Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Rarement un film de plateforme n’a à ce point donné envie de retourner en salle !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Michel Cieutat
La grande qualité de la réalisation de Fincher réside principalement dans le soin quasi maniaque apporté à la reconstitution hyperréaliste de l’âge d’or hollywoodien, mais aussi dans la manière dont il fait revivre très fidèlement plusieurs figures qui ont marqué leur temps.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Josué Morel
Un film magnifique et retors, dont on n'a pas fini d'épuiser les richesses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Faut-il un chef-d’œuvre pour parler d’un chef-d’œuvre ? Il n’y a évidemment aucune règle, aucun impératif, aucune nécessité, mais David Fincher fait de Mank, film miroir de Citizen Kane , un film tout aussi monumental et phénoménal. Un chef-d’œuvre de cinéma et de cinéphilie admirable.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
"Mank" est une lettre d'amour cinéphile fascinante, mélancolique, créative, exigeante et ensorcellante. Un des plus beaux tours de magie de David Fincher.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Septième Obsession
par La rédaction
Comment parler d’un chef-d’œuvre ? Car "Mank" en est un. Ses personnages, ses images, son action sont de l’étoffe dans laquelle sont taillés les plus beaux fantômes.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le nouveau film de David Fincher, le moins grand public de sa carrière, se dévoile sur Netflix dès vendredi. Et c’est une merveille.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
En noir et blanc, sur un jazz allègre, David Fincher filme la légende et envoie une sublime lettre d’amour au cinéma.
Le Figaro
par La Rédaction
Si l'édition 2021 des Oscars a bel et bien lieu, il faudra d'autres chefs-d'œuvre pour empêcher ce film, son réalisateur, son scénariste défunt, tous ses techniciens, et ses merveilleux acteurs, Gary Oldman, Charlie Dance et la grande Amanda Seyfried, la belle, fragile et généreuse Marion Davies, de rafler toutes les statuettes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Mank rejoint, dans sa peinture d’un itinéraire moral individuel, le grand récit du cinéma américain. C’est une machine infernale lancée à toute allure, dans un crépitement de dialogue et de plans à tiroirs, au cœur d’un morceau d’histoire, celle d’Hollywood comme un reflet déformé de l’Amérique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Avec ce film incroyable en noir et blanc, David Fincher signe son propre « Citizen Kane ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Une réflexion à la fois ironique et sombre sur l'ambition artistique et un film-somme de son auteur. [...] Le nouveau film de David Fincher est donc l’auscultation de deux ingénieux mécanismes : celui par lequel se construit, pièce par pièce, un des grands films du siècle ; et, de façon connexe, celui par lequel s’autodétruit, strate par strate, l’ingénieur de ce même chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cet éloge impertinent de la liberté et de l’indépendance « sonne » singulièrement juste et vaut pour hier comme pour aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Visuellement prodigieux, techniquement virtuose, « Mank » a finalement vu le jour sous la forme d’une lettre d’amour magistrale à un Hollywood disparu, doublée d’une satire sur la création.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Mank est décidément un grand film par ce qu’il raconte comme par ce qu’il échoue finalement à découvrir. Si aucun objet ne peut suffire à expliquer la vie d’un homme, espérons que, longtemps encore, des films tenteront de le faire aussi bien que Citizen Kane, que Mank.
Première
par Thierry Chèze
Ce petit jeu pourrait être excluant pour le spectateur, malgré le feu d’artifice de scènes époustouflantes, dont chacune à elle seule donne une bonne raison de découvrir ce film toutes affaires cessantes. Sauf que Fincher a un autre atout majeur dans sa manche. Ce génie dans la direction d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Céline Rouden
La complexité du récit, la profusion des dialogues, les multiples références à l’histoire et aux personnages de ce Hollywood des années 1930 peuvent rendre la matière de ce film un peu touffue. Pourtant ce faux pastiche, aux résonances étrangement contemporaines, vaut autant pour la qualité de sa réalisation que pour ce que David Fincher tente de nous dire sur le cinéma (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par Florence Colombani
On sait gré à David Fincher d'avoir remis en lumière, en mettant Mank au centre de son film, ce morceau d'histoire culturelle américaine : l'affrontement sans merci de l'art et du pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Une fiction éblouissante incarnée par un acteur en état de grâce, Gary Oldman.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Un pari fou, aussi généreux que follement exigeant, qui ne se destinerait avant tout qu’à Fincher et à son père.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Du fond (les coulisses de la Mecque du 7e art et de la création d'un chef-d'oeuvre), du style (la reconstitution est sublime) et des interprètes brillants (Gary Oldman en tête), Fincher, avec sa caméra à remonter le temps, nous offre, une fois de plus, une savoureuse leçon de cinéma.
