Derniers Avis : Jamais plus - It Ends With Us - Page 8

Le sujet des violences conjugales est bien traité et l’histoire de l’héroïne se suit avec plaisir : les allers-retours présent / passé sont très bien intégrés. Néanmoins, il y a quelques invraisemblances et un côté un peu trop grand public qui empêchent le film de viser plus haut.

Je n’ai pas lu le livre !
Je l’ai trouvé super, très très émouvant ça m’a fait tourné la tête, je me sens mal carrément. Je ne souhaite à personne ce que le film raconte.
Un peu dessus de la dernière scène.

J'ai très rarement mis une telle note mais le scénario est mauvais .Le sujet est très mal traité.Et il faut une heure pour arriver au sujet du film.L"avant dernière scene (d"un ridicule...Donc pour moi plus jamais voir un tel film

Beaucoup de scènes longues, similaires et qui ne font pas vraiment avancer l'histoire (bcp de sexe notamment). Il faut attendre 1h avant que ça devienne vraiment intéressant et se laisser prendre par les émotions. Une fin vraiment intéressante. On peut aussi noter que le thème des violences conjugales est romancé.

Je suis allée voir ce film je le trouve magnifique il met assez bien en valeur les violences conjugales ainsi que le déni les jeux des acteurs était vraiment bien j'ai pas vue le temps passé je vous conseille d'aller le voir

Un très beau film sur un sujet délicat. Très belle interprétation des acteurs principaux. Il manque juste le thème de l emprise qui précède la violence qui apparaît seulement dans une scène. C est un film que je recommande vivement.

Contrairement à de nombreuses critiques négatives qui reprochent au film le côté fleur blue/film pour adolescente, j'ai trouvé le thème des violences conjugales intelligemment abordé. Le film questionne jusqu'où peut aller une histoire d'amour et à partir de quel moment peut-on parler de violence conjugale et suggère que la frontière peut parfois être très mince (un excès de colère, une crise de jalousie). Le fait qu'il se destine aux adolescentes et qu'il ne soit pas uniquement marketé "violences conjugales" élargit la cible visée et peut faire l'objet de prévention pour ce type de public.

Cette comédie romantique, qui semble à première vue assez classique, s'avère finalement plus intéressante qu'un téléfilm habituel.

Je m'attendais à une romance cinématographique un peu pompeuse, n'ayant pas regardé de film d'amour depuis un moment, je voulais me détendre. Effectivement, le premier acte est très cliché. Toutefois, c'est un cliché avec du style, car la photographie et l'éclairage du film sont magnifiques, avec de superbes images de Boston. La bande sonore, elle aussi, est excellente et accompagne parfaitement les scènes. Le scénario reste pompeux, mais dépasse le niveau de la romance moyenne.

Surtout, au-delà du coup de foudre initial, le film aborde de manière très intelligente le sujet des violences conjugales, qui s'avère être le vrai sujet du film en s'installant petit à petit. L'apparence idyllique de la relation permet de mieux comprendre comment une relation toxique peut se dissimuler derrière une façade de tendresse. Le film pose des questions essentielles : connaît-on vraiment bien la personne que l'on aime ? Peut-on se projeter avec quelqu'un dont on ne connaît pas suffisamment l'histoire ? Ces thèmes sont explorés tout au long du film, qui, bien que cliché, dévoile peu à peu ses intentions pour mieux susciter la réflexion. Le message final sur ce sujet grave est d'ailleurs nuancé, évitant de simplement opposer un "méchant" à un "gentil", ce qui est habilement traité et très intéressant.

Cependant, il faut reconnaître que la romance pompeuse occupe tout de même les trois quarts du film, et que 2h15 de cela, c'est long... Même si le traitement des violences conjugales est pertinent, il ne fait pas oublier la mièvrerie ambiante.

En conclusion, on ressort d'un film qui, bien que fleur bleue, est finalement plus intelligent qu'il n'y paraît.

J’ai adorée ce film, même si j’ai pleuré pendant 2h. C’est devenu mon film préférer tout est tellement bien fait dans ce chef d’oeuvre.

Je vous conseille d'aller voir ce film il est très beau.
Je trouve que Blake Lively est parfaite dans le rôle de Lily.

