Babylon
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1 644 critiques spectateurs

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Chamar
Chamar

31 abonnés 48 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 23 janvier 2023
La la land ne brillait déjà pas par sa finesse et était déjà bien encombré de références de cinéma qui pesaient des tonnes. Mais au moins y avait-il une sorte de fraîcheur de jeunesse... Là, badaboum ! On n'a plus d'air du tout, entraînés par un montage autoritaire, une musique omniprésente, des cadres étouffants. Sans que cette claustrophobie ne soit jamais vraiment intéressante : les personnages et leurs enjeux sont bien trop ténus pour cela. Et les quelques extraits de film de "l'histoire du cinéma", fenêtres aussitôt refermées qu'entrouvertes, finissent par convaincre qu'en dépit du scénario, dans Babylon, ce qui justement manque le plus, c'est le cinéma.
circusstar
circusstar

142 abonnés 719 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 2 mars 2024
J'y suis allée franchement à reculons, n'ayant pas aimé les précède films de Damien Chazelle et là : un vrai choc cinématographique ! Splendeur et décadence extrême de l'âge d'or d'Hollywood : un hommage au cinéma : vibrant, intense, sans limite.
Les acteurs sont incroyables. Je n'ai pas vu le temps passer. J'ai adoré !
jackflash
jackflash

16 abonnés 87 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 23 février 2023
Comment perdre une après-midi et sortir en colère ? C'est simple il suffit de voir ce nanar de plus de 3 heures, un déroulé qui ne sait comment clôre. De cette saga pâteuse et moralisatrice sur Hollywood, film par ailleurs honteusement bien noté on sort défait, déçu et hagard. Frustré d'être tombé dans un guet-apens. L'argument est compassé, vu et revu, sans aucune originalité de traitement. L'intertainement nous aura tout fait dans le genre film gavant, saoulant. Mais à quoi sont payés les scénaristes ? Brad Pitt joue l'un des rôles d'une star déchue du muet. Aucun des acteurs n'est crédible. Les réflexions sont d'une platitude confondante. Bref, j'arrête parce que c'est nul !
Aimerico
Aimerico

22 abonnés 105 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 20 janvier 2023
Parti au bout de 2heures. De plus en plus trash et ennuyeux. J'avais déjà trouvé lala land long et prétentieux. Je déteste le gore gratuit et je me demande en termes d'anachronismes et d'erreur historiques où se situe de film...une femme réalisatrice ouassistante réalisatrice en 1925?
selenie
selenie

6 554 abonnés 6 270 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 19 janvier 2023
Le film s'ouvre sur un grand prologue déjanté dans une folie et un style presque anachronique, seul quelques éléments nous informent que nous sommes bel et bien en 1926. Tout est donc modernisé jusque dans l'extrême pour dynamité le rythme autant que le propos. Un prologue sur une des fêtes les plus folles, orgiaques et déjantées du cinéma tout en s'inspirant de fêtes ayant réellement existées dans les années folles et dont certains drames ont défrayé la chronique. C'est peut-être là la limite du film d'ailleurs, le réalisateur ne fait pas dans la dentelle et pousse tous les curseurs à outrance ; tous se droguent et sont alcooliques, tous pervers ou portés sur la chose, tous hystériques, dangereux ou égoïstes ce qui est parfois assommant. Le réalisateur pousse jusqu'à des séquences plus hasardeux ou maladroits, vulgaires et de mauvais goûts mais pas surprenants sur le fond plus sur la forme parfois trop grotesques mais c'est à chaque fois contre-balancé par des scènes d'une grâce folle, parfois même ne manquant pas d'onirisme. Bémol surtout pour la partie mafieuse, et un petit sur la musique, trop souvent tiré de la partition "La La Land". En conclusion Damien Chazelle est un grand réalisateur, qui s'est peut-être un peu laissé déborder par son sujet mais l'ampleur de sa mise en scène est au service d'un récit riche et foisonnant qui ne peut laisser insensible avec un fond passionnant emmené par des personnages de cinéma, de pur cinéma.
Site : Selenie.fr
tisma
tisma

308 abonnés 2 053 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 18 janvier 2023
Un grand spectacle pour les yeux ! Damien Chazelle rend hommage au cinéma et au film avec cette œuvre bourré de clin d'œil et de mises en scènes superbes. La collégiale d'acteurs aident beaucoup ce film à avoir une beauté visuelle. Quant au son, il est impeccable et apporte une atmosphère à chacune des scènes. Les trajectoires de vie de personnages sont bien travaillées et offrent parfois de très belles citations. Une belle œuvre !
Ungeduld
Ungeduld

16 abonnés 134 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 1 février 2023
Mise en scène tape à l'oeil, faite d'outrances grossières, qui ne parvient pas à faire oublier les lacunes d'un scénario qui tourne rapidement à vide. On s'emmerde devant cette série de scènes hétéroclites sans queue ni tête, qui ne mènent nulle part.

