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    Mank
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    Midnight on the cliffs
    Midnight on the cliffs

    54 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 décembre 2020
    Mank, malgré son casting de luxe et une réalisation très soignée, reste d'une stupéfiante aridité. Loin du brio et du glamour des films des années 40, David Fincher réalise un film expérimental et prétentieux qui peine à séduire même un public pourtant acquis à sa cause.

    Même si Gary Oldman est irréprochable, la maladroite et inutile politisation du récit, les références littéraires quelque peu prétentieuses et les ellipses narratives parfois obscures, nous feront regretter ce que ce film aurait pu être si son réalisateur n'avait pas voulu coûte que coûte réaliser son œuvre maitresse au mépris du spectateur : un chef d'oeuvre.

    Dommage ...
    Camille Tiercen
    Camille Tiercen

    4 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 juillet 2022
    Très recherché mais j'ai pas accroché du tout. Je m'attendais a un film parlant sur le cinéma des années 30 et sur Citizen Kane et ce fut ça....et autre chose d'intéressant mais peu important je trouve. A part si ça venait du réalisateur. 6 ans pour ça quand même ! Un très bon film qui est l'un des meilleurs de l'année mais en aucun cas le chef d'œuvre annoncé.
    tisma
    tisma

    265 abonnés 1 881 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    C'est grandiose, on ne peut pas le nier. Le travail fourni par David Fincher pour avoir une affiche peinte comme dans les années 30/40, avoir le même grain et la même qualité d'image, la même typographie, les mêmes transition, les musiques calqués sur celle de l'époque actuelle ! Le travail est fou, et les acteurs offrent eux aussi un incroyable spectacle ! Le scénario élaboré par le père de David Fincher est ce qui m'a le moins convaincu !
    Cinememories
    Cinememories

    448 abonnés 1 437 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    Ce n’est peut-être pas fondamentalement le plus accessible des David Fincher, mais cela fait un bien fou de le retrouver dans un projet envers et contre tous. Il n’y aura pas nécessité de se familiariser avec Citizen Kane, dont le film développe la moelle épinière même de son scénario, pour en comprendre la substance et l’hérésie de la création, à l’époque du Hollywood des années 30. Mais c’est un double hommage auquel nous avons à faire et il s’agira de scénaristes que l’on aurait tendance à oublier. Jack, le père du cinéaste, vit à travers ce film à son récit qui dévoile bien des aspects ténébreux dans le parcours d’Herman Mankiewicz. Tous les deux se sont battus pour s’affirmer comme l’un des rouages les plus essentiels à la réussite d’une œuvre cinématographique. Et tout le débat se concentre ici et s’éparpille par là, au détour d’un intérêt primordial, qui soulève ainsi la pertinence de ce que représente un auteur, au centre d’une machinerie sans concessions.

    On donne finalement un visage, une personnalité et une âme à la silhouette de Mankiewicz. Gary Oldman se heurte alors à une figure patrimoniale dont il est nécessaire de comprendre sa morale pour en venir à bout. Il se saisit de son personnage, avec une finesse qui nous replonge dans cette période irrévérencieuse, où les anecdotes se succèdent en flashback. On partage, sans surprise, une narration et un style graphique similaires à ceux qui ont sacralisé Charles Foster Kane. Et de ce point de vue là, il faut bien reconnaître les subtils échos au Citizen Kane qui a révélé le génie d’Orson Welles. Pourtant, il n’est pas question de cet homme, intentionnellement absent dans le récit et le projet même, qu’il monte par la force de son indépendance. L’intrigue constitue ainsi le portrait idéaliste du réalisateur et de la société d’une Amérique, corrompue depuis la haute sphère. Rien n’est inventé, tout n’est qu’un peu plus clairvoyant et translucide pour les spectateurs, ou plutôt les explorateurs des temps modernes, qui ont le pouvoir et la tâche de décrypter ce que chacun exprime avec son cœur.

