AlloCiné
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Note moyenne
3,3
2006 notes
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Votre avis sur Jamais plus - It Ends With Us ?
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Ce film est l’adaptation d’un best-seller de Colleen Hoover paru en 2016 et parle des violences conjugales ainsi que de la manipulation psychologique ou de l’abus émotionnel d’un homme sur sa compagne, héroïne du long-métrage. Sans avoir lu l’ouvrage il apparaît clairement que le film passe à côté de son sujet. Justin Baldoni (qui réalise et joue le rôle de l’amant violent) favorise clairement l’aspect romantique et fleur bleue à sa thématique principale bien plus développée dans le livre. Ici tout est fortement édulcoré au profit d’un sentimentalisme commun à de nombreuses comédies romantiques ou drames du même genre. Avec « Plus jamais » tout apparaît donc lisse et comme broyé dans la machinerie hollywoodienne pour plaire au plus grand nombre sans choquer ou mettre mal à l’aise personne. Et le carton du film au box-office mondial semble avoir malheureusement donné raison aux producteurs (et au réalisateur?). À tel point qu’on aurait presque envie de lire le livre pour vérifier s’il est aussi aseptisé que le long-métrage qu’on nous présente ici.
On ne pourra pas en revanche rien enlever à la prestance, la classe et au charme incroyable de la magnifique Blake Lively, impeccable dans le rôle et aussi à l’aise dans les scènes de romance que dans celles de violence et de détresse. À ses côtés, Jenny Slate fait bonne figure en meilleure amie prise entre deux feux même si son personnage est souvent cantonné aux décors. On est moins emballé par les deux personnages masculins, plus fades ici, et dont le jeu des acteurs se limite à leurs peu de traits de caractère. L’un n’est pas aussi menaçant qu’il le devrait tandis que l’autre apparaît bien trop avenant et gentillet. Des protagonistes écrites de manière bien trop simpliste dans le scénario adapté par Christy Hall qui nous a pourtant livré son premier film récemment (« Daddio ») qui se révélait bien mieux écrit à ce niveau. À souligner que la jeune actrice jouant Lively jeune est également très bonne et que, pour une fois, elle ressemble vraiment à son pendant plus âgé, ce qui n’est paradoxalement pas si courant. On déplore également des ellipses un peu brusques dans la première partie - ou alors mal négociées - ainsi que des coïncidences heureuses qui s’accumulent un peu en dépit de la logique (le fait de retrouver les deux prétendants « par hasard » dans une grande ville comme Boston ou le coup du numéro de téléphone caché).
On passe donc deux heures avec « Jamais plus » à se demander si on ne s’est pas trompé de film tant le cœur du sujet tarde à être traité. On regarde une sorte de romance nonchalante et aseptisée qui n’est pas déplaisante en soi mais qui pourrait se ranger dans le rayon des multiples drames sentimentaux à l’américaine d’où rien ne dépasse. Ce n’est que lors du dernier tiers que le film aborde véritablement la violence dans le couple mais il le fait en prenant tellement de gants que c’en est presque risible. Voire même que ça ne rend absolument pas justice à toutes ces femmes qui ont souffert de bien pire. Comme si Baldoni avait peur de son sujet et préférait le remiser dans le cadre d’un roman Harlequin générique. Heureusement, la conclusion est plus adroite et amère et offre une morale qui rattrape un peu le reste. Au demeurant, voilà un long-métrage anecdotique sur un sujet pourtant épineux et que la plupart des nombreux films sortant sur le sujet depuis quelques années traitent de manière moins hypocrite et gentillette. De la guimauve du dimanche soir en somme, davantage à destination des cinéphiles féminines peu regardantes.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
On ne pourra pas en revanche rien enlever à la prestance, la classe et au charme incroyable de la magnifique Blake Lively, impeccable dans le rôle et aussi à l’aise dans les scènes de romance que dans celles de violence et de détresse. À ses côtés, Jenny Slate fait bonne figure en meilleure amie prise entre deux feux même si son personnage est souvent cantonné aux décors. On est moins emballé par les deux personnages masculins, plus fades ici, et dont le jeu des acteurs se limite à leurs peu de traits de caractère. L’un n’est pas aussi menaçant qu’il le devrait tandis que l’autre apparaît bien trop avenant et gentillet. Des protagonistes écrites de manière bien trop simpliste dans le scénario adapté par Christy Hall qui nous a pourtant livré son premier film récemment (« Daddio ») qui se révélait bien mieux écrit à ce niveau. À souligner que la jeune actrice jouant Lively jeune est également très bonne et que, pour une fois, elle ressemble vraiment à son pendant plus âgé, ce qui n’est paradoxalement pas si courant. On déplore également des ellipses un peu brusques dans la première partie - ou alors mal négociées - ainsi que des coïncidences heureuses qui s’accumulent un peu en dépit de la logique (le fait de retrouver les deux prétendants « par hasard » dans une grande ville comme Boston ou le coup du numéro de téléphone caché).
