Par où commencer… Le film est niais avec le « bg » stéréotypé, et la fille un peu bête et mignonne qui rigole pour rien. 2 des 3 personnages principaux sont détestables et gênants. La fille est habillée de manière aléatoire tel un misérable sac à patates, on dirait qu’elle ne s’est jamais coiffée, et l’homme est le cliché du « mec toxique » et stylé; musclé, métier prestigieux et riche…
C’est beaucoup trop prévisible du début a la fin, il n’y a presque aucun suspens, c’est ennuyant. L’idée de faire un film sur les violences conjugales est noble, mais malheureusement très mal réalisée et ne fait que d’alimenter les clichés. De plus, on est a deux doigts d’essayer de trouver des excuses pour le comportement violent de l’homme avec un traumatisme d’enfance. Cela peut être une raison, oui, mais ce n’ai pas une excuse ou une justification pour l’innocenter.
Sans parler des choix musicaux qui sont aussi ridicules que les acteurs, à part une musique de Lana Del Rey le reste est médiocre.
Ça ne mérite pas la hype, au même niveau qu’un téléfilm. Le film est pénible, un vrai désastre. Cependant, je n’ai pas lu le livre, donc peut-être que seul le film fait tache.
Un film qui se suit avec plaisir. Pourtant, cela pourrait être le téléfilm de 14h sur la 1, cela commence un peu comme 50 nuances (bof bof). Mais l'ensemble prend bien et l'histoire est accrocheuse. Quelques platitudes cependant.
Quand le délectable frisson de l’amour s’esquinte progressivement, subrepticement par l’apparition venimeuse d’une violence incontrôlée, le drame n’est pas loin. Blake Lively et Isabella Ferrer (Lily jeune) sont assez saisissantes et captivantes dans leurs rôles difficiles. Justin Baldoni à la fois réalisateur et acteur principal du film est excellent, tout comme Brandon Sklenar et Jenny Slate également.
Un téléfilm guimauve calibrée pour mettre en valeur le visage parfait et la dentition parfaite de Blake Lively. Son personnage horripilant de femme parfaite niaise qui sourit tout le temps pour rien lui va comme un gant. Lily Bloom est une gentille fille à qui tous les malheurs du monde arrivent. Elle hésite entre deux beaux gosses, tout deux blindés aux as, dans ce monde de faux semblants. Aucun problème ne semble réel, toutes les discussions et réactions sont forcées et destinées à faire pleurer les tiktokeuses. Évidemment ce film dénonce la violence conjugale mais c'est tellement surligné et forcé qu'on y croit à aucun moment. Le téléfilm est dans l'ensemble agréable et se laisse regarder sans ennui mais on a la très désagréable sensation de regarder un épisode de Gossip Girl et autre Melrose Place sur grand écran.
J’étais septique sur le fait que les acteurs n’étaient pas bien choisi « physiquement » comparé au livre et je craignais que l’adaptation soit mal faite étant donné que les adaptions roman/film sont souvent décevantes mais sur ce coup j’ai adoré. Le film suit parfaitement l’histoire du livre. J’ai beaucoup aimé!
J’avais adoré le livre que ma fille m’avait prêté. J’ai été bouleversée par le film que je viens d’aller voir avec elle. Quelques adaptations inévitables mais très fidèle à l’histoire de base. Un seul regret, que la dernière phrase du livre n’apparaisse pas…
Ce long métrage avec Blake Lively et Justin Baldoni est une adaptation du roman de Colleen Hoover. Il met en scène Lily Bloom une jeune fleuriste de Boston qui va trouver l’amour auprès d’un neuro chirurgien Ryle. Lily Bloom a eu une enfance et une adolescence plutôt compliquée avec un père violent. C’est la répétition de cette violence que va traiter le film puisque lors de cette romance avec Ryle, Lily va recroiser son premier amour Atlas. Le film est divisée en deux parties la partie romance idyllique et la partie dégradation de cette romance avec le triangle amoureux. C’est un parti pris mais la violence conjugale est traitée ici de façon implicite, Lily Bloom se met dans le déni car elle l’aime. Ici la violence conjugale est traitée du point de vue de Lily de façon très psychologique. La première partie du film est malheureusement trop longue malgré le fait qu’elle soit essentielle. En effet dans une relation amoureuse il y a toujours la magie des débuts, mais c’est trop long et cela casse le rythme du film. Après es les retours en arrières avec la relation avec Atlas lors de l’adolescence de Lily Bloom permet de ne pas trop s’ennuyer . Enfin certaines scènes d’amour ne sont pas essentielles à l’intrigue, leur absence aurait put permettre une seconde partie de film plus fournie et solide. Pour conclure ce film n’est pas inintéressant, Blake Lively est magistrale, le sujet de la violence conjugale est traité au travers de la psychologie de Lily Bloom qui est dans le déni de la situation. En soi c’était une très bonne idée malheureusement ceci est éclipsée par une première partie trop longue et des scènes d’amour trop présentes. Le tout reste tout de même un bon film.
Bonne adaptation du livre. Les acteurs sont bien choisis pour interpréter leur personnage. Le message est parfaitement transmit et reprend bien l’idée de Colleen Hoover concernant non seulement les violences conjugales mais aussi la difficulté que peut éprouver la victime à se séparer de son conjoint. Cependant, je trouve que c’est bien trop long par rapport au message voulu. 1h30 aurait largement suffit, car on sent réellement l’élongation.
Les polémiques qui entourent It Ends with us s’attaquent à sa surface, à ce qui littéralement l’entoure – relations lors du tournage, campagne promotionnelle… – sans jamais aborder la question du cinéma. Car le plus gros problème du film réside dans sa nullité formelle, incapable de susciter la moindre émotion par la composition des cadres, par les mouvements de caméra, par la direction d’acteurs ; en lieu et place, une réalisation aguicheuse qui pose tout sur le même plan, des moments de bonheur passé aux exactions endurées reliés par des transitions urbaines et des chansons à la mode. Il n’y a alors rien à regarder, rien à comprendre par l’image ; il faudrait se contenter des sentences formulées par les personnages, écrites et déclamées avec cette lourdeur familière aux conducteurs d’engins mais inhabituelle sous la plume de scénaristes (véritables ?). Il apparaît paradoxal que l’ensemble se couvre d’un discours féministe alors qu’à aucun moment il ne pense ni n’invite à penser la condition de la femme, outrageusement schématisée et aseptisée, lissage honteux façon Fifty Shades qui déshonore le combat mené contre les violences conjugales.
Je n'ai pas lu le livre. Malgré le fait que j'adore l'actrice ce film ne mérite que la note moyenne. Il s'agit d'une histoire qui raconte les violences conjugales et les scènes sont beaucoup trop "paisibles" pour relater la vraie violence. Tout est fait pour ne pas heurter la sensibilité. Le mari violent est plutôt mièvre et chialeur... et les coups, le sang, l'horreur sont floutés. Je sais bien que le gore ne fait pas la violence. Il y aurait des moyens de montrer plus de stress psychologique. Les nuits avec mon ennemi voilà un film sur la folie des maris fous. Ce film est plutôt digne de Netflix. J'ai plus aimé l'histoire entre les deux jeunes gens que la vie maritale de l'héroïne adulte.