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Au-delà de la forme rétro du film, véritable régal pour les cinéphiles, "Mank" est une réflexion captivante sur l'industrie des rêves et ses coulisses pas très reluisantes.
Télérama
par Samuel Douhaire
La réussite de ce film quasi expérimental, produit par Netflix parce qu’aucun studio hollywoodien n’en a voulu, est à la hauteur de sa folle ambition.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Que Fincher choisisse le portrait des monstres plutôt que l’ode au cinéma que chérit Tarantino, rien d’étonnant. (...) A ce titre, Mank roule donc à un carburant très "fincherien". Mais, comme figé par des années de réflexion, par le poids du souvenir de ce père auquel il rend hommage, Fincher assèche son film.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Si Fincher rate sans doute la case « grand film », il y a fort à parier qu’il s’en fiche, et a pris un plaisir immense à réaliser son onzième long-métrage, d’une élégance et d’une maîtrise rares, qui peut toutefois laisser son spectateur sur la touche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Le paradoxe de Mank consiste à accélérer une mutation tout en voulant garantir la continuité de ce dont elle prendrait la place ; une carte blanche qui n’engendre au fond que du « cinéma de papa ». Pour le dire plus clairement: le film acterait non sans nostalgie la fermeture de l’usine Hollywood pour mieux célébrer celle qui vient d’ouvrir en face, Netflix. Et elle en fait en se confrontant à l’objet qui, pour tout cinéaste américain, est l’emblème de l’art hollywoodien dans ce qu’il peut avoir de plus libre et personnel – Citizen Kane. Mais à s’y mesurer, Mank oblitère sa triste impossibilité à accomplir la relève ; il enterre Welles et Hollywood sans même en effleurer l’éclat.
20 Minutes
Rarement un film de plateforme n’a à ce point donné envie de retourner en salle !
Bande à part
La grande qualité de la réalisation de Fincher réside principalement dans le soin quasi maniaque apporté à la reconstitution hyperréaliste de l’âge d’or hollywoodien, mais aussi dans la manière dont il fait revivre très fidèlement plusieurs figures qui ont marqué leur temps.
Critikat.com
Un film magnifique et retors, dont on n'a pas fini d'épuiser les richesses.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Faut-il un chef-d’œuvre pour parler d’un chef-d’œuvre ? Il n’y a évidemment aucune règle, aucun impératif, aucune nécessité, mais David Fincher fait de Mank, film miroir de Citizen Kane , un film tout aussi monumental et phénoménal. Un chef-d’œuvre de cinéma et de cinéphilie admirable.
Ecran Large
"Mank" est une lettre d'amour cinéphile fascinante, mélancolique, créative, exigeante et ensorcellante. Un des plus beaux tours de magie de David Fincher.
La Septième Obsession
Comment parler d’un chef-d’œuvre ? Car "Mank" en est un. Ses personnages, ses images, son action sont de l’étoffe dans laquelle sont taillés les plus beaux fantômes.
La Voix du Nord
Le nouveau film de David Fincher, le moins grand public de sa carrière, se dévoile sur Netflix dès vendredi. Et c’est une merveille.
Le Dauphiné Libéré
En noir et blanc, sur un jazz allègre, David Fincher filme la légende et envoie une sublime lettre d’amour au cinéma.
Le Figaro
Si l'édition 2021 des Oscars a bel et bien lieu, il faudra d'autres chefs-d'œuvre pour empêcher ce film, son réalisateur, son scénariste défunt, tous ses techniciens, et ses merveilleux acteurs, Gary Oldman, Charlie Dance et la grande Amanda Seyfried, la belle, fragile et généreuse Marion Davies, de rafler toutes les statuettes.
Le Monde
Mank rejoint, dans sa peinture d’un itinéraire moral individuel, le grand récit du cinéma américain. C’est une machine infernale lancée à toute allure, dans un crépitement de dialogue et de plans à tiroirs, au cœur d’un morceau d’histoire, celle d’Hollywood comme un reflet déformé de l’Amérique.
Le Parisien
Avec ce film incroyable en noir et blanc, David Fincher signe son propre « Citizen Kane ».