On passe donc deux heures avec « Jamais plus » à se demander si on ne s’est pas trompé de film tant le cœur du sujet tarde à être traité. On regarde une sorte de romance nonchalante et aseptisée qui n’est pas déplaisante en soi mais qui pourrait se ranger dans le rayon des multiples drames sentimentaux à l’américaine d’où rien ne dépasse. Ce n’est que lors du dernier tiers que le film aborde véritablement la violence dans le couple mais il le fait en prenant tellement de gants que c’en est presque risible. Voire même que ça ne rend absolument pas justice à toutes ces femmes qui ont souffert de bien pire. Comme si Baldoni avait peur de son sujet et préférait le remiser dans le cadre d’un roman Harlequin générique. Heureusement, la conclusion est plus adroite et amère et offre une morale qui rattrape un peu le reste. Au demeurant, voilà un long-métrage anecdotique sur un sujet pourtant épineux et que la plupart des nombreux films sortant sur le sujet depuis quelques années traitent de manière moins hypocrite et gentillette. De la guimauve du dimanche soir en somme, davantage à destination des cinéphiles féminines peu regardantes.
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C'est un sujet important traité avec tact et délicatesse. J'ai aimé. Les acteurs sont vraiment bien. L'esthétisme du film est appréciable également. C'est beau.
« Jamais plus » transcende le cinéma pour s’élever au rang d’une œuvre d’art authentique, où chaque instant est une gemme précieuse taillée avec une précision émotive rare. Dans ce bal des apparences, la mièvrerie n’est autre que le masque d’un chaos sentimental qui marque au fer rouge. Adapté du roman à succès de Colleen Hoover, le film de Justin Baldoni ne se contente pas de raconter une histoire ; il la grave dans l'âme de ses spectateurs.
Blake Lively, en Lily Bloom, incarne une femme à la fois fragile et indomptable, dans une performance qui oscille entre la tempête intérieure et une quête poignante de rédemption. Elle irradie l’écran de son talent, incarnant la complexité d’une vie marquée par la douleur avec une justesse déconcertante. Chaque regard, chaque geste, chaque silence en dit plus long que n’importe quel dialogue.
La réalisation de Baldoni est une ode à la beauté du tragique, chaque scène étant un tableau où se mêlent avec maestria lumière et ombre, douleur et espoir. Les flashbacks sont employés non comme des artifices narratifs, mais comme des fenêtres sur l'âme blessée de Lily, ajoutant une profondeur qui ancre le spectateur dans une réalité où l'émotion règne en maître.
Le film s’attaque à des thèmes d’une intensité brutale : les vestiges d’un passé douloureux, l’amour qui se mue en un tourment destructeur, les contradictions d'un cœur humain écartelé entre passion et raison. Chaque décision de Lily est une bataille entre son désir de liberté et les chaînes invisibles de ses souvenirs. La complexité des sentiments, explorée avec une finesse déconcertante, nous rappelle que la vie, comme l’art, est tissée de nuances, de contradictions, et de paradoxes qui échappent aux simples définitions.
« Jamais plus » ne se contente pas de divertir, il bouscule, il émeut, il interroge. Ce drame romantique, qu’on pourrait à tort réduire à une simple adaptation, se révèle être un chef-d’œuvre autonome, capable de captiver aussi bien les connaisseurs du roman que ceux qui s’y aventurent pour la première fois. Le scénario, sans la moindre faille apparente, semble distiller la quintessence de l’œuvre littéraire dont il est issu, transformant une histoire intime en une expérience universelle.
Fondamentalement, « Jamais plus » est bien plus qu’un film : c’est une expérience cinématographique inoubliable, une odyssée émotionnelle où l’amour, dans toute sa splendeur et sa cruauté, se révèle être à la fois le bourreau et le sauveur.
Blake Lively, en Lily Bloom, incarne une femme à la fois fragile et indomptable, dans une performance qui oscille entre la tempête intérieure et une quête poignante de rédemption. Elle irradie l’écran de son talent, incarnant la complexité d’une vie marquée par la douleur avec une justesse déconcertante. Chaque regard, chaque geste, chaque silence en dit plus long que n’importe quel dialogue.