Dommage, le réalisateur de Whiplash semble s'être perdu dans ce film au budget pharaonique, qui tire dans toutes les directions sans jamais atteindre sa cible.
Johanne V.
Johanne V.

21 abonnés 7 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 22 janvier 2023
Je me suis rendue à cette avant-première avec grande impatience : un casting envié des films de cette génération, un scénario sur l'envers du décor de l'industrie mythique Hollywoodienne des années 20 et une bande son exceptionnelle, voilà qui annonçait un chef d'oeuvre ! Et pourtant, Damien Chazelle a réussi ici l'exploit de faire le navet le plus esthétique de 2023 (et nous ne sommes qu'en janvier), et c'est bien là le seul trophée qu'il mérite !

La performance des acteurs est remarquable en comparaison à la pauvreté de la mise en scène si stéréotypée qu'elle devient une parodie de parodie, où toutes les scènes sont si prévisibles.
Même les personnages, qui ont pourtant tout pour nous captiver, finissent par nous désintéresser par la futilité de leurs dialogues interminables et/ou inutiles.
spoiler: L' amoncellement de scènes trash et grotesques, sans doute dans un but tarantinesque, drôle et subversive, n'est que ridicule et fatigant. Rien ne nous est épargné : déferlante d'excréments d'éléphant en gros plan de 30 secondes, pénétrations avec ou sans objet dès qu'il est possible d'en placer une, gros plan de vomi sur le tapis, puis sur le visage, puis dans la bouche (tant qu'à faire), aspiration de sang et de venin de serpent, sadomasochisme, urophilie.... N'est pas Tarantino qui veut....

N'est pas "Once Upon a Time in Hollywood" non plus !
Même le scénario inratable est délaissé au profit d'une succession d'images épuisantes sans intérêt, comme si l'ambitieux projet avait dépassé le réalisateur, qui avait fini par en perdre lui même le fil.
spoiler: Naïf et discipliné, on persiste à se faire maltraiter en gardant toujours l'espoir d'etre à un moment bouleversé, [spoiler]jusqu'à la fin qui j'imagine se veut un hommage au cinéma, mais qui n'est qu'un sacrilège. Scène finale grossièrement empruntée au sublime "Cinéma paradiso", qui fait dire définitivement que ce film aurait pu être bouclé en 40 min, tant il n'apporte rien au cinéma que l'on a pas déjà vu et revu !


De toute ma vie de cinéphile c'est bien la première fois que je voyais tant de personnes quitter la salle en cours de film, et comme je les comprends...

Depuis, je n'ai toujours pas trouvé la réponse à la question : comment est-il possible de gâcher à ce point un film qui avait tout pour lui ?
On ressort de la salle frustré d'avoir vu de si belles couleurs sur du néant, avec l'impression d'avoir littéralement assisté à l'adage "donner du caviar aux cochons"...
Jay paperboy
Jay paperboy

6 abonnés 57 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 19 janvier 2023
Le 2001 , du cinéma . Damien chazelle aime le cinéma et il le montre .
Damien chazelle a vu "le loup de wall street" avec l'incapacité de reproduire cet énergie ... et pourtant il essaye !
Damien Chazelle aime le Jazz ... et la trompette . J'en ai vu de la trompette grâce à Damien Chazelle
Damien Chazelle aimerai vendre autant de b.o que pour lalaland alors avec son pote Justin , il reprenne la même partoch' en changeant une note ou deux de place.

Damien Chazelle fais un film à sa gloire et montre à quel point c'est un génie ... je crois que j'ai vu la supercherie .
Jylg
Jylg

46 abonnés 392 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 19 janvier 2023
Sublime Margot Robbie, magnifique Brad Pitt et excellent Diego Calva, inconnu chez nous ! Film fleuve , mais qui passe vite. Reconstitution extraordinaire des années folles (1926/32). Difficile révolution du cinéma muet en parlant . Cependant, à ne pas mettre devant tous les yeux ! ( bizarrement, pas de sélection d'âge ?)
Bdfoucher
Bdfoucher

59 abonnés 94 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 18 janvier 2023
Le film de Damien Chapelle est époustouflant. C’est 189 minutes de démesure qui raconte le Hollywood de tous les excès, une démesure qui est celle d’une industrie, celle du cinéma, en pleine explosion chargée d’alimenter, dans tous les genres et sans aucun scrupule, l’avidité de millions de spectateurs qui accèdent au premier medium de masse, cinéma encore méprisé par la haute société de la côte Est, qui ne juge l’art qu’au travers du théâtre et des classiques de la littérature: “J’ai tout de même connu Proust” dit Elinor St. John en commentant une scène de tournage ubuesque de désordre.

