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FRED VINCENT
2 critiques
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1,0
Publiée le 20 janvier 2023
Malgré de bons acteurs; malgré une très bonne musique "Jazz";; ;; ce filme sonne creux! ;; pour ne pas dire insipide et chiant..! aucune émotion sincère ne s'en dégage; bien trop long et redondant; j'ai du mal a comprendre l'intention et le résultat est très décevant;; ne perdez pas votre temps ni votre argent pour ça!
Un film difficile à défendre et pourtant… Il y a des moments où certaines scènes fonctionnent et sont même très réussies sur une durée de 3h09 où l'on finit par retrouver sporadiquement la beauté et la force du cinéma. Mais quand Hollywood se raconte, le miroir se brise et l'on est affligé par ce qu'il peut y avoir de meilleur (sur un temps court) et de pire (sur un temps long) dans cet "écran-miroir". Si le cinéaste tente indéniablement de rendre un hommage à ce 7ème art qui le fascine, il s'embourbe très vite dans la répétition de scènes indigestes, grotesques, qui s’éternisent, se répètent à l’envi, voire à l’ennui, et gâchent ce qui précède et qui aurait pu être un beau moment de cinéma en son montage final. Mais nous assistons à un patchwork d’images chaotiques où l’on cherche en vain ce fil raccordant une narration qui aurait pu donner corps à une belle oeuvre. Des scènes répétitives sortant d’une corne d’abondance ; un peu comme si le cinéaste s'étonnait lui-même de son audace ou... de son budget ! Et pourtant, il y a des moments où l’on est prêt à y croire, jusqu’à la scène suivante qui gâche tout. L'excès, le grotesque, l'histoire du cinéma racontée avec ses enchantements (rares) et ses drames (auxquels on a du mal à croire) sont des fondus au noir qui embuent notre esprit et nous empêchent de recevoir la lumière à laquelle on veut nous faire croire. Dommage ! Dommage !
2h30 d'ennui, je suis parti avant la fin..Brad PITT et Margot ROBBIE crèvent l'écran , mais ça ne suffit pas à compenser une absence de scénario digne de ce nom. Scènes scato et uro inutiles...j'ai bien fait de n'y aller qu'à la séance en matinée je n'ai perdu que 7,10€
Un maelström d'images brillantes pour un gros pudding informe. L'histoire a souvent été racontée depuis "Sunset boulevard". Chazelle aurait bien inspiré de s'appuyer sur un vrai scénario. Au lieu de cela, ses acteurs se promènent dans un bric-à-brac clinquant. Les scènes se traînent en longueur avec complaisance et souvent avec vulgarité. On sait que Chazelle sait faire du cinéma. Cette fois, il a oublié de faire un film.
Grotesque définirait parfaitement ce film ! Les premières minutes décrivent assez bien l’ambiance qui va nous imprégner durant ces 3 heures. Sans attendre on démarre plein pot avec une scène de scatologie bien vite suivie d’urologie ! Evidemment il n’y a pas que ça dans le film mais le ton est donné. Chazelle semble prendre un malin plaisir à nous choquer, à nous provoquer, juste afin de nous faire partager ses phantasmes projetés sur un Hollywood caricatural fait de perversions et de débauches. Mais comme on dit : les gouts et les couleurs …Si on aime alors ; bonne dégustation.
Je ne suis pas du tout sensible à ce point d'habitude mais j'ai pleurer toute l'eau de mon corps pendant une journée entière après avoir vu ce film ! A peine sorti et déjà très probablement le meilleur film de 2023 ! Si il était sorti en 2022 en tout cas il le serait ! Après une rude déception personnelle de la part d'une multitude de blockbusters de 3 heures sorties dernièrement tel que Dune, The Batman (mais pour le coup, excepté sa réalisation il était vraiment mauvais et atrocement surcoté), Avatar 2 et Black Panther 2, j'ai eu ce don javais besoin par dessus tout : un film de 3 heures qui ne m'ennuierais pas et c'est le cas, une des grande qualité c'est son rythme ! J'ai beau enclenché mon mode objectif et creusé par-ci par-là, je ne trouve absolument aucun défaut à cette merveille ! Je veut dire, dans n'importe quel domaine on se sent surpassé : lumière, musique (un vrai orchestre mama mia !), acting, intrigue, personnage, écrite et j'en passe ! L'humanité vient d'assisté à la naissance de LA meilleur fin du cinéma, un hommage et une référence juste indescriptible (c'est vrai, il faudrait inventé un mot p****n !). C'est comme si le film s'était arrêter pendant quelques minutes pour nous parler, nous adresser un message et ce que Damien s'est permis est fou ! Cette expérience à enrichis ma cinéphilie à jamais et m'a rendu fier d'aimer le meilleur des arts qu'est le septième !