    Le cas de l’homme d’affaires William Randolph Hearst (Charles Dance) et empereur du chaos nous appelle. Il nous incite à modérer la réception des gestes les plus manipulateurs, car même ceux qui ont l’œil attentif peuvent un jour ou l’autre se retrouver sur le bûcher. La mise en scène de Fincher fait encore mouche, pour le plaisir de s’intéresser encore plus à son menu, ludique et intuitif. Rien qu’en isolant la fête de Louis B. Mayer (Arliss Howard), nous comprendrons volontiers que les valeurs de certains peuvent s’avérer indigestes. De quoi plonger tous les arguments de Mankiewicz dans la dépression, jusqu’au paroxysme de la composition. Cette esthétique du noir et du blanc prend ainsi tout son sens, car il s’agit d’un concept que l’on freine avec ferveur aujourd’hui. Pourtant, c’est à la fois une vision cynique du cinéma d’hier comme d’aujourd’hui, car l’héritage de certains a permis d’instaurer les nouvelles conventions que l’on combat dans ce film et les suivants. Mais qu’importent la puissance et la portée des discours les plus vifs, tout prend une nouvelle dimension du moment que l’on reconnaît qui est qui et qui fait quoi dans cette balade privée, intime et agréable au bout de la plume.

    Le titre est ainsi à mi-hauteur des espérances et du respect pour un scénariste qui a su détourner le jeu de la politique à travers son récit, couché sur du papier et enfin mis en scène pour l’honneur de nous conquérir. « Mank » démontre que l’on ampute bien plus qu’une partie du nom dans la guerre des idéaux, parfois les plus simples. Mais il sera question d’une honnêteté qu’il convient de replacer son contexte. Un homme qui ne trouve pas sa place dans son monde dérive inévitablement, avec de l’alcool pour l’attester. On recoupe les faits, avec l’artifice graphique des plus étincelants dans l’espoir de nous accorder du recul sur ce qui étouffe, à tort, l’effort collectif ou individuel, au détriment d’une centralisation machiavélique et inconditionnelle. Les cinéastes indépendants peuvent y voir un modèle et un hommage à celui qui n'a pas pu tenir tête à son environnement, trop influent et trop oppressant pour lui. N’est-ce donc pas ironique de découvrir ce dernier Fincher sur une plateforme de streaming, comme gage de sa rétribution ?
    Victor A.
    Victor A.

    54 abonnés 388 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 décembre 2020
    Mank peut en laisser plus d'un de côté, et c'est un peu ce qui m'est arrivé. À l'image d'un Once upon a time in Hollywood, le nouveau film de David Fincher semble être un film qui tenait à son auteur (quit à délaisser un peu le plaisir du spectateur). Vraie lettre d'amour à Hollywood mais aussi un film plein de critique sur la création, ce long-métrage est maitrisé de bout en bout (mais normal, c'est Fincher).
    Remi S.
    Remi S.

    13 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    C'est comme le projet d'une vie pour David Fincher. Un scénario écrit à partir des années 90 par son propre père, Jack Fincher, décédé depuis, dont le jeune David va très vite vouloir adapter au cinéma. Choses promises, choses dues, près d'une vingtaine d'années après. Mais c'est aussi un signe : celui d'un retour au cinéma (certes, à travers la puissance des plateformes qui tracent leurs petit chemin), d'autant plus important puisqu'il puise sa forme et son fond à travers un récit imprégné de l'âge d'or Hollywoodien. Une époque qui rejoindrait presque le mythe et dont chaque cinéphile y pose un regard fasciné, amoureux, se remémorant les autres grandes œuvres d'antan comme *Sunset Boulevard* ou *Singin' in the Rain* en autres. Mais le *Mank* de Fincher nous fait encore plus trembler puisqu'il s'immisce dans les pas d'Herman J. Mankiewicz, le coscénariste (si l'on peut dire) du chef d'œuvre *Citizen Kane* réalisé par Orson Welles et sorti en 1941. Scénariste pris entre l'alcool, les jeux et un Hollywood des années 30 assoiffé de folie, Herman J. Mankiewicz, superbement interprété par Gary Oldman, se retrouve chargé d'écrire le scénario du fameux *Citizen Kane* pour le compte d'un mystérieux et jeune prodige new-yorkais répondant du nom d'Orson Welles, et ainsi voit l'opportunité de s'inspirer pour son script d'un être haut en couleur, véritable grand magnat de la presse et de l'immobilier qui l'a longtemps fasciné : William Randolph Hearst, dont la vie imprimera donc la grandeur et la fureur du personnage fictif Charles Foster Kane.