Margot Robbie qui incarne Nellie LaRoy et Brad PItt en Jack Conrad, la première saisie en pleine ascension, et le second au fait de la gloire, ne sont pas pour peu de chose dans l’énergie que dégage le film qui enchaine les scènes totalement délirantes d’un Hollywood, capitale du péché, sorte de de Sodome et Gomorrhe modernes, qui vit son grand basculement entre le cinéma muet et le cinéma parlant. Les personnages sont fictifs, même si Jack Conrad est inspiré de John Gilbert, mais l’histoire est bien réelle et le réalisateur Damien Chazelle, né en 1985, franco-américain, est fortement documenté sur cette Hollywood, terre de tous les potentiels et de toutes les déchéances. Tout le monde n’eut pas en effet la chance de Greta Garbo et la projection du Joueur de Jazz en 1927, film pourtant bien médiocre de Alan Crossland, dont la première (?) est restitué, fut réellement une révolution.

Le film se présente comme un récit chronologique et montre la déchéance progressive des super stars de l’ancien monde dans un milieu passablement déhumanisé, où l’on brasse beaucoup d’argent, de drogue et où le sexe est encore relativement libre mais déjà placé sous l’œil suspicieux d’une société qui s’apprête à mettre tout le cinema sous code en 1930 (le fameux code Hays). Il montre aussi combien cet art nouveau fut une terre d’opportunité comme pour Manny Torres, mexicain, qui devient par culot et chance, un réalisateur notable qui doit finalement fuir au Mexique quand Nellie LaRoy, en pleine chute mais dont il est amoureux, s’endette au jeu auprès de margoullins dangereux avant de disparaître à son tour.

Babylon, titre qui fait référence à l’œuvre majeure de DW Griffith, démesurée elle-aussi, est sans doute l’un des meilleurs films produits sur cette période depuis “Sunset Boulevard” de Billy Wilder en 1950 avec Gloria Swanson dans son propre rôle et Erich Von Stroheim , autre figure de la démesure du Hollywood des années folles. Il n’est pas dépourvu de profondeur et de justesse de vue quand il évoque ce que ces acteurs déchus, bons ou moins bons, vont finalement laisser à la postérité au delà de la bacchanale que fut cette époque pour certains et de la blessure égotique qui les flétrit de n’être soudainement plus prisé du public.

Il y a enfin des scenes de légende (déja) dans ce film, celle du combat contre le crotale ou du baiser de Jack Conrad à sa partenaire au coucher du soleil. Le cinema n’est pas un art mineur. Il n’est pas non plus une industrie de chefs d’oeuvre. Damien Chazelle conclut son propos, par les yeux Manny Torres, revenu à Hollywood, qui découvrant “Singing in the Rain” réalise que tout le passé se fond finalement dans un présent plus abouti et que le Cinéma est plus grand que tous les individus qui en ont fait individuellement l’histoire.

Bel Hommage.
dragoyo
dragoyo

117 abonnés 785 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 16 janvier 2023
3,5/5 Bien. Le film m'a paru inutilement long. 3h pour développer des personnages vus et revus (car là pour le coup, la sensation de scénario déjà vu est bien présente). On est dans un récit à la Tarantino où on suit des personnages sans grand suspense mais pour voir ce qui leur arrive. Le sujet est le même que dans The Artist mais traité différemment (et moins efficacement pour le coup). Certaines scènes sont mémorables et on sent que le réalisateur se fait plaisir mais il n'y avait pas besoin d'autant de scènes pour comprendre la personnalité des protagonistes. Résultat, on voit venir à 3km ce qui va leur arriver; alors même si les scènes sont réussies, y'a quand même un côté qui tombe à plat. Passée l'intro de 45min environ, on a le titre. Cette première partie est bonne, après ça se traîne et hop ça se réveille en fin de film pour les 45 dernières minutes à nouveau au-dessus et une scène de fin véritable déclaration d'amour à l'évolution du cinéma et au cinéma en lui-même. Sans cette fin, le film aurait été moins bon. Là c'est malgré tout un bon film mais avec des longueurs.
Domnique T
Domnique T

70 abonnés 241 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 31 janvier 2023
Je ne suis pas parvenu à trouver un sens (caché?) aux scènes de défécation, d'urologie, de fornication, de jaillissement de vomi, d'exposition de monstres, de meurtres gratuits ...
Tout est factice, tout sonne faux ! La trajectoire écrite de quatre personnages sans surprise. Il y a tant de film où ses sujets ont déjà été traités ! Mieux !
Le seul but serait de nous déranger avec des scènes outrancières ? Pendant 3 heures en plus.
Cinévore24
Cinévore24

358 abonnés 745 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 19 janvier 2023
Ma première claque de 2023, et quelle claque !

