Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un film d'une délicatesse foudroyante.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Tout est vibrant, puissant, d'une beauté sobre et maîtrisée.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Semé d'allégories, le film évoque avec finesse la complexité d'une intégration, et les sentiments que produit ce voyage vers un ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Télé Loisirs
par Claire Picard
Le réalisateur replonge dans son enfance pour livrer une chronique familiale profondément touchante, qui aborde, à travers le point de vue de plusieurs personnages et avec beaucoup de finesse et d'empathie, la question du déracinement.
20 Minutes
par Caroline Vié
La performance de Youn Yuh-jung, toute en finesse et en dynamisme, constitue un atout puissant pour Minari.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
20 Minutes
par Caroline Vié
La performance de Youn Yuh-jung, toute en finesse et en dynamisme, constitue un atout puissant pour Minari.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Une histoire bouleversante et pleine d’humanité.
Elle
par Françoise Delbecq
Entre la chronique familiale et le drame social, Minari se révèle d'une grande tendresse.
L'Humanité
par Michèle Levieux
Un conte familial poétique dans une Amérique reaganienne.
L'Obs
par Jérôme Garcin
A ce sujet âpre, comme s’il voulait le réconforter, le réalisateur a donné une image de toute beauté et des cadres à la Malick. Il a mis de la grâce dans la crasse et du soleil dans l’eau froide, où le minari fleurit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si l’expérience de Lee Isaac Chung transposée à l’écran est toute personnelle, elle parvient à émouvoir chacun. Parce qu’elle renoue, à sa manière posée mais non dénuée de dramaturgie, avec le mythe universel des pionniers.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
"Minari" a ce quelque chose de très avenant propre aux grandes épopées familiales, aux films spectaculaires d'intimité à la gravité solaire et d'une générosité sans faille.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une histoire simple et magnifique sur l’enracinement, dosage harmonieux entre le drame social, la chronique familiale et le mélo déchirant.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un conte social à la fois grave et léger, magnifiquement interprété.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Chronique d’une désillusion, le film de Lee Isaac Chung raconte l’installation d’une famille sud-coréenne dans l’Arkansas. Et touche juste avec ce qu’il faut de lyrisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit brille par son authenticité, son émotion et sa drôlerie à travers le personnage de l'enfant, irrésistible. Une petite merveille.
Le Parisien
par La Rédaction
On s’attache à cette famille « ordinaire » et à cette grand-mère originale, qui regarde le catch, jure et ne s’offusque pas quand son petit-fils la rejette (interprétée par Youn Yuh-jung, tout juste récompensée par un Oscar).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers le rêve fou d'un émigré de Corée, « Minari » déroule une touchante autobiographie sur fond de Midwest américain et d'années 1980.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Si l'ensemble peut sembler convenu, "Minari" est un portrait familial touchant, qui évoque avec justesse les questions du déracinement et de la désillusion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
C'est un film qui n'avance pas masqué, un film dont on sait exactement d'où il vient et où il va, mais qui le fait à pas feutrés, avec une élégance rare et une grâce de chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le film examine ce qu’il reste (ou pas) du rêve américain pour ces derniers de cordée de la mondialisation.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Entre récit intime et chronique sociale, ce film sensible [...] distille son charme avec délicatesse.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
En piochant dans son enfance, Lee Isaac Chung livre un beau film.
Positif
par Lorenzo Codelli
C'est justement la somme de tout petits détails, tristes ou drôles, qui fait la force de cette saga [...].
Première
par Thierry Chèze
Chronique familiale, drame sociétal sur les difficultés vécues par le monde rural sous Reagan et réflexion sur le rêve américain et ses dommages collatéraux, le film mêle les genres avec une dextérité jamais prise en défaut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par La Rédaction
Du grand cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau film sur une famille coréenne qui embrasse la vie de fermiers américains, où la comédie et le tragique se conjuguent.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette chronique intimiste (produite par Brad Pitt) touche par sa simplicité et la vérité qui l’irrigue. Tous les comédiens sont admirables, et le jeune Alan S. Kim est absolument craquant.
Télérama
par Samuel Douhaire
Même dans les situations les plus douloureuses, le film ne se départ jamais d’une grande douceur dans sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Portrait réaliste et lyrique d'un désir obstiné du rêve américain, vu à travers les yeux d'un petit garçon craquant.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Minari se décline comme une chronique familiale du réenracinement, parfois trop idéalisée, qui est aussi une chronique du devenir américain.
Libération
par Laura Tuillier
En mettant en scène ses souvenirs d’enfant d’origine coréenne élevé en Arkansas par des parents agriculteurs, Lee Isaac Chung signe un film touchant mais un peu trop convenu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Benjamin Locoge
Lee Isaac Chung cajole ses personnages avec une véritable tendresse et raconte en creux une histoire de déracinement, la désillusion, et célèbre finalement les liens familiaux avec une pudeur toute asiatique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Hélas, la décontextualisation va ici de pair avec le retranchement de toute singularité. Face aux difficultés climatiques, économiques et médicales, les Yi se retrouvent figés dans des rôles et un programme convenus (…).
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Une famille d’origine coréenne vient s’installer dans les plaines de l’Arkansas, pour reprendre une ferme. Le film, ni vraiment coréen, ni vraiment américain, ne trouve pas son ton. Il reste tout de même servi par d’excellents acteurs, à commencer par les enfants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Un film d'une délicatesse foudroyante.
Femme Actuelle
Tout est vibrant, puissant, d'une beauté sobre et maîtrisée.