La réalisation de Baldoni est une ode à la beauté du tragique, chaque scène étant un tableau où se mêlent avec maestria lumière et ombre, douleur et espoir. Les flashbacks sont employés non comme des artifices narratifs, mais comme des fenêtres sur l'âme blessée de Lily, ajoutant une profondeur qui ancre le spectateur dans une réalité où l'émotion règne en maître.
Le film s’attaque à des thèmes d’une intensité brutale : les vestiges d’un passé douloureux, l’amour qui se mue en un tourment destructeur, les contradictions d'un cœur humain écartelé entre passion et raison. Chaque décision de Lily est une bataille entre son désir de liberté et les chaînes invisibles de ses souvenirs. La complexité des sentiments, explorée avec une finesse déconcertante, nous rappelle que la vie, comme l’art, est tissée de nuances, de contradictions, et de paradoxes qui échappent aux simples définitions.
« Jamais plus » ne se contente pas de divertir, il bouscule, il émeut, il interroge. Ce drame romantique, qu’on pourrait à tort réduire à une simple adaptation, se révèle être un chef-d’œuvre autonome, capable de captiver aussi bien les connaisseurs du roman que ceux qui s’y aventurent pour la première fois. Le scénario, sans la moindre faille apparente, semble distiller la quintessence de l’œuvre littéraire dont il est issu, transformant une histoire intime en une expérience universelle.
Fondamentalement, « Jamais plus » est bien plus qu’un film : c’est une expérience cinématographique inoubliable, une odyssée émotionnelle où l’amour, dans toute sa splendeur et sa cruauté, se révèle être à la fois le bourreau et le sauveur.
Très beau film, ça m'a vraiment plu, très touchée par cette histoire, et j'ai beaucoup aimé le choix des acteurs. Évidemment Blake j'adorais déjà mais je la trouve splendide dans ce film. Un plaisir également a regarder ses tenues, les décos...j ai envie de le revoir!
J'avais hâte de voir ce film et mon avis est mitigé. L'histoire est prenante quand même mais au vu du gros sujet abordé : les violences conjugales je trouve ce film sage.
Le sujet est survolé et je m'attendais à plus de réalisme comme dans l'amour et les forêts.
Je vais lire le livre afin de pouvoir comparer la fiction et l'écrit
Le sujet est survolé et je m'attendais à plus de réalisme comme dans l'amour et les forêts.
Je vais lire le livre afin de pouvoir comparer la fiction et l'écrit
Un film magnifique avec une belle histoire derrière
Une histoire donc certaine personne se reconnaîtront
Une femme touchante.
Une histoire donc certaine personne se reconnaîtront
Une femme touchante.
Désolée, je n'arrive pas, à comprendre les critiques presse qui m'ont incitée à aller voir ce film.
Je suis sortie de la salle au bout de 30mn.
Cliché sur cliché, reproduction cinématographique du magazine Nous Deux.
Que les moins de 20 ans... Etc.....
Je n'ai pas lu le livre "phénomène", le grand public devrait relire Victor Hugo...
Je suis sortie de la salle au bout de 30mn.
Cliché sur cliché, reproduction cinématographique du magazine Nous Deux.
Que les moins de 20 ans... Etc.....
Je n'ai pas lu le livre "phénomène", le grand public devrait relire Victor Hugo...
Comment dire après avoir vu les nuits avec mon ennemi et plus jamais avec Jennifer Lopez je m attendais vraiment à un niveau supérieur mais alors là Je déconseille absolument ce film. Les scènes de violences conjugales et sexuelles sont romantisé. Inacceptable pour notre époque.
Ce film est trop modelé à l eau de rose .
Très déçu
Ce film est trop modelé à l eau de rose .
Très déçu
Le film "Plus Jamais" aborde le sujet de la violence conjugale de manière assez pertinente. En effet, on assiste d'abord à une réalité idéalisée du nouvel homme de l'héroïne. Il est beau, riche et même s'il y a des accidents, il est toujours excusé par le contexte. A l'accident de trop, l'héroïne se rend compte que la violence faite a toujours été là et qu'elle a déformé la réalité afin de garder l'image parfaite de son homme.
Là où on aurait pû avoir un bon film, malheureusement ce dernier se perd dans les clichés. On comprend qu'ils sont là pour appuyer le côté idéalisé de la relation mais la subtilité est tellement absente qu'on devine chaque fin de scène des qu'elles sont introduites. Le dosage aurait peut-être dû être mieux fait pour servir le récit, car ici on va d'abord être amusé puis très vite, on lèvera les yeux au ciel à chaque case cochée.
