Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Marie Claire
par Emily Barnett
Ce premier film est une merveilleuse réussite. Paré de noir et blanc, avec des fantaisies au montage, il a la patine d’un vieux vinyle d’Iggy Pop.
20 Minutes
par Caroline Vié
On peut trouver la fille qu’elle incarneexaspérante par moments, mais Sara Forestier la rend si crédible qu’on finit par s’attacher à cette écorchée vive.
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Playlist respire la vie, autant qu’un morceau de Nana Mouskouri ou un album d’Electrelane : avec douceur et liberté, avec force et amour.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par La Rédaction
Un film sincère et juste.
Culturopoing.com
par Anna Fournier
Les nuances de gris et les trajectoires incertaines rappellent plus fortement Frances Ha, qui lui-même possédait quelques substances alleniennes. Mais si chez Noah Baumbach le ton était plus poétique, dans Playlist le désordre est matériel, facilement palpable. En étant frontal et moins nonchalant, le comique est plus fragrant. Il évite aussi de ne servir de refuge qu'aux bobos désœuvrés.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Sophie Joubert
Entre manuel de survie en milieu hostile et critique bien vue du milieu fermé et masculin de la BD, Nine Antico réussit un premier film alerte et culotté.
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Nine Antico transpose le rythme et la tonalité de ses bandes dessinées en passant derrière la caméra pour son premier long métrage. Porté par une Sara Forestier remarquable, “Playlist” est une agréable surprise – qui peine cependant à tenir sur la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
On ne s’explique pas par quelle agilité le film trouve à amender gracieusement cet attirail branché, et à y débusquer une certaine fraîcheur, par-dessus le marché. Ce n’est pas sans rapport avec le champ de cabrioles offert à ses comédiens, qui le lui rendent en drôlerie et en ardeur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Sublimée par la beauté de la lumière en noir et blanc et des chansons de Daniel Johnston qui rythment le récit, Sara Forestier y est renversante.
Paris Match
par Margaret Macdonald
Filmée en noir et blanc, ce premier long-métrage de Nine Antico est une ode à l’amitié féminine et une néo-comédie romantique comme on en voit peu dans le cinéma français.
Positif
par Ariane Allard
Difficile, dès lors, de ne pas se laisser emporter par son récit débridé, tour à tour rageur et amusé (satire du petit monde de la B.D. à la clé). Raccord, et ça n’est pas la moindre de ses qualités, avec ses personnages de filles libres, qui foncent quoi qu’il en soit, avec pertes et fracas !
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec son minois rogue et charmant à la fois, Sara Forestier est irrésistible. D’une sensibilité écorchée et d’une drôlerie extrême.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Avec ce film versatile et musical, plein de modulations ambivalentes et nonchalantes qui évoquent effectivement l'esprit du cinéma indépendant américain des années quatre-vingt-dix, Nine Antico exprime un ton souvent absent de notre production nationale.
Télérama
par Mathilde Blottière
Nine Antico déploie l’univers graphique de ses BD au charme rétro et décalé sur grand écran. Savoureux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
On aime beaucoup.
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Point de vue subjectif et stylisation du noir et blanc imprègnent le film d’un individualisme presque dandy. La ténacité aveugle de Sophie nous semble alors presque relever d’une forme de pureté, d’autant que celle-ci émerge naturellement du frottement entre le personnage et l’actrice qui, sincère et précise, l’interprète.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Charmant et rugueux comme les premiers films de Noah Baumbach, Playlist manque peut-être parfois d’un tour de vis de scénario, s’étire un peu sans savoir vraiment où aller. La contrepartie d’un cinéma joueur qui se faufile comme un courant d’air pour nous rafraîchir les idées.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Et si le rythme se traîne un peu, à la manière du rock lo-fi de Daniel Johnston qui ponctue le film, la fraîcheur du duo de copines hors-sol formé par Sara Forestier et Laetitia Dosch vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Casting gagnant, Sara Forestier (Sophie), Lætitia Dosch (Julia) et Inas Chanti (la colocataire de Sophie à l’énergie un brin inquiétante) donnent le bon tempo à cette comédie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
La satire du milieu de la BD est la partie la plus réussie. La chronique en noir et blanc des amours contrariées d'une presque trentenaire paumée est moins convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Nourri d'influences diverses, entre essai arty et comédie de mœurs façon Woody Allen, Playlist est bourré de charme. Il est aussi un peu inégal et chaotique, défauts dont la réalisatrice a l'élégance ironique de sourire au détour d'une mise en abyme subtile où son héroïne, passant un casting, estime que le scénario du film n'est pas abouti.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
(...) un joli point de vue féminin sur la difficulté d’être jeune aujourd’hui, avec une touche de romantisme presque punk, de belles fulgurances et des personnages pétillants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
L’illustratrice opère une greffe réussie de son univers BD féministe dans une comédie sur l’errance amoureuse et professionnelle.
Première
par Thomas Baurez
Un premier long-métrage ludique et drôle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Foutraque, mais délicieusement pop.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le propos est attachant et sincère, la réalisation ne convainc pas vraiment, réduisant le film à une juxtaposition de scènes et de personnages dévorés par le spleen.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Réalisé façon « nouvelle vague », Playlist assujettit les thèmes de l’époque à une esthétique démodée.
Marie Claire
Ce premier film est une merveilleuse réussite. Paré de noir et blanc, avec des fantaisies au montage, il a la patine d’un vieux vinyle d’Iggy Pop.