Franceinfo Culture
Semé d'allégories, le film évoque avec finesse la complexité d'une intégration, et les sentiments que produit ce voyage vers un ailleurs.
Télé Loisirs
Le réalisateur replonge dans son enfance pour livrer une chronique familiale profondément touchante, qui aborde, à travers le point de vue de plusieurs personnages et avec beaucoup de finesse et d'empathie, la question du déracinement.
20 Minutes
La performance de Youn Yuh-jung, toute en finesse et en dynamisme, constitue un atout puissant pour Minari.
20 Minutes
La performance de Youn Yuh-jung, toute en finesse et en dynamisme, constitue un atout puissant pour Minari.
CNews
Une histoire bouleversante et pleine d’humanité.
Elle
Entre la chronique familiale et le drame social, Minari se révèle d'une grande tendresse.
L'Humanité
Un conte familial poétique dans une Amérique reaganienne.
L'Obs
A ce sujet âpre, comme s’il voulait le réconforter, le réalisateur a donné une image de toute beauté et des cadres à la Malick. Il a mis de la grâce dans la crasse et du soleil dans l’eau froide, où le minari fleurit.
La Croix
Si l’expérience de Lee Isaac Chung transposée à l’écran est toute personnelle, elle parvient à émouvoir chacun. Parce qu’elle renoue, à sa manière posée mais non dénuée de dramaturgie, avec le mythe universel des pionniers.
La Septième Obsession
"Minari" a ce quelque chose de très avenant propre aux grandes épopées familiales, aux films spectaculaires d'intimité à la gravité solaire et d'une générosité sans faille.
La Voix du Nord
Une histoire simple et magnifique sur l’enracinement, dosage harmonieux entre le drame social, la chronique familiale et le mélo déchirant.
Le Dauphiné Libéré
Un conte social à la fois grave et léger, magnifiquement interprété.
Le Figaro
Chronique d’une désillusion, le film de Lee Isaac Chung raconte l’installation d’une famille sud-coréenne dans l’Arkansas. Et touche juste avec ce qu’il faut de lyrisme.
Le Journal du Dimanche
Le récit brille par son authenticité, son émotion et sa drôlerie à travers le personnage de l'enfant, irrésistible. Une petite merveille.
Le Parisien
On s’attache à cette famille « ordinaire » et à cette grand-mère originale, qui regarde le catch, jure et ne s’offusque pas quand son petit-fils la rejette (interprétée par Youn Yuh-jung, tout juste récompensée par un Oscar).
Les Echos
A travers le rêve fou d'un émigré de Corée, « Minari » déroule une touchante autobiographie sur fond de Midwest américain et d'années 1980.
Les Fiches du Cinéma
Si l'ensemble peut sembler convenu, "Minari" est un portrait familial touchant, qui évoque avec justesse les questions du déracinement et de la désillusion.
Les Inrockuptibles
C'est un film qui n'avance pas masqué, un film dont on sait exactement d'où il vient et où il va, mais qui le fait à pas feutrés, avec une élégance rare et une grâce de chaque instant.
Marianne
Le film examine ce qu’il reste (ou pas) du rêve américain pour ces derniers de cordée de la mondialisation.
Marie Claire
Entre récit intime et chronique sociale, ce film sensible [...] distille son charme avec délicatesse.
Ouest France
En piochant dans son enfance, Lee Isaac Chung livre un beau film.
Positif
C'est justement la somme de tout petits détails, tristes ou drôles, qui fait la force de cette saga [...].
Première
Chronique familiale, drame sociétal sur les difficultés vécues par le monde rural sous Reagan et réflexion sur le rêve américain et ses dommages collatéraux, le film mêle les genres avec une dextérité jamais prise en défaut.
Rolling Stone
Du grand cinéma.
Sud Ouest
Un beau film sur une famille coréenne qui embrasse la vie de fermiers américains, où la comédie et le tragique se conjuguent.
Télé 7 Jours
Cette chronique intimiste (produite par Brad Pitt) touche par sa simplicité et la vérité qui l’irrigue. Tous les comédiens sont admirables, et le jeune Alan S. Kim est absolument craquant.
Télérama
Même dans les situations les plus douloureuses, le film ne se départ jamais d’une grande douceur dans sa mise en scène.
Voici
Portrait réaliste et lyrique d'un désir obstiné du rêve américain, vu à travers les yeux d'un petit garçon craquant.
Le Monde
Minari se décline comme une chronique familiale du réenracinement, parfois trop idéalisée, qui est aussi une chronique du devenir américain.
Libération
En mettant en scène ses souvenirs d’enfant d’origine coréenne élevé en Arkansas par des parents agriculteurs, Lee Isaac Chung signe un film touchant mais un peu trop convenu.
Paris Match
Lee Isaac Chung cajole ses personnages avec une véritable tendresse et raconte en creux une histoire de déracinement, la désillusion, et célèbre finalement les liens familiaux avec une pudeur toute asiatique.
Cahiers du Cinéma
Hélas, la décontextualisation va ici de pair avec le retranchement de toute singularité. Face aux difficultés climatiques, économiques et médicales, les Yi se retrouvent figés dans des rôles et un programme convenus (…).
aVoir-aLire.com
Une famille d’origine coréenne vient s’installer dans les plaines de l’Arkansas, pour reprendre une ferme. Le film, ni vraiment coréen, ni vraiment américain, ne trouve pas son ton. Il reste tout de même servi par d’excellents acteurs, à commencer par les enfants.