Intense, excessive, chaotique, grotesque, généreuse...les adjectifs ne manquent pas pour décrire la nouvelle œuvre de Damien Chazelle (Whiplash, La La Land, First Man), sans aucun doute sa plus ambitieuse à ce jour.

En dressant une fresque démesurée de la puissance et de la décadence du Hollywood des années 1920 (alors que le cinéma parlant va pointer le bout de son nez), c'est tout un pan de l'histoire cinématographique qui reprend vie face à nous. Les "années folles" n'ont jamais si bien porté leur nom.

Sorte de croisement entre «Chantons sous la pluie» et «Once Upon a Time...in Hollywood», entre «Boulevard du Crépuscule» et «Le Loup de Wall Street», ce «Babylon» est un grand-huit ébouriffant, une super-production ne reculant devant rien pour nous plonger 3 heures durant dans ce ballet des (dés)illusions.

Histoire d'ambitions et de passions, le film nous parle de ceux qui rêveraient de faire du cinéma et de ceux qui le font, de ceux qui traversent les époques et de ceux qu'on oublie.

Hollywood y est dépeinte comme une terre de toutes les opportunités, tout comme un ogre qui dévore petit-à-petit tout ce qui se trouverait sur son passage, qu'il s'agisse d'une star bien en place (Brad Pitt, incroyable dans la peau d'un sosie d'Errol Flynn, volage et solitaire) comme d'une étoile montante (Margot Robbie, tout aussi incroyable, dans la peau de cette nouvelle égérie du cinéma muet, sans filtre et solitaire elle aussi).

Accompagnée d'une mise en scène dense et parfaitement millimétrée, ainsi que d'une partition jazzy tantôt endiablée tantôt mélancolique (et signée une nouvelle fois par le compagnon de route de Chazelle, Justin Hurwitz), cette œuvre est un lâcher-prise constant, finissant par dévoiler la fragilité se cachant derrière toute cette frénésie qui nous assaille, et assaille nos protagonistes, démontrant que derrière tout ce faste hollywoodien, personne n'est à l'abri de disparaître, condamnés par le même système qui les a porté aux nues auparavant.

Avec cette lettre d'amour passionnée au cinéma d'antan, Chazelle en interroge son présent et sa dualité, ce qui est éphémère et ce qui est éternel. Et met au centre de sa narration la force évocatrice des images, celles qui marquent, celles qui durent, celles qui restent, là-haut, sur l'écran.

Une odyssée, folle et tragique, sur la machinerie hollywoodienne et celles et ceux qui la composent.

Un grand moment de cinéma sur le cinéma, et fait pour être vu au cinéma.
Francis P
Francis P

6 abonnés 50 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 20 janvier 2023
Dire qu'il était attendu au tournant, c'est la moindre des choses. Annoncé comme le film événement sur l'histoire d'Hollywood à l'aube du cinéma parlant, Babylon semble plutôt être le rêve insensé d'un metteur en scène dépassé par ses envies.
Plus de trois heures de tourbillon incessant pour un sujet bien classique et mieux traité par des réalisateurs plus talentueux.
Certes en trois heures on a le temps de trouver ce qui est vraiment intéressant dans le film, et particulièrement l'actrice principale presque impeccable, et certaines fulgurances étonnantes mais le problème de base de ce film demeure : il y a trop de tout. C'est comme si on essayait de vous gaver d'images chocs, de personnages peu ragoutants, d'effets de caméra… Le résultat est qu'on reste en dehors du film simple spectateur d'une orgie visuelle sans profondeur, on est curieux de voir ce que sera la séquence suivante, mais le film ne touche pas. La surabondance tue l'émotion. On a parfois l'impression qu'on a offert un beau jouet à un jeune garçon et qu'il fait joujou avec pendant plus de trois heures. Et malheureusement il se complait dans son envie d'en faire toujours plus au détriment d'un scénario qu'il perd de vue passant d'une anecdote à l'autre sans la moindre finesse.
C'est dommage car à vouloir refaire une version "profonde" de "Chantons sous la pluie" il finit par rater sa cible là où le film de Gene Kelly sous des aspects de charmante comédie musicale était bien plus efficace.
J'avais des doutes sur Damien Chazelle qui avait quand même osé réaliser une comédie musicale avec des vedettes qui ne savaient ni danser ni chanter, mais qui par instant montrait un sens certain de la mise en scène. Après Babylon, les doutes demeurent mais tout n'est pas perdu comme Whiplash l'avait laissé entrevoir.
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