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    Babylon
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    4,2
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    1 592 critiques spectateurs

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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 209 abonnés 4 030 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 janvier 2023
    Babylon...Passionnant... Surprenant... Excessif... Décadent... Épic... Magistral... Cinéphile ! Babylon !
    Aimerico
    Aimerico

    17 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 janvier 2023
    Parti au bout de 2heures. De plus en plus trash et ennuyeux. J'avais déjà trouvé lala land long et prétentieux. Je déteste le gore gratuit et je me demande en termes d'anachronismes et d'erreur historiques où se situe de film...une femme réalisatrice ouassistante réalisatrice en 1925?
    selenie
    selenie

    5 572 abonnés 6 045 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2023
    Le film s'ouvre sur un grand prologue déjanté dans une folie et un style presque anachronique, seul quelques éléments nous informent que nous sommes bel et bien en 1926. Tout est donc modernisé jusque dans l'extrême pour dynamité le rythme autant que le propos. Un prologue sur une des fêtes les plus folles, orgiaques et déjantées du cinéma tout en s'inspirant de fêtes ayant réellement existées dans les années folles et dont certains drames ont défrayé la chronique. C'est peut-être là la limite du film d'ailleurs, le réalisateur ne fait pas dans la dentelle et pousse tous les curseurs à outrance ; tous se droguent et sont alcooliques, tous pervers ou portés sur la chose, tous hystériques, dangereux ou égoïstes ce qui est parfois assommant. Le réalisateur pousse jusqu'à des séquences plus hasardeux ou maladroits, vulgaires et de mauvais goûts mais pas surprenants sur le fond plus sur la forme parfois trop grotesques mais c'est à chaque fois contre-balancé par des scènes d'une grâce folle, parfois même ne manquant pas d'onirisme. Bémol surtout pour la partie mafieuse, et un petit sur la musique, trop souvent tiré de la partition "La La Land". En conclusion Damien Chazelle est un grand réalisateur, qui s'est peut-être un peu laissé déborder par son sujet mais l'ampleur de sa mise en scène est au service d'un récit riche et foisonnant qui ne peut laisser insensible avec un fond passionnant emmené par des personnages de cinéma, de pur cinéma.
    Site : Selenie.fr
    circusstar
    circusstar

    117 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2024
    J'y suis allée franchement à reculons, n'ayant pas aimé les précède films de Damien Chazelle et là : un vrai choc cinématographique ! Splendeur et décadence extrême de l'âge d'or d'Hollywood : un hommage au cinéma : vibrant, intense, sans limite.
    Les acteurs sont incroyables. Je n'ai pas vu le temps passer. J'ai adoré !
    tisma
    tisma

    264 abonnés 1 881 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 janvier 2023
    Un grand spectacle pour les yeux ! Damien Chazelle rend hommage au cinéma et au film avec cette œuvre bourré de clin d'œil et de mises en scènes superbes. La collégiale d'acteurs aident beaucoup ce film à avoir une beauté visuelle. Quant au son, il est impeccable et apporte une atmosphère à chacune des scènes. Les trajectoires de vie de personnages sont bien travaillées et offrent parfois de très belles citations. Une belle œuvre !
    Jylg
    Jylg

    33 abonnés 312 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2023
    Sublime Margot Robbie, magnifique Brad Pitt et excellent Diego Calva, inconnu chez nous ! Film fleuve , mais qui passe vite. Reconstitution extraordinaire des années folles (1926/32). Difficile révolution du cinéma muet en parlant . Cependant, à ne pas mettre devant tous les yeux ! ( bizarrement, pas de sélection d'âge ?)
    dragoyo
    dragoyo

    98 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2023
    3,5/5 Bien. Le film m'a paru inutilement long. 3h pour développer des personnages vus et revus (car là pour le coup, la sensation de scénario déjà vu est bien présente). On est dans un récit à la Tarantino où on suit des personnages sans grand suspense mais pour voir ce qui leur arrive. Le sujet est le même que dans The Artist mais traité différemment (et moins efficacement pour le coup). Certaines scènes sont mémorables et on sent que le réalisateur se fait plaisir mais il n'y avait pas besoin d'autant de scènes pour comprendre la personnalité des protagonistes. Résultat, on voit venir à 3km ce qui va leur arriver; alors même si les scènes sont réussies, y'a quand même un côté qui tombe à plat. Passée l'intro de 45min environ, on a le titre. Cette première partie est bonne, après ça se traîne et hop ça se réveille en fin de film pour les 45 dernières minutes à nouveau au-dessus et une scène de fin véritable déclaration d'amour à l'évolution du cinéma et au cinéma en lui-même. Sans cette fin, le film aurait été moins bon. Là c'est malgré tout un bon film mais avec des longueurs.
    Domnique T
    Domnique T