Film adapté à tout public qui traite d’un sujet complexe, compréhensible par les plus jeunes. L’histoire sûrement douloureuse et écrite différemment dans le roman reste touchante et bien menée.
Très bon film, je le recommande.

Plaisir coupable de la semaine à assumer malheureusement :D J’y suis allée à reculons pensant à raison qu’il s’agit certainement d’un film commercial et orienté «teenager ». Il n’en demeure que l’histoire est bien construite et le message porté envers les jeunes filles de se respecter, se choisir et ne jamais accepter l’inacceptable (dans notre cas, des violences conjugales) vaut la peine. Aussi, Blake LIVELY est d’une beauté époustouflante :)
A voir (si on est fan des romans type 50 nuances de Grey & Co :D)

Tout était mauvais, du scénario, aux dialogues!!! , aux doublages, aux jeux des acteurs!!! Aux longueurs,etc..
Je deconseille vivement

Ce film est juste incroyable. Chaque scène est jouée à la perfection. Blake Lively est une actrice incroyable en plus d'être extrêmement magnifique. La notion d’emprise amoureuse et de violences conjugale sont très bien traités.
Je vous conseille vraiment d'aller le voir en VOST et pas en VF, tu ressens mieux les scènes.
Pour avoir lu le livre il le respecte vraiment, merci pour ce merveilleux film !

En rose et noir

Oui mais voilà, le rose est nuance guimauve et le noir est à peine gris foncé dans le film de Justin Baldoni adapté du best-seller éponyme de 2016 signé Colleen Hoover – 10 millions d’exemplaires vendus -. Lily Bloom surmonte une enfance traumatisante pour se lancer dans une nouvelle vie à Boston et poursuivre son rêve de toujours d’ouvrir sa propre boutique. De sa rencontre fortuite avec le charmant neurochirurgien Ryle Kincaid nait une connexion intense - mais alors que les deux tombent profondément amoureux, Lily commence à entrevoir des aspects de Ryle qui lui rappellent la relation de ses parents. Lorsqu’Atlas Corrigan, le premier amour de Lily, réapparait soudainement dans sa vie, sa relation avec Ryle est bouleversée et Lily réalise qu'elle doit apprendre à s’appuyer sur sa propre force et faire un choix impossible pour son avenir. 130 très longues minutes avec 3/4 de romance à l’eau de rose dans le genre indigeste – l’excès de sucre nuit à la santé -, et un petit quart qui traite du vrai sujet, - soit les violences conjugales – bizarrement édulcoré et délivrant un message trop ambigu. Sur ce problème revoyez plutôt L’amour et les forêts de Valérie Donzelli autrement plus percutant et mieux interprété.
L’acteur / réalisateur Justin Baldoni adore décidément le genre du mélo poussif, en témoignent ses deux 1ers films A deux mètres de toi et Clouds, où les scénarii tournaient autour de la maladie… incurable, cela va de soi. Donc rebelote avec cette histoire dont on ne parvient pas à croire un instant que ce soit un drame sur les violences faites aux femmes. C’est dégoulinant de bons sentiments, de romantisme frisant le ridicule et de fausse joie de vivre. Tout est surfait, irréel, niais et… mal joué. Bref un must dans l’art du navet ! Et je ne vous parle pas de la musique qui souligne chaque parole, chaque geste, - quelle idée surannée d’accompagner chaque baiser par un tsunami violonesque à faire hurler de rire ! -. C’est le festival du gnangnan à Boston. Le prie, malgré tout ça, c’est que la demande est forte – essentiellement féminine de 17 à 77 ans paraît-il -, que ça va marcher, sans doute ce film pesant de chez « lourdingue and C° » va-t-il allègrement atteindre les 500 000 entrées.
Donc côté casting, même déception. Blake Lively et Justin Baldoni en font des tonnes jusqu’à l’insupportable. Brandon Sklenar et son regard mouillé de cocker déprimé est lui aussi ridicule. Citons encore Jenny Slate et Amy Morton qui tirent leur épingle de ce mélo sirupeux et fadasse. Même s’ils n’ont plus l’âge des rôles, j’ai préféré et de loin Isabela Ferrer et Alex Neustaedter qui jouent Lily et Atlas jeunes que leurs pendants adultes. Ça fait peu pour sauver un film dont le titre français – choisi encore par un distributeur inspiré -, me paraît, pour une fois, tout à fait de circonstance.