Une fresque impressionnante par le réalisateur de "Whiplash" ou encore "La La Land" : cette reconstitution haute en couleur de l'industrie du cinéma des années 1920 propose une vision sans doute exagérée, voire même fantasmée, mais hautement hypnotisante. Elle contient son lot de scènes jouissives, marquantes, parfois hystériques, et finalement magnifiquement adaptées au cinéma. Comme si le style tourbillonnant et musical d'Emir Kusturica rencontrait la nostalgie de Quentin Tarantino dans "Once Upon a Time in Hollywood". Dans ce maelstrom qui entremêle critiques et hommages à cette machine à rêver (et à broyer), pétri d'humour, jonglant allègrement entre les genres, le destin des personnages en devient presque secondaire malgré le charisme indéniable des acteurs, Brad Pitt et Margot Robbie en tête. C'est la seule critique que je pourrai faire, car pour le reste, Babylon m'a vraiment transporté et fasciné !
Un excellent hommage aux débuts d'Hollywood et au déclin du cinéma muet. Margot Robbie est exceptionnelle, tout comme les décors et costumes. Quelques longueurs cependant dans la deuxième partie du film et une fin un peu spéciale en sorte de résumé de l'histoire du cinéma.
??? Les gouts et couleurs ne se discutent pas, ok, mais franchement, pour moi et pas seulement moi, on a passé 3 heures de torture. Un seul mot pour résumer ce film : BORDÉLIQUE!!! On n'a jamais réussi à accrocher. On est sur du genre Project X mais dans les années 20. Malgré un bon casting, ce film fait plus l'apologie de la débauche qu'autre chose. Incompréhension sur les super notes, après comme dit, les goûts et couleurs.. En bref, suivre les débuts d'Hollywood avec des prédatrices prêtes à tout pour réussir, pas pour moi et nous avons tous trouvé ce film NUL A CHIER !!!
Pas grand chose à dire sur ce film de m... prétentieux. Le réalisateur s'est pris pour Tarantino 🤡 Tout sonne faux et le film tenait en 1h50 ! Au bout de 20 min j'avais envie de me barrer... A éviter.
Bien trop long. il y a au moins une heure à couper surtout vers la fin ( les vidéos, les extraits de vieux films, la séquence dans les bas fonds , caves, d'Hollywood...) . les 3 acteurs principaux sont tops, superbe interprétation de Diego Calva surtout.
Ce film aura-t'il trouvé son public? C'est bien la question que je me poste à la fin du visionnage. Brossant principalement un tableau de l'industrie cinématographique américaine sur une décennie, entre la fin des années 20 (du centenaire précédent) et le début des années 30, et surtout du basculement du cinéma muet vers le parlant, au travers de la destinée de deux personnages désireux de se faire une place dans ce milieu, nous voilà plongé dans un monde frénétique qui prétend faire rêver mais qui use de moyens plutôt anxiogènes et qui surtout se montre très nombriliste. Cependant, le film n'a rien de très technique dans le propos, et ne s'axe pas non plus sur l'histoire d'amour sibylline entre Manuel et Nellie. Il décrit plutôt un état des lieux et surtout des mœurs de cette période de transition du 7ème art. Le film nous montre que dans les années 20 lorsque le gotha n'était pas drogué; il était hystérique et obnubilé par le sexe tandis qu'avec les années 30 est arrivée une subite pudibonderie, mais que le beau monde du cinéma restait hystérique et que l'on pouvait tout de même s'éclater (dans tous les sens du terme) grâce à la bienveillance intéressée de la Pègre. Ajouté à cela un personnage féminin principal totalement inconséquent; qui nous martèle que dans le New-Jersey (ils vont apprécier la promo) on mange et on se vautre comme dans une porcherie, qu'on se fait remarquer partout où on passe comme des russes ou des français en vacances à l'étranger et qu'on vocifère des insanités comme dans la plus pure beaufitude de cent ans plus tard; on aura compris qu'il n'y a pas grand-chose à sauver de ce film creux, saoulant et bien trop long pour le peu qu'il raconte. Vraiment, le cinéma s'il ne fait plus rêver, par ce qu'il offre et par ses pratiques, laisse rêveur.
Et pourtant fan de Damien Chazelle. Mais là, que dire, je n'ai pas du tout accroché. On est aux antipodes de ce que nous propose ce jeune virtuose. 1/ Film à éviter avec des moins de 16 ans. 2/ La bande annonce est trompeuse. 3/ C'est long, très long, trop long. Et 4/ C'est d'un glauque inouï. Vous êtes prévenus.