    56 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 janvier 2023
    Je ne suis pas parvenu à trouver un sens (caché?) aux scènes de défécation, d'urologie, de fornication, de jaillissement de vomi, d'exposition de monstres, de meurtres gratuits ...
    Tout est factice, tout sonne faux ! La trajectoire écrite de quatre personnages sans surprise. Il y a tant de film où ses sujets ont déjà été traités ! Mieux !
    Le seul but serait de nous déranger avec des scènes outrancières ? Pendant 3 heures en plus.
    Simon R
    Simon R

    48 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 janvier 2023
    Indigeste et parfois embarrassant, Babylon est l’exemple parfait de pourquoi il ne faut pas donner 100 millions de dollars à un jeune réal (pourtant talentueux) après un succès.
    Peu de choses à sauver, si ce n’est la partition brillante de Hurwitz (mal exploitée) et Diego Calva.
    Jorik V
    Jorik V

    1 214 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2023
    Beaucoup de grands artistes ont leur film malade voire maudit. Une grande fresque pleine d’ambition dont le résultat n’est pas mauvais mais boiteux et souvent trop hermétique hormis pour celui à l’origine de sa conception. Damian Chazelle n’est qu’un jeune artiste mais il a déjà le sien : ce « Babylon » est en effet aussi raté que réussi, aussi déplaisant que flatteur et doté d’autant de qualités que de défauts. Malheureusement ces derniers emportent le morceau, notamment à cause d’une durée pharaonique qui viendra à bout des plus tolérants. Et puis, si le cinéaste nous a conquis avec le petit film qui l’a découvert, l’excellent et original « Whiplash » ainsi qu’avec sa comédie musicale culte mais loin d’être parfaite « La La Land », il nous a aussi profondément ennuyé avec son précédent film, « First Man », qui était terne, monotone et atone. Et si « La La Land » était un hommage à Hollywood et son âge d’or, il semblerait que « Babylon » partait sur des bases similaires mais sur ses origines, selon les dires de l’auteur. Cependant, son long-métrage ressemble bien plus à une satire voire un pamphlet de l’industrie du cinéma et de ceux qui l’ont créé qu’autre chose. Hormis, un tardif et donc très maladroit hommage final compilant un siècle de cinéma, la Cité des Anges et le monde du cinéma apparaissent comme futiles, décadent et plongé dans un hédonisme malsain.

    « Babylon » semble être le croisement bancal et fou sur le fond comme sur la forme de « Gatsby le magnifique » pour les fêtes décadentes et de « Once upon a time in Hollywood » pour sa cartographie de la Mecque du cinéma. Mais auquel on ajouterait le côté complètement dégénéré, de « Requiem for a dream » pour le côté frénétique du son et des images et l’aspect glauque de certaines séquences. Cet aspect est d’ailleurs éreintant pour le spectateur. Il n’y qu’à voir la scène de fête initiale qui dure près de trente minutes avec le titre s’affichant seulement après. C’est long, beaucoup trop long, comme l’est ce film dans son ensemble. Et si tout cela est impeccablement filmé, sur la longue c’est fatigant et on sature. Surtout que le film n’a aucune ligne narrative claire et pas vraiment d’histoire. C’est une accumulation de scènes qui suivent trois personnages principaux et quelques personnages satellites dans le Hollywood des années 20 qui passe du muet au parlant. On suit donc la gloire puis la déchéance desdits protagonistes dans une succession de séquences qui alternent l’outrance (la séquence de tournage d’une scène de guerre par exemple bien trop étirée) voire le vulgaire et le ridicule (la séquence du serpent ou celle du vomi, totalement inappropriée). Mais parfois la mise en scène virtuose de Chazelle nous offre des moments de grâce (la dernière scène de Robbie) et quand le film se pose il nous réserve aussi de beaux moments très justes et bourré d’acuité, presque poétiques (le monologue de Jean Smart à Brad Pitt). Donc, entre fulgurances visuelles, instants de grâce et scènes improbables, on peut y trouver notre compte mais c’est bien trop long, boursouflé et au final cela ne raconte pas grand-chose qui n’ait été dit. Il faut avouer aussi que c’est très prétentieux, comme si le cinéaste voulait absolument faire son chef-d’œuvre et qu’il s’y était brûlé les ailes...

