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Le réalisateur replonge dans son enfance pour livrer une chronique familiale profondément touchante, qui aborde, à travers le point de vue de plusieurs personnages et avec beaucoup de finesse et d'empathie, la question du déracinement.
A ce sujet âpre, comme s’il voulait le réconforter, le réalisateur a donné une image de toute beauté et des cadres à la Malick. Il a mis de la grâce dans la crasse et du soleil dans l’eau froide, où le minari fleurit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si l’expérience de Lee Isaac Chung transposée à l’écran est toute personnelle, elle parvient à émouvoir chacun. Parce qu’elle renoue, à sa manière posée mais non dénuée de dramaturgie, avec le mythe universel des pionniers.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
"Minari" a ce quelque chose de très avenant propre aux grandes épopées familiales, aux films spectaculaires d'intimité à la gravité solaire et d'une générosité sans faille.
Chronique d’une désillusion, le film de Lee Isaac Chung raconte l’installation d’une famille sud-coréenne dans l’Arkansas. Et touche juste avec ce qu’il faut de lyrisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
On s’attache à cette famille « ordinaire » et à cette grand-mère originale, qui regarde le catch, jure et ne s’offusque pas quand son petit-fils la rejette (interprétée par Youn Yuh-jung, tout juste récompensée par un Oscar).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Si l'ensemble peut sembler convenu, "Minari" est un portrait familial touchant, qui évoque avec justesse les questions du déracinement et de la désillusion.
C'est un film qui n'avance pas masqué, un film dont on sait exactement d'où il vient et où il va, mais qui le fait à pas feutrés, avec une élégance rare et une grâce de chaque instant.
Chronique familiale, drame sociétal sur les difficultés vécues par le monde rural sous Reagan et réflexion sur le rêve américain et ses dommages collatéraux, le film mêle les genres avec une dextérité jamais prise en défaut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cette chronique intimiste (produite par Brad Pitt) touche par sa simplicité et la vérité qui l’irrigue. Tous les comédiens sont admirables, et le jeune Alan S. Kim est absolument craquant.
En mettant en scène ses souvenirs d’enfant d’origine coréenne élevé en Arkansas par des parents agriculteurs, Lee Isaac Chung signe un film touchant mais un peu trop convenu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Lee Isaac Chung cajole ses personnages avec une véritable tendresse et raconte en creux une histoire de déracinement, la désillusion, et célèbre finalement les liens familiaux avec une pudeur toute asiatique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Hélas, la décontextualisation va ici de pair avec le retranchement de toute singularité. Face aux difficultés climatiques, économiques et médicales, les Yi se retrouvent figés dans des rôles et un programme convenus (…).
Une famille d’origine coréenne vient s’installer dans les plaines de l’Arkansas, pour reprendre une ferme. Le film, ni vraiment coréen, ni vraiment américain, ne trouve pas son ton. Il reste tout de même servi par d’excellents acteurs, à commencer par les enfants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Un film d'une délicatesse foudroyante.
Femme Actuelle
Tout est vibrant, puissant, d'une beauté sobre et maîtrisée.
Franceinfo Culture
Semé d'allégories, le film évoque avec finesse la complexité d'une intégration, et les sentiments que produit ce voyage vers un ailleurs.
Télé Loisirs
Le réalisateur replonge dans son enfance pour livrer une chronique familiale profondément touchante, qui aborde, à travers le point de vue de plusieurs personnages et avec beaucoup de finesse et d'empathie, la question du déracinement.
20 Minutes
La performance de Youn Yuh-jung, toute en finesse et en dynamisme, constitue un atout puissant pour Minari.
20 Minutes
La performance de Youn Yuh-jung, toute en finesse et en dynamisme, constitue un atout puissant pour Minari.
CNews
Une histoire bouleversante et pleine d’humanité.
Elle
Entre la chronique familiale et le drame social, Minari se révèle d'une grande tendresse.
L'Humanité
Un conte familial poétique dans une Amérique reaganienne.
L'Obs
A ce sujet âpre, comme s’il voulait le réconforter, le réalisateur a donné une image de toute beauté et des cadres à la Malick. Il a mis de la grâce dans la crasse et du soleil dans l’eau froide, où le minari fleurit.