    Il y'a un véritable petit plaisir à suivre *Mank*, ou la ballade enivrée d'Herman Mankiewicz au cœur d'un Hollywood année 30 remplie de folie, de cinéma et de politique, où les deux s'avouent d'ailleurs intimement liés. La rédaction du scénario de *Citizen Kane* n'apparait finalement qu'au second plan, tant le spectre d'Orson Welles apparait comme une voix céleste ou quasi-fantomatique, mais toujours présente à travers des coups de téléphone rapides ou des apparitions fulgurantes et mystérieuses. Orson Welles est finalement comme un ange gardien, loin d'Herman mais près de son cœur, croyant perpétuellement au talent de cet ivre scénariste capable d'écrire au bout de sa plume l'un des plus grands récits de tous les temps. Malgré leurs brouilles, ces deux-là sont infiniment liés, tant la fougue et l'envie de contrebalancer le système du premier (Herman), et le regard lointain et quasi-douteux de cette société des "rêves" du deuxième (Orson) sont des caractéristiques qui font d'eux les piliers nécessaires pour le projet *Citizen Kane*, un film qui viendra pousser le cinéma à un niveau de narration encore jamais atteint, et ainsi s'inscrire dans la légende du 7ème art.

    Mais le véritable premier plan de *Mank* est donc bien le regard que porte Fincher, père et donc fils, sur le Hollywood des années 30. Un monde frénétique, manœuvré par les grands studios et magnifié par les auteurs. Alimenté par les spectateurs, et le regard toujours tourné vers la politique. Au milieu de cet valse en noir et blanc navigue Herman Mankiewicz, où Fincher rejoue d'ailleurs sur le style *Citizen Kane* et s'appuyant sur les flashbacks d'un Herman M. prisonnier de sa maison de campagne après un accident de voiture. De ces déboires avec la MGM, à sa liaison folle avec l'amante de William Randolph Hearst, jusqu'à la lutte politique effrénée et corrompue pour le poste de gouverneur de Californie marqué par la grande dépression, *Mank* pose un regard émerveillé et critique sur cette usine à rêve. Herman Mankiewicz en serait comme le parasite, en s'appuyant sur les faiblesses et la folie de cet Hollywood pour en extraire l'art et ainsi écrire *Citizen Kane*. **David Fincher s'aventure dans un film au multiples intrigues, mais ne serait-ce peut-être pas là le véritable défaut de *Mank* ?**

    C'est un film complexe, à la rapidité des dialogues et d'informations parfois déconcertantes. Mais David Fincher ne viendrait-il pas, à travers certains dialogues véritable "brasseurs d'air", combler les vides de *Mank* ? Le film aligne perpétuellement les mots et s'exposent ainsi à cette véritable question rendant le spectateur parfois dubitatif face à l'œuvre une fois terminée : Que doit-on retenir ? De même maintenant, à l'écriture de cette critique plusieurs heures après vu le films, qu'est-ce que j'ai retenu ? Le film envoie constamment, ne laissant que de peu de place pour le spectateur de divaguer, mais aussi de se questionner sur la véritable teneur de certains dialogues et certaines scènes. *Mank* amène à un malheureux constat final : celui d'avoir eu parfois affaire à un beau mur fragile. Tel un mur au noir et blanc magnifique, il faut l'avouer, mais dont la consistance est à revoir.

    Le nouveau film de David Fincher est très surement un plaisir de cinéphile, pouvant laisser de côtés certains s'attendant à retrouver la tension qu'émettait le réalisateur de *Seven*, ou la beauté universelle de *Benjamin Button*. Mon attente de *Mank* était très certainement à égal de mon petit plaisir à voir le film, et ainsi à retrouver un regard cinématographique sur cette époque folle dont l'on ne se lasse jamais. **En revenant sur les pas de l'imprévisible Herman J. Mankiewicz, David Fincher m'a passionné, mais m'a aussi et surtout conduit à me questionner sur la véritable intention finale derrière le film, tant *Mank* parait faible à certains moments : N'est-ce finalement pas un simple plaisir de Fincher de réaliser un film imprégné de style de l'âge d'or ? Un plaisir personnel, peut-être, mais qui fonctionne indéniablement tant cette ballade enivrée fait relativiser ses défauts immanquables.**
    Leonce J
    Leonce J

    2 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    6 ans après l’excellent Gone Girl, David Fincher est de retour avec Mank disponible sur Netflix.
    Tous d’abord Mank est l'un des films que j'attendais le plus cette année car c’est le retour de David Fincher (un réalisateur que j’adore).
    Mank retrace le parcours tumultueux dans les années 30/40 du scénariste Herman J. Mankiewicz, qui est chargé d’écrire le script du fameux Citizen Kane d’Orson Welles, emporté par l’alcoolisme il doit tenir les délais fixés par le réalisateur du film, Orson Welles.