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    Bdfoucher
    Bdfoucher

    46 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 janvier 2023
    Le film de Damien Chapelle est époustouflant. C’est 189 minutes de démesure qui raconte le Hollywood de tous les excès, une démesure qui est celle d’une industrie, celle du cinéma, en pleine explosion chargée d’alimenter, dans tous les genres et sans aucun scrupule, l’avidité de millions de spectateurs qui accèdent au premier medium de masse, cinéma encore méprisé par la haute société de la côte Est, qui ne juge l’art qu’au travers du théâtre et des classiques de la littérature: “J’ai tout de même connu Proust” dit Elinor St. John en commentant une scène de tournage ubuesque de désordre.

    Margot Robbie qui incarne Nellie LaRoy et Brad PItt en Jack Conrad, la première saisie en pleine ascension, et le second au fait de la gloire, ne sont pas pour peu de chose dans l’énergie que dégage le film qui enchaine les scènes totalement délirantes d’un Hollywood, capitale du péché, sorte de de Sodome et Gomorrhe modernes, qui vit son grand basculement entre le cinéma muet et le cinéma parlant. Les personnages sont fictifs, même si Jack Conrad est inspiré de John Gilbert, mais l’histoire est bien réelle et le réalisateur Damien Chazelle, né en 1985, franco-américain, est fortement documenté sur cette Hollywood, terre de tous les potentiels et de toutes les déchéances. Tout le monde n’eut pas en effet la chance de Greta Garbo et la projection du Joueur de Jazz en 1927, film pourtant bien médiocre de Alan Crossland, dont la première (?) est restitué, fut réellement une révolution.

    Le film se présente comme un récit chronologique et montre la déchéance progressive des super stars de l’ancien monde dans un milieu passablement déhumanisé, où l’on brasse beaucoup d’argent, de drogue et où le sexe est encore relativement libre mais déjà placé sous l’œil suspicieux d’une société qui s’apprête à mettre tout le cinema sous code en 1930 (le fameux code Hays). Il montre aussi combien cet art nouveau fut une terre d’opportunité comme pour Manny Torres, mexicain, qui devient par culot et chance, un réalisateur notable qui doit finalement fuir au Mexique quand Nellie LaRoy, en pleine chute mais dont il est amoureux, s’endette au jeu auprès de margoullins dangereux avant de disparaître à son tour.

    Babylon, titre qui fait référence à l’œuvre majeure de DW Griffith, démesurée elle-aussi, est sans doute l’un des meilleurs films produits sur cette période depuis “Sunset Boulevard” de Billy Wilder en 1950 avec Gloria Swanson dans son propre rôle et Erich Von Stroheim , autre figure de la démesure du Hollywood des années folles. Il n’est pas dépourvu de profondeur et de justesse de vue quand il évoque ce que ces acteurs déchus, bons ou moins bons, vont finalement laisser à la postérité au delà de la bacchanale que fut cette époque pour certains et de la blessure égotique qui les flétrit de n’être soudainement plus prisé du public.

    Il y a enfin des scenes de légende (déja) dans ce film, celle du combat contre le crotale ou du baiser de Jack Conrad à sa partenaire au coucher du soleil. Le cinema n’est pas un art mineur. Il n’est pas non plus une industrie de chefs d’oeuvre. Damien Chazelle conclut son propos, par les yeux Manny Torres, revenu à Hollywood, qui découvrant “Singing in the Rain” réalise que tout le passé se fond finalement dans un présent plus abouti et que le Cinéma est plus grand que tous les individus qui en ont fait individuellement l’histoire.

    Bel Hommage.
    Cinévore24
    Cinévore24

    307 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2023
    Ma première claque de 2023, et quelle claque !

    Intense, excessive, chaotique, grotesque, généreuse...les adjectifs ne manquent pas pour décrire la nouvelle œuvre de Damien Chazelle (Whiplash, La La Land, First Man), sans aucun doute sa plus ambitieuse à ce jour.

    En dressant une fresque démesurée de la puissance et de la décadence du Hollywood des années 1920 (alors que le cinéma parlant va pointer le bout de son nez), c'est tout un pan de l'histoire cinématographique qui reprend vie face à nous. Les "années folles" n'ont jamais si bien porté leur nom.

    Sorte de croisement entre «Chantons sous la pluie» et «Once Upon a Time...in Hollywood», entre «Boulevard du Crépuscule» et «Le Loup de Wall Street», ce «Babylon» est un grand-huit ébouriffant, une super-production ne reculant devant rien pour nous plonger 3 heures durant dans ce ballet des (dés)illusions.

