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ManoCornuta
284 abonnés
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3,0
Publiée le 25 mai 2020
On ne retrouve pas tout le sel et la vivacité de l'écriture de Van Cauwelaert, mais cette adaptation du Prix Goncourt 1994 ne manque pas d'attrait, entre des paysages magnifiquement rendus et un Jacques Villeret toujours épatant hors des sentiers du pur comique où il s'aventurait un peu plus à l'époque. Quelques répliques finement pensées et une empathie globale font le reste. Le côté émotionnel aurait pu gagner en puissance, mais le film fonctionne malgré tout.
Une tres bonne comedie française avec un trio d'acteurs excellents qui jouent tres bien leurs rôles.il y'a de tres beau paysage on se croit en vacance.Sinon le scenario est original et il y'a une belle musique.Il y'a quelques moments marrants mais aussi emouvent.Bref une bonne comedie française que je vous conseille et que j'ai fortement adorer.
Vraiment inintéressant, une histoire dès plus banale, on fait pas un film en laissant juste tourner une caméra, faudrait aussi un scénario. Quel tragédie pour le cinéma, c'est tellement décevant, du grand art dans le monde du navet.
Un film à la fois émouvant et drôle. On y retrouve avec plaisir les 3 acteurs : Jacques Villeret en fonctionnaire paumé, Barbarra schulz en guide sexy, et Loran Deutsch qui pour une fois échange son jeu de titi parisien pour celui de jeune marseillais.
Pour la première fois je m’amuse à mixer deux extraits issus de la presse qui correspondent parfaitement à mon ressenti : «… bons sentiments et conventions à la pelle, interprétation tranquille… Personne ne semble s'être vraiment forcé, on passe de la satire politique au dépliant touristique, de la comédie vacancière au conte à prétentions philosophiques » Presse rime avec paresse et promesse ; oui, je suis tout aussi paresseux que ce film. Pourquoi m’échiner à écrire quelques lignes pour un film aussi fade. L’accent de Lorànt Deutsch m’a paru forcé au point d’être désagréable, il sonnait faux ; le joli minois de Barbara Schultz et la bonne bouille de Jacques Villeret n’ont pas réussi à me sortir de ma torpeur. Le sujet avait de quoi séduire, mais vite sabordé avec cette pseudo road-movie-poétique à trois sous. Franchement, je pensais que Jean-Pierre ne reviendrait pas à Paris. Promesse non tenue. Tout ça pour ça ! La fin nous invite à imaginer une nouvelle aventure du côté de la Russie. Sans moi ! Mine de rien, je me suis montré moins paresseux que le film.