    Mank est d’un ennui, il ne se passe grand chose durant toute l’histoire juste des dialogues à foison.
    Seul la dernière heure est intéressant (où du moins j’ai accroché).
    Le film se perd dans ses flashbacks, ce qui fait que le rythme du film est vraiment décousu.
    Fincher nous plonge dans le milieu hollywoodien des années 1930 où il y a des guerres d’égo, des contrats juteux, des pressions de la part studios mais aussi de la corruption.
    C’est un sujet qui tenait à cœur pour David Fincher et cela se voit (car ce film n’a rien à voir avec ses thrillers) , c’est un projet écrit par son défunt père Jack Fincher en 1990. Projet qui n’avait trouvé aucun financement jusqu’à que Netflix mette la main.
    Après niveau visuel c’est du Fincher ( filmé avec une camera 8K monochrome) c’est technique (fermeture des scènes) et magnifiquement cadré .
    La reconstruction des années 30/40 est parfaite, le noir et blanc est sublime, Gary Oldman est incroyable comme toujours et Lily Collins est super.

    Au final c’est un film de Fincher peu captivant et très vite oubliable contrairement à ses autres films qui m’ont marqué, je mets 6 au lieu de 5 car ça me fait très mal de mettre 5 à un film de Fincher, mais bon après il faut respecter l’envie du réalisateur de se tourner vers un autre genre que le thriller et surtout que c’est un projet personnel, avec ce film Fincher rend hommage à Hollywood des années 30 mais aussi et surtout à son père.
    Charlotte28
    Charlotte28

    98 abonnés 1 786 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 décembre 2020
    Exercice de style réjouissant, nous immergeant dans une ère hollywoodienne particulière, Mank se démarque également par sa dimension personnelle, aisément perceptible, ainsi que par l'interprétation impeccable d'un Gary Oldman nécessairement en empathie avec son personnage pour des raisons intimes touchantes. Le reste du casting au diapason (Charles Dance et Tom Burke en tête) confère de même à chaque personnage une densité appréciable. Cependant la froideur des images ainsi que le besoin de familiarité avec ce microcosme des années 30 nous placent en spectateurs d'un monde étranger et parfois hermétique. Un pamphlet teinté de mélancolie plus délectable pour les connaisseurs.
    Jean-Marc Alvado
    Jean-Marc Alvado

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    Magnifiquement filmé en noir et blanc.
    Les dialogues sont d'une rare finesse et intelligence.
    Très bonne surprise (inattendue) de Netflix pour ce long métrage.
    pentarou
    pentarou

    1 abonné 146 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    Le dernier film de Fincher, j'en attendais beaucoup car c'est un réalisateur que j'apprécie beaucoup.
    J'avais réussit à me préserver de tout spoil jusqu'au visionnage, je ne connaissais même pas le sujet du film.
    Au final le film est pas mal. Fincher est un bon réalisateur, il a pu s'entourer de bons acteurs et ça donne donc un film maîtrisé.
    Le problème, c'est que comme avec Social Network, même si le film est bien fait à tout les niveaux mais que le sujet principal n'est pas intéressant, ça en fait un film moyen.
    Perso je m'en cogne de Zuckerberg, tout comme de Mank. Je ne m'identifie pas à eux, je ne suis pas curieux de savoir ce qu'il a bien pu leur arriver. Je reste donc à l'extérieur du film à subir une histoire qui me laisse de marbre.
    Au final je n'ai rien à reprocher au film dans sa réalisation, son jeu d'acteur, ses musique, son montage, oui c'est objectivement un bon film mais il ne me touche à aucun moment et ne me parle pas.
    Un film à voir pour se faire son propre avis mais clairement je ne le regarderais pas une deuxième fois.
    Jean Dupont
    Jean Dupont

    1 abonné 31 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    Je suis bien d'accord avec l'autre critique qui a été notée une étoile. Ce film est ennuyeux, tout simplement. Et c'est dommage, car Gary Oldman est exceptionnel, comme d'habitude depuis "Les Heures Sombres" de Joe Wright.
    Ici il ne se passe rien, les flash back incessants sont insupportables, ils brisent la narration de l'histoire, on aurait préféré un montage façon biopic, avec une suite chronologique.
    De plus, l'acteur qui joue (mal) Orson Wells n'apparaît que trois fois deux minutes sur deux heures de film et on ne nous dit rien des corrections qu'il a apportées au script de Citizen Kane. Cela nous aurait intéressé beaucoup plus que de voir les trop nombreux désordres alcooliques du personnage central.
    Bref, un film trop long et sans passion. Fincher aurait dû s'inspirer des Heures Sombres, justement.
    Mais je terminerai par une touche positive en évoquant Amanda Seyfried (Marion) qui est juste resplendissante.
    Vador Mir
    Vador Mir