    Histoire d'ambitions et de passions, le film nous parle de ceux qui rêveraient de faire du cinéma et de ceux qui le font, de ceux qui traversent les époques et de ceux qu'on oublie.

    Hollywood y est dépeinte comme une terre de toutes les opportunités, tout comme un ogre qui dévore petit-à-petit tout ce qui se trouverait sur son passage, qu'il s'agisse d'une star bien en place (Brad Pitt, incroyable dans la peau d'un sosie d'Errol Flynn, volage et solitaire) comme d'une étoile montante (Margot Robbie, tout aussi incroyable, dans la peau de cette nouvelle égérie du cinéma muet, sans filtre et solitaire elle aussi).

    Accompagnée d'une mise en scène dense et parfaitement millimétrée, ainsi que d'une partition jazzy tantôt endiablée tantôt mélancolique (et signée une nouvelle fois par le compagnon de route de Chazelle, Justin Hurwitz), cette œuvre est un lâcher-prise constant, finissant par dévoiler la fragilité se cachant derrière toute cette frénésie qui nous assaille, et assaille nos protagonistes, démontrant que derrière tout ce faste hollywoodien, personne n'est à l'abri de disparaître, condamnés par le même système qui les a porté aux nues auparavant.

    Avec cette lettre d'amour passionnée au cinéma d'antan, Chazelle en interroge son présent et sa dualité, ce qui est éphémère et ce qui est éternel. Et met au centre de sa narration la force évocatrice des images, celles qui marquent, celles qui durent, celles qui restent, là-haut, sur l'écran.

    Une odyssée, folle et tragique, sur la machinerie hollywoodienne et celles et ceux qui la composent.

    Un grand moment de cinéma sur le cinéma, et fait pour être vu au cinéma.
    Jay paperboy
    Jay paperboy

    3 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 janvier 2023
    Le 2001 , du cinéma . Damien chazelle aime le cinéma et il le montre .
    Damien chazelle a vu "le loup de wall street" avec l'incapacité de reproduire cet énergie ... et pourtant il essaye !
    Damien Chazelle aime le Jazz ... et la trompette . J'en ai vu de la trompette grâce à Damien Chazelle
    Damien Chazelle aimerai vendre autant de b.o que pour lalaland alors avec son pote Justin , il reprenne la même partoch' en changeant une note ou deux de place.

    Damien Chazelle fais un film à sa gloire et montre à quel point c'est un génie ... je crois que j'ai vu la supercherie .
    Sophie B.
    Sophie B.

    26 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 janvier 2023
    Un film épique et un magnifique hommage aux débuts d'Hollywood et à ses excès . Certaines scènes sont à étudier dans les écoles de cinéma . Margot Robbie est magnétique . C'est une ode au cinéma , merci Damien Chazelle pour cette incroyable claque .
    Francis P
    Francis P

    4 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2023
    Dire qu'il était attendu au tournant, c'est la moindre des choses. Annoncé comme le film événement sur l'histoire d'Hollywood à l'aube du cinéma parlant, Babylon semble plutôt être le rêve insensé d'un metteur en scène dépassé par ses envies.
    Plus de trois heures de tourbillon incessant pour un sujet bien classique et mieux traité par des réalisateurs plus talentueux.
    Certes en trois heures on a le temps de trouver ce qui est vraiment intéressant dans le film, et particulièrement l'actrice principale presque impeccable, et certaines fulgurances étonnantes mais le problème de base de ce film demeure : il y a trop de tout. C'est comme si on essayait de vous gaver d'images chocs, de personnages peu ragoutants, d'effets de caméra… Le résultat est qu'on reste en dehors du film simple spectateur d'une orgie visuelle sans profondeur, on est curieux de voir ce que sera la séquence suivante, mais le film ne touche pas. La surabondance tue l'émotion. On a parfois l'impression qu'on a offert un beau jouet à un jeune garçon et qu'il fait joujou avec pendant plus de trois heures. Et malheureusement il se complait dans son envie d'en faire toujours plus au détriment d'un scénario qu'il perd de vue passant d'une anecdote à l'autre sans la moindre finesse.
    C'est dommage car à vouloir refaire une version "profonde" de "Chantons sous la pluie" il finit par rater sa cible là où le film de Gene Kelly sous des aspects de charmante comédie musicale était bien plus efficace.
    J'avais des doutes sur Damien Chazelle qui avait quand même osé réaliser une comédie musicale avec des vedettes qui ne savaient ni danser ni chanter, mais qui par instant montrait un sens certain de la mise en scène. Après Babylon, les doutes demeurent mais tout n'est pas perdu comme Whiplash l'avait laissé entrevoir.
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