La Croix
Si l’expérience de Lee Isaac Chung transposée à l’écran est toute personnelle, elle parvient à émouvoir chacun. Parce qu’elle renoue, à sa manière posée mais non dénuée de dramaturgie, avec le mythe universel des pionniers.
La Septième Obsession
"Minari" a ce quelque chose de très avenant propre aux grandes épopées familiales, aux films spectaculaires d'intimité à la gravité solaire et d'une générosité sans faille.
La Voix du Nord
Une histoire simple et magnifique sur l’enracinement, dosage harmonieux entre le drame social, la chronique familiale et le mélo déchirant.
Le Dauphiné Libéré
Un conte social à la fois grave et léger, magnifiquement interprété.
Le Figaro
Chronique d’une désillusion, le film de Lee Isaac Chung raconte l’installation d’une famille sud-coréenne dans l’Arkansas. Et touche juste avec ce qu’il faut de lyrisme.
Le Journal du Dimanche
Le récit brille par son authenticité, son émotion et sa drôlerie à travers le personnage de l'enfant, irrésistible. Une petite merveille.
Le Parisien
On s’attache à cette famille « ordinaire » et à cette grand-mère originale, qui regarde le catch, jure et ne s’offusque pas quand son petit-fils la rejette (interprétée par Youn Yuh-jung, tout juste récompensée par un Oscar).
Les Echos
A travers le rêve fou d'un émigré de Corée, « Minari » déroule une touchante autobiographie sur fond de Midwest américain et d'années 1980.
Les Fiches du Cinéma
Si l'ensemble peut sembler convenu, "Minari" est un portrait familial touchant, qui évoque avec justesse les questions du déracinement et de la désillusion.
Les Inrockuptibles
C'est un film qui n'avance pas masqué, un film dont on sait exactement d'où il vient et où il va, mais qui le fait à pas feutrés, avec une élégance rare et une grâce de chaque instant.
Marianne
Le film examine ce qu’il reste (ou pas) du rêve américain pour ces derniers de cordée de la mondialisation.
Marie Claire
Entre récit intime et chronique sociale, ce film sensible [...] distille son charme avec délicatesse.
Ouest France
En piochant dans son enfance, Lee Isaac Chung livre un beau film.
Positif
C'est justement la somme de tout petits détails, tristes ou drôles, qui fait la force de cette saga [...].
Première
Chronique familiale, drame sociétal sur les difficultés vécues par le monde rural sous Reagan et réflexion sur le rêve américain et ses dommages collatéraux, le film mêle les genres avec une dextérité jamais prise en défaut.
Rolling Stone
Du grand cinéma.
Sud Ouest
Un beau film sur une famille coréenne qui embrasse la vie de fermiers américains, où la comédie et le tragique se conjuguent.
Télé 7 Jours
Cette chronique intimiste (produite par Brad Pitt) touche par sa simplicité et la vérité qui l’irrigue. Tous les comédiens sont admirables, et le jeune Alan S. Kim est absolument craquant.
Télérama
Même dans les situations les plus douloureuses, le film ne se départ jamais d’une grande douceur dans sa mise en scène.
Voici
Portrait réaliste et lyrique d'un désir obstiné du rêve américain, vu à travers les yeux d'un petit garçon craquant.
Le Monde
Minari se décline comme une chronique familiale du réenracinement, parfois trop idéalisée, qui est aussi une chronique du devenir américain.
Libération
En mettant en scène ses souvenirs d’enfant d’origine coréenne élevé en Arkansas par des parents agriculteurs, Lee Isaac Chung signe un film touchant mais un peu trop convenu.
Paris Match
Lee Isaac Chung cajole ses personnages avec une véritable tendresse et raconte en creux une histoire de déracinement, la désillusion, et célèbre finalement les liens familiaux avec une pudeur toute asiatique.
Cahiers du Cinéma
Hélas, la décontextualisation va ici de pair avec le retranchement de toute singularité. Face aux difficultés climatiques, économiques et médicales, les Yi se retrouvent figés dans des rôles et un programme convenus (…).
aVoir-aLire.com
Une famille d’origine coréenne vient s’installer dans les plaines de l’Arkansas, pour reprendre une ferme. Le film, ni vraiment coréen, ni vraiment américain, ne trouve pas son ton. Il reste tout de même servi par d’excellents acteurs, à commencer par les enfants.