    231 abonnés 716 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    Belle lumière, beaux décors, belle photo, beau noir et blanc, Les coulisses d'Hollywood sublimés par la caméra de Fincher. Dommage qu'il y ait beaucoup d'ennui à la clé
    Benjamin Blanchard
    Benjamin Blanchard

    5 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2021
    Enfin, le nouveau David Fincher. Pour de vrai le l'attendais sans plus car le sujet du film ne m'intéresser pas plus que ça et que fut ma surprise. Je préfère dire que je n'ai pas encore Citizen Kane et j'ai tout le temps qu'il me faut. On reconnait beaucoup le style Fincher est ça fait vraiment tu bien. J'ai pas vraiment envie de dire grand chose sur le film, car il se laisse regarder et ses vraiment passionnée, même pour ce qui n'ont jamais Citizen Kane ou ne sont pas familialisé par les années 30, 40.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 863 abonnés 3 960 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 décembre 2020
    Ma première déception chez Fincher, clairement à aucun moment je ne suis vraiment rentré dans le film, à aucun moment le film n'a inspiré autre chose chez moi qu'un ennui poli face à une œuvre qui manque tout simplement de vie et de folie. J'ai trouvé ça gentillet entre les moments qui crient "cinéma" où tout est trop beau et parfait pour être réel et ceux qui n'ont juste pas l'impact nécessaire, le tout avec un discours assez convenu sur la politique, la presse et le cinéma. Je trouve le film d'autant plus gentillet que le personnage de Mank est présenté comme quelqu'un qui ouvre facilement sa gueule, quitte à s'attirer des ennuis, mais jamais, à aucun moment, dans les dialogues je me dis : ah ouais quand même, qu'il est subversif, qu'est ce qu'il envoie valser l'ordre établi. C'est gentil.

    Mais là où Fincher avait toujours réussi à captiver dans ces thrillers, faire naître une certaine tension, voire à toucher le spectateur parce que ses personnages existaient ici tout ça me semble bien mécanique, bien huilé, mais mécanique, sans vie. Jamais je n'éprouve la moindre empathie pour un personnage... jamais je n'en apprécie un... jamais rien en fait.

    Et c'est ça le problème du film on enchaîne les flashbacks sans qu'il y ait une intrigue réellement claire (elle se dessine au fur et à mesure) mais clairement je m'en fous du début à la fin parce que de toutes façons ces personnages n'existent pas donc il peut leur arriver n'importe quoi je n'en ai cure.

    Faut parler aussi des acteurs, notamment Gary Oldman, Mank est censé avoir une trentaine d'années dans les flashbacks et une quarantaine au moment de la narration quel est le projet de prendre un soixantenaire pour le jouer ?
    Alors ça aurait pu passer si on ne disait pas son âge dans le film... Mais là ma suspension d'incrédulité s'est totalement envolée.

    Le sujet a beau être passionnant et ça a beau être réjouissant de voir Hollywood dans les années 30, Fincher n'en fait rien d'autre qu'un film maniéré, propre sur lui mais où il a oublié d'y insuffler une once de vie. Mais ça se regarde, parfois je souris, mais rien de plus. J'attends tellement plus de Fincher.

    Le plus triste c'est que je trouve le film tellement peu captivant et intéressant que je n'ai même rien à dire. Demain je l'aurais oublié.
    Fou Bobo
    Fou Bobo

    5 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 janvier 2021
    Le Nouveau Fincher est malgré tout décevant. La mise en lumière du scénariste Herman J.Mankewicz est franchement pas top ! On suit juste un alcoolique qui essaye de se débrouiller dans Hollywood ! Scénariste phare de Citizen Kane de Orson Wells. Le film est plutôt dans sa globalité très lent. Mise à part ça on assiste à une bonne rétrospective en noir et blanc, on retrouve les images et les sonorités comme si on n'est projeté dans les années 30 ! Et une photographie excellente comme à son habitude avec Fincher !
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