Note moyenne
3,3
7 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

7 critiques presse

CinemaTeaser

par Emmanuelle Spadacenta

Regina King passe derrière la caméra pour réaliser son premier long-métrage, l’adaptation d’une pièce de Kemp Powers qui revient, en fiction, sur une nuit de février 1964. Très impressionnant.

La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

Le Parisien

par Renaud Baronian

Regina King, 49 ans, davantage connue comme comédienne, signe ici son premier long-métrage. Avec une maestria éblouissante, et dans un exercice difficile, celui du huis clos : sa façon de coller aux personnages, de jouer avec les miroirs, les gros plans, les fenêtres ou le mobilier dans cette petite chambre d'hôtel, fait forte impression et contribue à donner une dimension magistrale à ce film étonnant.

La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

Ecran Large

par Simon Riaux

Si le film de Regina King trahit plus d'une fois ses origines théâtrales et ne révolutionne rien, la comédienne et cinéaste fait plus d'une fois preuve d'un savoir-faire et d'une intelligence qui le hisse au-dessus du tout venant en matière de cinéma sociétal américain.

La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

Les Echos

par Adrien Gombeaud

Pour son premier long-métrage, la comédienne Regina King met une réalisation modeste mais solide au service d'un scénario impeccable.

La critique complète est disponible sur le site Les Echos

Les Inrockuptibles

par Théo Ribeton

La reconstitution fantasmée d’une nuit d’échanges entre quatre emblèmes afro-américains. Un premier long qui déroule studieusement son programme.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Télé 7 Jours

par Julien Barcilon

À voir.

Cahiers du Cinéma

par Fernando Ganzo

La mise en scène de King se prête avec joie à un jeu de poupées légendaires qu’elle s’amuse à déplacer et manipuler pour leur puissance mimétique davantage que pour leur profondoeur. Le matérialisme historique est ici vaincu par le plastique, la chair par la surface, l’idée par le discours.

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