Mais, forcé d'admettre que l'histoire fait vraiment rêver. On voyage à travers ces mondes imaginaires. L'univers présenté est vraiment riche et donne envie de voir la seconde partie du film. Les différents personnages (Falkor, Gmork) sont fascinants et le film est précurseur des grands film de fantasy que l'on connaît aujourd'hui (Le Seigneur des Anneaux entre autres). En revanche, les effets spéciaux et costumes ont bien mal vieilli (le géant mangeur de pierre, les tortues, escargots, chauves-souris géants). Ça fait quand même assez cheap. Mais tout de même, le film a un indéniable charme.
Réalisé en 1984 par l'excellent cinéaste allemand Wolfgang Petersen (« Le bateau », « Troie » etc...), ce superbe film de fantasy possède l'incroyable pouvoir de traverser les âges avec une stupéfiante facilité. Il le doit beaucoup à la « magie » qu'il dégage et à la très sympathique galerie de personnages qui peuple l'univers imaginaire de « L'histoire sans fin »... Le jeune Bastien, âgé de 10 ans, découvre un ancien livre qu'il dérobe à un mystérieux bouquiniste. Dès qu'il lit la première page, il se trouve « plongé » au cœur d'un complot visant à prendre le pouvoir d'un lointain univers, peuplé de créatures toutes plus « exotique » les unes que les autres. Cette très belle histoire, totalement dénuée de violence gratuite, s'impose réellement comme un modèle du genre et peut (doit) être proposée à vos enfants sans la moindre arrière pensée. Évidemment, après toutes ces années, les effets spéciaux ont largement vieilli, mais la qualité du discours reste étonnamment vive et justifie l'énorme capital sympathie dont bénéficie, très justement, cette œuvre immortelle.
Souvenir de mon enfance. Je l'ai revu avec ma fille de 7 ans qui avait les yeux écarquillés comme moi à son âge et c'est là la grande qualité du film : sa féerie qui émerveille les gamins.Après je l'ai revu avec des yeux l'adulte... Et il faut bien le dire, il y a de la magie dans ce film mais aussi des trucages immondes et un scénario pas toujours très fin... La fin également assez bordélique et en panne d'inspiration. Mais quel plaisir de revoir atrayou, falcor le dragon et l'homme mangeur de pierre !!!
L’Histoire sans fin est un film qui a marqué les enfants des années 80. Il se présente en effet comme une sorte de revanche pour tous les enfants qui ont plus ou moins été un jour la tête de turc de certains de leurs camarades de classes. Le film est ainsi une alternance entre la triste réalité que vit Bastien et le monde fictif de Fantasia que Bastien lui-même pourra influencer au point de le sauver : de victime, il passe au rang de héros ! Cet univers est l’élément le plus important du film. En effet, les maquillages et les effets spéciaux sont magnifiques (et sont même plus crédibles que les effets numériques que l’on pourrait trouver de nos jours) et les décors sont splendides, ce qui offre un monde merveilleux et sans cesse renouvelé. Hélas, le regard d’un adulte de nos jours pourrait trouver le film assez bavard et les épreuves peu spectaculairesspoiler: (ainsi, l’affrontement avec Gmork n’est pas montré : on ne voit que le ciel orageux puis le résultat) . On peut donc trouver de nos jours L’Histoire sans fin un peu long mais apprécier pour autant le bestiaire incroyable qu’il nous offre.
Voila l'exemple type du vieux film qu'il faut avoir vu à l'époque, enfant, pour pouvoir en garder un bon souvenir. Si ce n'est pas le cas, vous vous trouvez devant un film qui a considérablement vieilli (effets spéciaux des années 80, monstres en papier mâché, mauvais jeu d'acteur) et avec un scénario uniquement acceptable par les plus jeunes. Bref, ne le sortez pas de l'armoire (même pour faire plaisir au petit dernier, le film est aujourd'hui totalement dépassé à tous points de vue), abandonnez le en 1984 lorsque son univers fantastique a connu le succès
Un petit film enfantin dépaysant, rafraîchissant, insufflant de l'espoir, avec un monde fait de personnages fantastiques très atypiques. Les effets spéciaux vieillissants ont un certain charme. Il y a de bons passages sonores. Pour un film qui tout en défendant la littérature s'avère être à l'honneur de l'enfance et de la rêverie.