Finalement, on s'ennuie un peu et à la fin, on regrette ces défauts qui gâchent la pertinence du propos.
Là où on aurait pû avoir un bon film, malheureusement ce dernier se perd dans les clichés. On comprend qu'ils sont là pour appuyer le côté idéalisé de la relation mais la subtilité est tellement absente qu'on devine chaque fin de scène des qu'elles sont introduites. Le dosage aurait peut-être dû être mieux fait pour servir le récit, car ici on va d'abord être amusé puis très vite, on lèvera les yeux au ciel à chaque case cochée.
Finalement, on s'ennuie un peu et à la fin, on regrette ces défauts qui gâchent la pertinence du propos.
Un magnifique film ! Après un début assez lent, le film monte crescendo pour offrir de très beaux moments d’émotions, et un regard intéressant sur le sujet dont il traite. Je ne connaissais pas le livre et je n’avais pas vu la bande annonce, j’ai donc été très agréablement surpris de ne pas tomber sur une histoire de fil cousu (c’est également pour cela que je n’en dirais pas plus). Et quelques jours après, certaines scènes me hantent encore et je réalise qu’elles ont vraiment touché mon cœur.
La réalisation est assez classique, mais avec quelques mouvements de caméra assez stylés. Les acteurs sont inégaux et le doublage français m’a un peu gêné. Mais Blake Lively porte parfaitement le film sur ses épaules.
La réalisation est assez classique, mais avec quelques mouvements de caméra assez stylés. Les acteurs sont inégaux et le doublage français m’a un peu gêné. Mais Blake Lively porte parfaitement le film sur ses épaules.
Lily Bloom revient dans sa ville natale pour assister aux funérailles de son père. Impossible pour elle de prendre la parole pour citer 5 choses positives sur cet homme. Quelques mois plus tard, on la retrouve à Boston décidée à ouvrir son magasin de fleurs. À peine le lieu est-il ouvert qu'elle fait la connaissance de sa future employée Allysa et de son frère qu'elle ne laisse pas indifférent. En salle le 14 août.
spoiler: "Jamais plus" est un film dont je salue le sujet abordé : la violence faite aux femmes dans le cadre intrafamilial. Sur certains aspects, l'intrigue pose des questions capitales notamment la dissimulation aux proches. En nous trompant et nous cachant la vérité jusqu'à la fin, le film nous fait comprendre comment cela peut arriver autour de nous, sous nos yeux, sans que nous le comprenions. Toutefois, le traitement final du personnage de Ryle est ultra problématique selon moi et absolument naïf. On nous démontre la violence de l'homme pendant 1h30 pour se lancer dans une campagne de pardon et de compréhension à son égard assez border sur la fin.
spoiler: "Jamais plus" est un film dont je salue le sujet abordé : la violence faite aux femmes dans le cadre intrafamilial. Sur certains aspects, l'intrigue pose des questions capitales notamment la dissimulation aux proches. En nous trompant et nous cachant la vérité jusqu'à la fin, le film nous fait comprendre comment cela peut arriver autour de nous, sous nos yeux, sans que nous le comprenions. Toutefois, le traitement final du personnage de Ryle est ultra problématique selon moi et absolument naïf. On nous démontre la violence de l'homme pendant 1h30 pour se lancer dans une campagne de pardon et de compréhension à son égard assez border sur la fin.
Un film à voir! J'ai beaucoup aimé l'histoire ainsi que les acteurs. L'histoire du livre n'est pas tout à fait la même mais le film reste cohérent tout de même. Je vous le recommande :)
J’ai adoré bravo à Blake pour son rôle incroyable, ce film est vraiment complet il y’a aussi bien des scènes tristes et violente que de la joie et du bonheur c’est un chef d’œuvre !
Au moins, pour une fois, ce film n'est pas manichéen, c'est sans doute sa seule qualité. Pour le reste, la romance guimauve, la musique sirupeuse et l'overdose de fleurs passent complètement à côté du sujet et rendent le tout encore plus malaisant, mais c'était peut-être le but recherché. Ce film m'a juste donné envie de revoir Les nuits avec mon ennemi.
Adaptation d'un best-seller,
le style d'histoire qu'on imagine bien
en effet dans un livre pour filles,
avec sa romance au centre de tout.
Un film fleur bleue et sentimental.
Il faudra bien sûr aimer la guimauve pour apprécier,
c'est mon cas ! 😅👍
le style d'histoire qu'on imagine bien
en effet dans un livre pour filles,
avec sa romance au centre de tout.
Un film fleur bleue et sentimental.
Il faudra bien sûr aimer la guimauve pour apprécier,
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