20 Minutes
On peut trouver la fille qu’elle incarneexaspérante par moments, mais Sara Forestier la rend si crédible qu’on finit par s’attacher à cette écorchée vive.
Bande à part
Playlist respire la vie, autant qu’un morceau de Nana Mouskouri ou un album d’Electrelane : avec douceur et liberté, avec force et amour.
Closer
Un film sincère et juste.
Culturopoing.com
Les nuances de gris et les trajectoires incertaines rappellent plus fortement Frances Ha, qui lui-même possédait quelques substances alleniennes. Mais si chez Noah Baumbach le ton était plus poétique, dans Playlist le désordre est matériel, facilement palpable. En étant frontal et moins nonchalant, le comique est plus fragrant. Il évite aussi de ne servir de refuge qu'aux bobos désœuvrés.
L'Humanité
Entre manuel de survie en milieu hostile et critique bien vue du milieu fermé et masculin de la BD, Nine Antico réussit un premier film alerte et culotté.
Les Fiches du Cinéma
Nine Antico transpose le rythme et la tonalité de ses bandes dessinées en passant derrière la caméra pour son premier long métrage. Porté par une Sara Forestier remarquable, “Playlist” est une agréable surprise – qui peine cependant à tenir sur la longueur.
Libération
On ne s’explique pas par quelle agilité le film trouve à amender gracieusement cet attirail branché, et à y débusquer une certaine fraîcheur, par-dessus le marché. Ce n’est pas sans rapport avec le champ de cabrioles offert à ses comédiens, qui le lui rendent en drôlerie et en ardeur.
Ouest France
Sublimée par la beauté de la lumière en noir et blanc et des chansons de Daniel Johnston qui rythment le récit, Sara Forestier y est renversante.
Paris Match
Filmée en noir et blanc, ce premier long-métrage de Nine Antico est une ode à l’amitié féminine et une néo-comédie romantique comme on en voit peu dans le cinéma français.
Positif
Difficile, dès lors, de ne pas se laisser emporter par son récit débridé, tour à tour rageur et amusé (satire du petit monde de la B.D. à la clé). Raccord, et ça n’est pas la moindre de ses qualités, avec ses personnages de filles libres, qui foncent quoi qu’il en soit, avec pertes et fracas !
Sud Ouest
Avec son minois rogue et charmant à la fois, Sara Forestier est irrésistible. D’une sensibilité écorchée et d’une drôlerie extrême.
Transfuge
Avec ce film versatile et musical, plein de modulations ambivalentes et nonchalantes qui évoquent effectivement l'esprit du cinéma indépendant américain des années quatre-vingt-dix, Nine Antico exprime un ton souvent absent de notre production nationale.
Télérama
Nine Antico déploie l’univers graphique de ses BD au charme rétro et décalé sur grand écran. Savoureux.
Voici
On aime beaucoup.
Cahiers du Cinéma
Point de vue subjectif et stylisation du noir et blanc imprègnent le film d’un individualisme presque dandy. La ténacité aveugle de Sophie nous semble alors presque relever d’une forme de pureté, d’autant que celle-ci émerge naturellement du frottement entre le personnage et l’actrice qui, sincère et précise, l’interprète.
CinemaTeaser
Charmant et rugueux comme les premiers films de Noah Baumbach, Playlist manque peut-être parfois d’un tour de vis de scénario, s’étire un peu sans savoir vraiment où aller. La contrepartie d’un cinéma joueur qui se faufile comme un courant d’air pour nous rafraîchir les idées.
L'Obs
Et si le rythme se traîne un peu, à la manière du rock lo-fi de Daniel Johnston qui ponctue le film, la fraîcheur du duo de copines hors-sol formé par Sara Forestier et Laetitia Dosch vaut le détour.
La Croix
Casting gagnant, Sara Forestier (Sophie), Lætitia Dosch (Julia) et Inas Chanti (la colocataire de Sophie à l’énergie un brin inquiétante) donnent le bon tempo à cette comédie.
Le Figaro
La satire du milieu de la BD est la partie la plus réussie. La chronique en noir et blanc des amours contrariées d'une presque trentenaire paumée est moins convaincante.
Le Journal du Dimanche
Nourri d'influences diverses, entre essai arty et comédie de mœurs façon Woody Allen, Playlist est bourré de charme. Il est aussi un peu inégal et chaotique, défauts dont la réalisatrice a l'élégance ironique de sourire au détour d'une mise en abyme subtile où son héroïne, passant un casting, estime que le scénario du film n'est pas abouti.
Le Parisien
(...) un joli point de vue féminin sur la difficulté d’être jeune aujourd’hui, avec une touche de romantisme presque punk, de belles fulgurances et des personnages pétillants.
Les Inrockuptibles
L’illustratrice opère une greffe réussie de son univers BD féministe dans une comédie sur l’errance amoureuse et professionnelle.
Première
Un premier long-métrage ludique et drôle.
Télé 7 Jours
Foutraque, mais délicieusement pop.
aVoir-aLire.com
Si le propos est attachant et sincère, la réalisation ne convainc pas vraiment, réduisant le film à une juxtaposition de scènes et de personnages dévorés par le spleen.
Le Monde
Réalisé façon « nouvelle vague », Playlist assujettit les thèmes de l’époque à une esthétique démodée.