Les Inrockuptibles
Une réflexion à la fois ironique et sombre sur l'ambition artistique et un film-somme de son auteur. [...] Le nouveau film de David Fincher est donc l’auscultation de deux ingénieux mécanismes : celui par lequel se construit, pièce par pièce, un des grands films du siècle ; et, de façon connexe, celui par lequel s’autodétruit, strate par strate, l’ingénieur de ce même chef-d’œuvre.
Marianne
Cet éloge impertinent de la liberté et de l’indépendance « sonne » singulièrement juste et vaut pour hier comme pour aujourd’hui.
Paris Match
Visuellement prodigieux, techniquement virtuose, « Mank » a finalement vu le jour sous la forme d’une lettre d’amour magistrale à un Hollywood disparu, doublée d’une satire sur la création.
Positif
Mank est décidément un grand film par ce qu’il raconte comme par ce qu’il échoue finalement à découvrir. Si aucun objet ne peut suffire à expliquer la vie d’un homme, espérons que, longtemps encore, des films tenteront de le faire aussi bien que Citizen Kane, que Mank.
Première
Ce petit jeu pourrait être excluant pour le spectateur, malgré le feu d’artifice de scènes époustouflantes, dont chacune à elle seule donne une bonne raison de découvrir ce film toutes affaires cessantes. Sauf que Fincher a un autre atout majeur dans sa manche. Ce génie dans la direction d’acteurs.
La Croix
La complexité du récit, la profusion des dialogues, les multiples références à l’histoire et aux personnages de ce Hollywood des années 1930 peuvent rendre la matière de ce film un peu touffue. Pourtant ce faux pastiche, aux résonances étrangement contemporaines, vaut autant pour la qualité de sa réalisation que pour ce que David Fincher tente de nous dire sur le cinéma (...).
Le Point
On sait gré à David Fincher d'avoir remis en lumière, en mettant Mank au centre de son film, ce morceau d'histoire culturelle américaine : l'affrontement sans merci de l'art et du pouvoir.
Les Echos
Une fiction éblouissante incarnée par un acteur en état de grâce, Gary Oldman.
Les Fiches du Cinéma
Un pari fou, aussi généreux que follement exigeant, qui ne se destinerait avant tout qu’à Fincher et à son père.
Télé 7 Jours
Du fond (les coulisses de la Mecque du 7e art et de la création d'un chef-d'oeuvre), du style (la reconstitution est sublime) et des interprètes brillants (Gary Oldman en tête), Fincher, avec sa caméra à remonter le temps, nous offre, une fois de plus, une savoureuse leçon de cinéma.
Télé Loisirs
Au-delà de la forme rétro du film, véritable régal pour les cinéphiles, "Mank" est une réflexion captivante sur l'industrie des rêves et ses coulisses pas très reluisantes.
Télérama
La réussite de ce film quasi expérimental, produit par Netflix parce qu’aucun studio hollywoodien n’en a voulu, est à la hauteur de sa folle ambition.
CinemaTeaser
Que Fincher choisisse le portrait des monstres plutôt que l’ode au cinéma que chérit Tarantino, rien d’étonnant. (...) A ce titre, Mank roule donc à un carburant très "fincherien". Mais, comme figé par des années de réflexion, par le poids du souvenir de ce père auquel il rend hommage, Fincher assèche son film.
aVoir-aLire.com
Si Fincher rate sans doute la case « grand film », il y a fort à parier qu’il s’en fiche, et a pris un plaisir immense à réaliser son onzième long-métrage, d’une élégance et d’une maîtrise rares, qui peut toutefois laisser son spectateur sur la touche.
Cahiers du Cinéma
Le paradoxe de Mank consiste à accélérer une mutation tout en voulant garantir la continuité de ce dont elle prendrait la place ; une carte blanche qui n’engendre au fond que du « cinéma de papa ». Pour le dire plus clairement: le film acterait non sans nostalgie la fermeture de l’usine Hollywood pour mieux célébrer celle qui vient d’ouvrir en face, Netflix. Et elle en fait en se confrontant à l’objet qui, pour tout cinéaste américain, est l’emblème de l’art hollywoodien dans ce qu’il peut avoir de plus libre et personnel – Citizen Kane. Mais à s’y mesurer, Mank oblitère sa triste impossibilité à accomplir la relève ; il enterre Welles et Hollywood sans même en effleurer l’éclat.