Excellente adaptation de la première partie du roman fantastique de Michael Ende. Le jeune lecteur de 'L'histoire sans fin' va se retrouver plongé dans l'univers de Fantasia avec mission de le sauver du Néant qui progresse.
Pour un public d'enfants ce sera un très bon moment. Certes on des loin des débauches d'effets spéciaux et des moyens actuels. Mais le merveilleux et une certaine poésie ce dégagent assurément de cette production. La musique quant à elle, sert l'histoire de manière excellente. En ce sens, c'est une des meilleure BO qu'il m'ait été donné d'entendre. Un chef d'oeuvre. Graphiquement il y a un côté carton pâte, dans les décors et créatures, mais cela reste encore crédible et ne nuit pas du tout à l'immersion. Le réalisateur a su rendre crédible le jeu de ses marionnettes en contournant leurs limitations, c'est du beau travail. Les ados et adultes trouveront le film niais assurément, ils ne sont pas son public cible. Les plus jeunes, eux, seront conquis.
Je l ai vu enfant des dizaines et des dizaines de fois. Depuis j ai grandi. Je l ai revue plusieurs fois, et c est un film aussi bien pour enfant que pour adulte. Pour repondre a certaine commentaire d adulte qui disent que ce n est pas de leur âge: Il y a de forte notion ésotériques, des messages d une simplicité et d une profondeur Inouïe. Il y a du symbolisme, des métaphores de partout, mais il faut avoir un minimum de connaissance traditionnelle en doctrine hindou, indienne, égyptien, grec. Mais comme les Livres n intéresse effectivement plus personne, on est bien dans le thème du film. Et qu on voit le niveau très bas des adultes, alors qu' on a jamais eu autant de connaissance à porter de mains; je m'étonne pas de certain commentaire...
Un joli film fantastique, qui fait travailler l'imaginaire . Les effets spéciaux ont un peu vieillit, mais la magie fonctionne en core. Wolfang Peterson aux manettes est très efficace, et sait diriger ce film, confirmant qu'il est un très bon réalisateur .
Les effets spéciaux désuets ajoutent un charme a ce bijou faussement naïf. L'histoire sans fin accompagné de sa bande son inoubliable est un film puissant et bouleversant, à part et qui m'ont laissé petite des images, des scènes et des sensations inoubliables...
Un tube du Top 50 de mon enfance et la découverte du monde du Fantasy, mais ce film qui est un superbe conte et une ode à la lecture est beaucoup plus que ses bribes de souvenirs. En le revoyant 30 ans après avec mon fils de 9 ans, j’avais peur qu’un esthétisme daté (décor en carton-pâte, personnage fantastique en forme de grosses peluches à la mobilité limitée,…) au regard de ce qui existe aujourd’hui le condamne à ses yeux comme au mien au rang de vieillerie. Mais que nenni !!! Bon au terme de la première scène entre Bastien et son père, d’un échange de regard, on s’est demandé : « Va-t-on plus loin ? » ; mais magie du 7ème art, 15’ plus tard hors de question de sortir de cette quête initiatique mené par deux garçons en montage alternée entre Fantasy (le monde imaginaire et fantastique de Atryu) et notre monde incarné par Bastien. Une aventure poétique mais surtout diablement intelligente. Le monde des contes, histoires et de l’imagination est en passe de disparaitre dans le néant, et ce monde existe uniquement car il est nourri par l’imaginaire des humains. De fait le destin des deux jeunes garçons du film (un vivant dans une histoire et l’autre dans le monde réel des humains) est intimement lié. Grâce à une lecture au second degré de cette histoire, adultes et enfants trouveront toujours de l’intérêt à se replonger dans un film devenu un classique et précurseur du cinéma Fantasy destiné à un jeune public. A voir et revoir en famille convaincu qu’à 9 ans on ne se posera pas les mêmes questions qu’à 14 ou qu’à l’âge adulte. Un bon moment agréablement désuet par sa douceur. Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
Très inventif mais a sérieusement vieilli et s'adresse vraiment, mais vraiment, aux enfants. C'est un peu le Flash Gordon des enfants ! L'idée de scénario est géniale et le film a encore de beaux jours devant lui.